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mardi, 19 août 2014

En Allemagne, la bière c'est considéré comme un légume. *

Nous sommes parties une semaine en Allemagne et grâce à la barrière de la langue (il n'y a plus de mur, mais il y a quand même encore ça.) nous avons pu nous préserver des informations. Parfois j'entendais des mots comme "Irak" "Obama" "Merkel", mais rien des détails. La clé du repos a sans doute été ça. Car sinon nous étions parties chacune avec nos maux de dos, tendinite de la cheville gauche et entorse de la droite, respectifs. Mais l'accueil a été si chaleureux, disponible, qu'on les a oubliés (les maux décrits dans la phrase précédente.) 

Chaleureux, ça s'adapte très bien ici, (si, si, Pascale !) car non seulement il a fait très beau (climat continental, révisez vos cours d'école primaire et de 6ème) mais aussi on a visité de chouettes coins que la chute du mur a permis de rénover, grâce à l'UNESCO aussi, et nous, on a été dorlotées, gâtées, à défaut d'être remises en état complètement. 

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Au retour, côté temps, c'est moyen, et nous nous sommes mises au régime, car en plus des cadeaux avec lesquels nous sommes rentrées, nous avons rapportées également quelques kilos superflus. Hier j'ai fait les courses en prenant le temps de lire les étiquettes, vu que je suis en vacances, mais les lipides et les glucides n'ont plus aucun secret pour moi.

Pourquoi étions nous en Allemagne ? pour fêter le quarantenaire de notre amitié, de notre rencontre dans une auberge de jeunesse d'Erfurt, et du début de notre correspondance assidue et surveillée par la STASI, comme mon amie allemande a pu le constater en demandant son dossier perso... (aujourd'hui, Google et les autres ont remplacé la STASI et tout le monde s'en fout).

(pour avoir un résumé des épisodes précédents, lire ici : 

http://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/archive/2009/11/08/0e4e3946833bc3702d78468c55bee7e8.html#more

 

*Brève de Comptoir, de Jean-Marie Gourio

 

mardi, 05 août 2014

Un métier, ça s'apprend.*

Vous trouvez que vous êtes accro à internet et au téléphone. Vous aimeriez un sevrage pas cher et rapide. Une semaine sans connexion, c'est POSSIBLE !

Voici le nom de la société à laquelle vous pouvez vous adresser. 2014-08-03 10.39.jpg

Un mardi, d'une habile manoeuvre de leur engin à chenille, ils détruisent la maison en face de chez vous et, en même temps, coupent à sa base le poteau auxquels sont reliés tous les fils de 5 maisons environnantes ! 

Une semaine plus tard, si vous avez un portable ou une cabine téléphonique pas loin, car sinon, je pense que vous pouvez bénéficier non pas d'une semaine, mais de 4 semaines, sans internet ni téléphone fixe, les techniciens de chez Orange viennent réparer.

Si vous avez opté pour le dégroupage total, il vous faudra attendre qu'une voisine ayant comme moi choisi de garder une ligne fixe chez eux rentre de vacances, car ils ne se déplacent pas pour la concurrence !

Je vous assure, je n'ai pas inventé le nom de l'entreprise.

*Moi