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vendredi, 09 mai 2008

Mai sans pont, Mai sans bouchon

Ce matin, j'ai eu le grand bonheur d'aller travailler. Pour tout vous dire, le vendredi j'ai sept heures de cours normalement. Enfin, aujourd'hui, grâce à mes glandus de secondes, soutenus par leurs parents friands de vacances, j'ai mis les 15 présents dans le groupe du matin, les 16 absents dans celui de l'après-midi, et j'ai pu sortir à 15 h au lieu de 17 ! Elle est pas belle la vie ?

Mais l'ivresse de bonheur ce matin était due aux rues désertes : pas un clampin n'allait bosser, sauf les enseignants, (non seulement ils sont feignants, mais en plus ils sont cons, ils vont bosser le weekend de la Pentecôte !). Conclusion, j'ai mis deux minutes douze à me rendre au lycée au lieu de 17, et j'ai eu le temps de me boire un café avant de commencer. Un rien me donne le sourire, vous ne trouvez pas ?

Ce qui m'a quand même encore plus donné le sourire il y a deux jours, c'est la blague du chat :

"Le paradis, c'est rempli de gens qui pendant l'éternité entière, vont se raconter des souvenirs de leur vie.

L'enfer, c'est pareil, sauf qu'en plus, chacun a apporté ses diapos."

Un pingouin vient réveiller un ours à la fin d'une soirée diapos.