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dimanche, 10 octobre 2010

ED TIENT TOUJOURS SES PROMESSES

Je vous ai récemment promis deux choses :

1. Un de mes croquis ratés pour vous redonner confiance en vous ! Croyez bien que dessiner n'est pas facile, mais même si on en rate pas mal, cela reste un plaisir incomparable.

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Je vous assure qu'elle vait des jambes normales, contrairement à ce que mon oeuvre semble suggérer !

2. Un indice pour découvrir le film qui parle des italo-américains et qui a pour acteur principal un mec que Pascale aime bien, mais malheureusement, elle n'aura pas le temps, ni l'envie de venir jouer ici ces temps-ci.

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mardi, 17 mars 2009

QUI POURRA ENCORE DIRE DU MAL DE LA TNT APRES CA ?

Vous prenez un couple d’enfer : Noiret –Girardot, Paulette Dubost en maman franchouillarde, des courses poursuites en R16 noire, les bégaiements de jeunesse de Francis Perrin, des délires amoureux insouciants d’avant le sida, un coup de tête d’Annie Girardot dans les couilles d’un mec patibulaire qui veut la poignarder, des péripéties aussi crédibles que Fabius quand il défend l’éthique en politique, des cascades dignes de Warner Bros, et vous avez une perle du ciné des années 70 : « On a volé la cuisse de Jupiter ! »

 

A côté les Ch’tis méritent un numéro spécial des Cahiers du cinéma. Je me suis demandé ce que Pascale aurait écrit dans son blog si on avait eu internet ! Bon, je viens de vérifier, j’ai fait erreur, ça date de 80. Ca se sent, ça s’essouffle un peu. Noiret et Girardot devaient quand même avoir besoin de fric, et de Broca besoin de vacances et de fluor pour trouver des idées !

 

Cela dit, Annie Girardot et Philippe Noiret, même dans un navet, je les adore. Elle c’était mon idéal féminin, celle que j’aurais aimé devenir, et lui, sa voix, son flegme et son humour ne m’ont jamais lassée.

 

 

jeudi, 12 février 2009

CINEMATOGRAPHE... C'ETAIT MIEUX AVANT !

MERCI EMMA ! CA A MARCHE. C'EST MÊME ENREGISTRE DANS MES IMAGES !

On les connaissait en noir et blanc...

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Les voici en couleurs !

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jeudi, 30 août 2007

Trois films et deux restaurants

Au cas où il y aurait des bloggers qui l'aurait pas encore compris, j'ai passé deux jours à Paris. J'ai vu 4 potes, ai été deux fois au restau, et ai fait une bouffe chez les copains, ai visité une expo (j'en reparlerai peut-être) et vu trois films !

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Au premier, la séance était à 9 h 10, il y avait 9 personnes dans la salle, du silence, quelques sourires à propos. Le film c'était Le Fils de l'Epicier. (Ben oui, quand on s'appelle Ed, on ne peut pas rater un film qui parle d'épicier !)

Au deuxième, la séance était à 9 h 10, il y avait 22 personnes, trois personnes bafraient des pop corn, 4 ou cinq faisaient du bruit avec des sacs plastique, trois ou quatre bavardaient. Le film c'était Trois Amis.

Au troisième, la séance était à 14 h 00, il y avait 6 personnes, personnes ne bavardait, une a failli s'endormir, moi. Le film c'était Mientras Tanto.

Ne ratez pas le premier, qui est vrai, frais et émouvant, allez voir le deuxième si vous voulez voir quelque chose de facile, mais sympa, et si vous supportez de voir Philippe Noiret défiguré par la mort approchante, n'allez voir le troisième que si vous ne ratez aucun film en espagnol. C'est plutôt bien filmé, mais trop de scènes sont "gratuites", et ce film décrit comme "urbain" m'a montré des personnages que j'ai trouvé un peu "ringards". Mais l'Argentine en est sûrement là.