Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 13 janvier 2012

Le sexe est si facile quand vous êtes acteur, surtout à Hollywood. Ce n'est pas plus compliqué que d'acheter un hamburger. *

Un malheur ne vient jamais seul disait ma grand-mère. Il y a des non-voyants qui, entrés par hasard dans les lieux de malbouffe Ouimpy, s'apercevront en lisant sur leur pain, de la merde qu'il y a dedans avant même d'y avoir mis les dents. Si le menu et les ingrédients étaient inscrits en braille sur le mur extérieur, cela éviterait à ces malheureux d'avoir à aller jusqu'au comptoir, ce qui est déjà extrêmement dangereux pour les voyants !

Mais ma grand-mère aurait aussi dit à ces excités du chapeau quand il s'agit de faire du fric quels que soient les moyens, "Bien mal acquis ne profite jamais !"

Attendons.

*Anthony Quinn

(Enfin bon, parfois, on dérape, et on se casse la gueule !)

mardi, 30 novembre 2010

C'ETAIT POURTANT UN BEAU TITRE DE FILM...

Samedi nous sommes allées faire nos courses à la RNAC.

Sur les 5 articles que nous étions prêtes à acheter, et qui se trouvaient en rayon, vantés par un vendeur, 2 n'étaient plus en stock et incommandables, 2 n'étaient pas en stock mais commandables, et 1 était disponible (hourrah !).

Nous en avons acheté 3, dont deux que je récupérerai demain. Alors que je disais que ce n'était pas normal de laisser en rayon des articles non disponibles, on m'a gentiment proposé le dernier exemplaire avec 5 % de réduction (royal quand on pense que ce weekend il y avait 10 euros en bons d'achat pour chaque tranche de 100 euros achetés! - incidemment, sur la pub j'avais compris que c'était une réduction, mais j'avais dû mal lire les petites lettres...) et on m'a répondu que "c'était le commerce".

Alors j'ai dit que non, le commerce, on m'avait toujours dit que c'était que le client était roi. Mais on m'a alors rétorqué que "d'abord à un mois de Noël, on n'avait qu'à pas tous être là en même temps le même jour". La bonne blague! Je lui ai dit que j'avais quand même reçu un courrier postal, un catalogue, et trois mails pour me dire de venir justement ce jour-là. Et que mon bon monsieur la RNAC se foutait de ma gueule.

Il m'a dit de ne pas l'insulter. Je lui ai dit que je n'étais pas grossière avec lui, mais avec la RNAC. Mais il a pas aimé quand même, et il m'a dit que c'était normal qu'il se sente insulté, parce qu'il portait un badge de la RNAC et que du coup il devait la défendre. J'ai dit que j'aurais sûrement dû employer d'autres mots, mais que je n'en avais pas trouvé dans la langue française qui expriment la même chose et soient assez forts pour dire ce qu'on me faisait subir. Après j'ai dit au revoir monsieur, mais je ne pense pas le revoir. Un magasin qui rend les mêmes services qu'un service de vente par correspondance en faisant semblant d'être autre chose, ça ne m'intéresse pas.

Et puis finalement, avec les bons d'achat, je pourrai m'acheter l'imprimante qu'il n'avait plus en stock, par correspondance, pour rien.