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dimanche, 15 mai 2011

Il vaut mieux qu'il pleuve un jour comme aujourd'hui, plutôt qu'un jour où il fait beau.*

Veni, vidi, victa sum.

Je ne suis pas trop sûre de mon latin... Mais bon, pour résumer la journée : Lever à 5 h 40 après une insomnie manifeste et funeste. Un peu mal à la tête. Ibuprofène. Au radar, petit-déjeuner, douche, voiture, installation. Pas trop mal réussie. Achat de petits pains pour tout le monde pour tenir le choc. Pas de doute, il fait froid. Peu de gens. Des autochtones surtout. Nous sommes à la campagne. Ah ! la campagne ! En face de nous, une maison à vendre, pas de risque que nous devenions propriétaires. Il n'y a même plus de boulangerie, les petits pains étaient industriels et venus d'un supermarché ! 8 h 30. Première pause pipi. Il fait froid. Ah ! j'ai vendu une petite carafe. 50 centimes. De plus en plus mal à la tête. 9 h 00, il pleut. Il fait toujours froid. Je me suis toujours dit qu'une brocante devait être un plaisir. Toutes les mauvaises choses ayant une fin, nous décidons de remballer. Zomig. Quelques voyages à brouette jusqu'à la voiture. Il ne pleut plus. A 10 h 30 nous sommes chez nous. Dans ma tête, plus trop mal, mais ça tourne, ça tangue. Position allongée d'urgence. Je ferme les yeux. Dehors, il pleut des cordes. Il est 11 h 00. Je les rouvre, il est 15 h 00. Des cerises sonnent à la porte ! Nous mangeons au soleil.

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Programme de fin de journée : une note, vite ! Et mes évaluations. 68 enregistrements de voix adolescentes m'attendent.

*Pierre Dac