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« "Vivement vendredi qu'ils s'en aillent."* | Page d'accueil | Le rire est une bouée de sauvetage.* »

jeudi, 19 juillet 2012

Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer.*

Ce sont les mouettes qui gueulent nuit et jour, et c'est moi qui ai mal à la gorge !

Cette nuit, après être rentrée à 23H30 de ma "Quiz Night", j'ai relu et recopié le texte que je devais rédiger pour aujourd'hui. Et puis, j'ai essayé de m'endormir. Mais je voyais et entendais défiler des questions de quiz en anglais, et j'essayais de répondre, et cela m'empêchait de m'endormir. Et mon bras, qui me laissait peinarde depuis mon arrivée, s'est mis à me retitiller. Mais surtout à deux heures du matin, je me suis réveillée avec un super mal de gorge. Aussitôt Oscillo ! Mais le reste de la nuit a été plutôt conscient. Inutile de vous dire que la journée de cours m'a semblé longue. Néanmoins, le contenu s'est nettement amélioré, et comme on lisait nos textes et faisait nos exposés, on ne s'est pas ennuyé.

A tous :

Le travail que je vous donne pour la prochaine fois : POUVEZ-VOUS TROUVER UN RAPPORT ENTRE CHARLES DICKENS ET LA VILLE OU VOUS VIVEZ. C'EST CE QUE J'AI L'INTENTION DE DEMANDER A MES ELEVES. MAIS AUSSI DE CHERCHER A QUOI RESSEMBLAIT LE QUOTIDIEN DANS LEUR VILLE A SON EPOQUE.

1812 - 1870

Vous n'êtes pas obligés de citer le nom de votre ville, vous pouvez même choisir une autre ville si ça vous chante.

*proverbe breton

 

Commentaires

va sur ton mail illico

Écrit par : admv | vendredi, 20 juillet 2012

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Euhlala... c'est un devoir de vacances que tu nous donnes là ???
Comment veux tu que chaque ville ait un rapport avec Dickens !?

Écrit par : zapette | vendredi, 20 juillet 2012

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Ma ville me fait penser à Charles Dickens parce qu'elle est bourrée de traîne-misère, de gueux, de va-nu-pieds, de crevards et de traîne-savates !
Et aussi parce qu'il y a un n dedans !

Écrit par : Pascale | vendredi, 20 juillet 2012

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@admv: problème réglé, merci !!!!
@zapette:quel manque de bonne volonté ! prends modèle sur Pascale, elle, au moins, a cherché et trouvé.
@Pascale : c'est pas mal en si peu de temps ! le premier point malheureusement nous l'aurons tous plus ou moins.

Écrit par : Ed | vendredi, 20 juillet 2012

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Ben si je ne cite pas le nom de ma ville, ça ne va pas marcher ma démonstration.
Moi, je suis de Charleville, alors tu parles (Charles) ta rédac c'est finger in the nose (les doigts dans le nez).
Tu me diras, ça marcherait aussi si j'avais un travail à faire pour la prochaine fois sur Charles...
Trenet
Aznavour
Quint
Martel
Heidsieck
De Gaulle
Baudelaire
Prince.

Écrit par : hervé | samedi, 21 juillet 2012

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Au temps pour moi, finger in the nose signifie un seul doigt dans le nez.
Sachant qu'il est de toute façon plus aisé de ne mettre qu'un seul doigt dans le nez que plusieurs.

Écrit par : hervé | samedi, 21 juillet 2012

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@Hervé : voici une réponse claire et précise, avec en plus une ouverture sur d'autres sujets en lien. Chapeau.
Si tu mets un doigt dans chaque narine, ce n'est quand même pas si difficile !

Écrit par : Ed | samedi, 21 juillet 2012

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Il me fait loler superman !

Écrit par : Pascale | samedi, 21 juillet 2012

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Oh ben ça... dans ma ville, je ne sais pas mais pas loin il devait y avoir des naufrageurs.
Et je pense qu'à l'époque de Dickens, ici, ça devait être pauvre mais solidaire (suis en zone rurale) car je suis dans un coin très particulier où dans des temps reculés, ils pratiquaient une forme de communauté, un peu comme les kolkhozes.
Difficile d'en dire plus, je ne sais pas...
(PS : ai répondu à ton com', today...)

Écrit par : Frayer | samedi, 21 juillet 2012

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@Pascale : il vole, tu loles.

Écrit par : Ed | samedi, 21 juillet 2012

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@Frayer : je connais un endroit qui fonctionnait aussi en totale esprit de solidarité et d'équité, mais aujourd'hui, on le visite comme un musée... ces valeurs sont des oeuvres d'art du passé.
Merci d'avoir fait ton travail !

Écrit par : Ed | dimanche, 22 juillet 2012

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Dans Maville la révolution industrielle a entraîné parallèlement dès 1850 la création d'oeuvres sociales, parmi elles l'ouverture de bibliothèques et de parcs publics. Mais aussi des cités ouvrières faites de petites maisons avec jardinets, et une maison où les gens pouvaient se rencontrer. C'est drôle comme les patrons de l'époque, "paternalistes" peut-être, avaient conscience que leurs ouvriers travailleraient mieux s'ils étaient mieux traités. Ils ne pensaient pas à forcément systématiquement les presser et jeter après usage. Ils ne les parquaient pas dans des immeubles en hauteur sans espaces verts. Tout cela a cessé avec les années 50...
A part ça, il parait que Dickens parlait couramment français, alors il a dû comme beaucoup de ses compatriotes depuis, faire une halte chez nous.

Écrit par : Ed | mardi, 24 juillet 2012

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