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dimanche, 08 mars 2009

PAROLES ET MUSIQUE DU 08/03

Comme je suis une femme, j’ai fait du shopping. LOL. Comme y’a rien à ma taille, j’achète des livres et des CDs. Et comme je sais que vous en mourrez d’envie, je vous dis ce que j’en pense.

 

Et puis comme on est le 8 mars, je vais vous donner la phrase qui commence à la 3ème ligne de la 8ème page ou de la 8ème chanson. Ca va, tout le monde suit ?

 

Le Vrai est au Coffre, de Denis Lachaud. J’ai lu  J’Apprends l’Allemand  du même auteur, et j’ai beaucoup aimé. Je retente ma chance. C’est aux Editions Babel.

 

« Mais cette Véronique avait besoin de quelque chose et l’opulente chevelure de sa poupée donnait envie de glisser ses doigts parmi les boucles. » Ca se trouve page 16 en fait, qui est la 8ème page imprimée du roman. La couverture, un homme qui plonge. La phrase qui m’a donné envie de le lire : « Jouant du vrai et du faux, Denis Lachaud aborde le thème du choix identitaire dans ce qu’il peut avoir de plus ambigu. »

 

Pour ADMV, j’ai choisi Mort aux Cons, de Carl Aderhold. Des ballons de couleurs sur la couverture. Et un titre qui me plait.

 

« Je vais me coucher, dit-elle. » Suivi immédiatement d’un n° : 8. C’est pas extraordinaire cette coïncidence ? La phrase qui m’a interpellée derrière : « Mais passé les premiers meurtres d’humeur qui le débarrassent des cons de son entourage, le héros prend peu à peu conscience de l’ampleur de sa mission. » Je le lirai aussi, c’est sûr.

 

Musique, maintenant !

 

Moriarty, « Gee Whiz But This Is a Lonesome Town » Bel objet. Deux CD (je n’en ai écouté qu’un pour l’instant.), des illustrations, des graphismes originaux, pas toujours facile à lire, mais est-ce le but ? Et comme l’a dit Pascale dans la Cbox, tout est excellent. Des inspirations diverses, étonnantes : L’Irlande d’après moi, Kurt Weill d’après ADMV. On en redemande.

 

 

« He’s coming to steal and to rape and he calls it business » Cette phrase assez horrible commence juste à la fin de la troisième ligne du 8ème titre : Whiteman’s Ballad.

 

Ridan, « L’Un est l’autre. » Un autre très bel objet. Des belles photos du sud. Deux livrets, un pour les paroles, l’autre pour nous parler de Ridan, nous expliquer d’où viennent ses chansons. C’est vrai qu’il a un style, que toutes les chansons, ou beaucoup d’entre elles, se ressemblent un peu, mais ça a le mérite d’être mélodique, d’avoir des textes travaillés, et surtout d’être sincère. Une nouveauté, l’humour. Le plus gros défaut de cet album ? On a du mal à sortir le disque sans y mettre les doigts…

 

La 8ème chanson, c’est « Star Minute », et à la 3ème ligne : « On dit de toi, le garçon dans le vent tu as déjà ce petit don que les gens appellent talent. »

 

Bashung, « Bleu Pétrole », c’est du Bashung, on en est sûr, c’est du lourd, de l’excellent. Lui aussi a son style. Mais je l’aime. Alors… Un livret aussi. Des photos. Des gravures. Le tout sépia. Il y a deux reprises géniales dans ce CD : Il voyage en solitaire, de Manset et Suzanne de Leonard Cohen. Deux bijoux.

 

 

La 8ème chanson, co-crée avec Gérard Manset. « Chaque jour de ma vie Chaque semaine, chaque mois Et je mordrai sa joue Qui un jour fut à moi »

 

Je ne sais pas quand je pourrai retourner dans les magasins car nerveusement j'ai du mal à supporter l'épreuve, mais cette fois, je suis ravie de mes achats.