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samedi, 10 mai 2008

COMPENSATION

Heureusement qu'il fait un soleil magnifique et qu'on s'est acheté des transats hyper-confortables, parce que je suis en train de lire Le Rapport de Brodeck de Philippe Claudel.

J'adore, mais c'est un peu l'antithèse du prozac si vous voyez ce que je veux dire.

Commentaires

Aaaaaaaaaaah merci, une note météo. C'est gentil pour les ceusses qui bossent à l'ombre !

Tu veux dire que le rapport brobeck est déprimant ?

Il te va à ravir ce ptit costume de plage rayé !

Écrit par : Pascale | samedi, 10 mai 2008

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@Pascale : c'était avant tout une note littéraire !
Le rapport de Brodeck, ça te montre jusqu'où peut aller la nature humaine dans le mal, si loin qu'après, Pascale, elle te parait douce et gentille !
Tu l'as lu ?
Chuis belle l'été, hein !

Écrit par : Ed | samedi, 10 mai 2008

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Ah merde de crotte, c'était pas une note qui dit le temps qu'il fait ?

Tu veux dire que niveau gentillesse, juste en dessous de moi, y'a les nazis ???
Je reviendrai.

Je l'ai pas lu Brobeck... mais j'ai regardé "Shoah" cette semaine, ça vaut ?

Disons que t'es encore plus belle l'été !

Écrit par : Pascale | samedi, 10 mai 2008

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T'es jolie avec ton maillot de bain rayé rouge !!!

Écrit par : zapette | samedi, 10 mai 2008

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@Pascale : C'est de la fiction, bien sûr, puisque même les noms propres sont imaginaires, mais c'est fort aussi. Je m'arrête entre deux chapitres pour me remettre...
@zapette : Dommage que l'élection de miss blog sur son transat n'existe pas, hein !

Écrit par : Ed | samedi, 10 mai 2008

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Vraiment dur quand même ce bouquin.

Trop d'abject et d'immonde sur la nature humaine. M'a laissé un sentiment de gratuité à certains moments.

Écrit par : Le CPE | lundi, 12 mai 2008

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@le CPE : je n'en suis qu'à la moitié. Sa réflexion sur la lâcheté humaine, rendue anonyme et donc universelle par cette fiction, me convient pour l'instant, même si bien sûr certaines descriptions sont dures, mais au milieu d'autres moments où les gens semblent d'un coup vivre de manière ordinaire. Un peu comme dans notre monde, quoi. Et puis cela évite de se dire que ça n'a existé Que parceque c'était des nazis, QUE parce que c'était des allemands. Je vois plein de gens autour de moi qui ont des idées qui les feraient basculer j'en suis sûre, et moi-même, suis-je sûre de ne pas être lâche un jour ?, et pourtant ces mêmes gens parlent des nazis comme si c'étaient des monstres absolument loin d'eux, et les amalgament aux allemands de la génération actuelle...

Écrit par : Ed | lundi, 12 mai 2008

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C'est justement le message véhiculé. Cet abominable normalité au milieu de l'horreur.

Et quelque chose me dit que nous y revenons.

Écrit par : Le CPE | jeudi, 15 mai 2008

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Je ne dis pas non plus que ça ne me fait pas peur !
Je trouve ce livre très bon, pas ambigü sur son discours, et bien écrit. Utile. (Comme aurait-dit Roda-Gil)

Écrit par : Ed | jeudi, 15 mai 2008

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