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dimanche, 10 juin 2012

Je veux qu'il n'y ait si pauvre paysan en mon royaume qu'il n'ait tous les dimanches sa poule au pot.*

Cette nuit, on était Jean-Paul et Bernard. Je m'explique. On était invitées à une grande fête où on devait dormir parce que c'était à une heure trente de chez nous en voiture. Pour qu'on trouve les chambres notre hôtesse avait mis de jolies étiquettes sur les chambres. Certaines chambres étaient des dortoirs. Quand nous sommes arrivées, on nous a dit que finalement on dormirait dans un autre gîte. ADMV était un peu contrariée, parce qu'elle aime pas pas savoir, et puis les autres ils savaient où ils dormaient, et pas nous. C'était pas grave puisqu'on a mangé, bu, tchatché, chanté et dansé jusqu'à 4 heures du matin. Et là, on a eu un nouveau changement de programme, deux garçons étaient partis et on nous a donné leurs places. On n'a pas regretté car c'était une jolie chambre rien que pour nous ! Ce matin, on est rentrées par le chemin des écoliers bientôt en vacances, sous le soleil et en évitant gendarmes et radars, nombreux en cette période de floraison.

A 13 h, la faim nous a reprises malgré un bon petit-déj ce matin, à base de brioche et pain viennois, et ADMV nous a fait une merveilleuse tarte salée dont elle a le secret. J'ai vu le début de ce qui aurait pu être du tennis, mais qui était en fait deux ou trois mecs qui causaient en attendant que ça commence, sans vraiment savoir quoi dire, mais en le disant quand même, et une nana qui est plutôt jolie, mais qui ne dit rien en attendant qu'on ne lui passe pas la parole. J'ai cru que cette année on faisait jouer les singes, car ils n'arrêtaient pas de parler de Jocko !

Puis, nous sommes allées voter. Contrairement à ce qu'annonçaient les journalistes qui savent toujours tout, j'ai trouvé qu'il y avait du monde. Bon peut-être qu'après l'après-café ça s'est calmé. La dame de l'accueil m'a demandé si je voulais bien revenir pour le dépouillement et, portée par l'enthousiasme d'une fête autour d'une copine très militante, j'ai dit oui, me disant que tout ce champagne valait bien que je montre un peu de sens civique. J'y vais donc pour 18 heures, mais pour l'instant je bois un café pour ne pas avoir de coup de barre pendant que je déplierai les petits papiers.

Pour "dépouillement", sur gougueule images, on trouve ça :

Et ça :

Vous croyez qu'on sera tous à oualpé ?

En attendant, je cours de cette foulée enregistrer QC1P.

*Henri IV

jeudi, 20 janvier 2011

PAS DE WIFI LA OU JE VAIS

Ce weekend je pars. Pas très loin, mais plus haut que chez moi, et là où il y a plus de neige. Tout ça pour vous dire que je vous dis "A lundi !"

Reposez-vous bien, et si vous vous ennuyez allez finir mon jeu, là.

 

J'espère quand même que mon weekend "anciennes combattantes de 6ème" sera un peu moins sportif que ça !

jeudi, 14 février 2008

Sourires

Mission du jour : vous parler de mon court séjour à Paris. Court, mais intense (intensif ?), et je sens que cela va me prendre plusieurs notes. J'ai rencontré des bloggeuses, connues, et inconnues. Enfin, inconnues, je m'entends. Claude, je l'ai reconnue à cent mètres, et j'étais sûre que c'était elle, car je l'avais déjà vue, sur son blog, en photo, en vidéo, et en mots. Ensemble on a visité le Musée Montmartre en bavardant. Je devrais dire, on a bavardé en apercevant le musée et son expo d'affiches. Comme deux profs non-disciplinées, on a boycotté les machines appelées "audiophones" qu'on nous avait données avec les tickets. 30da3849793d68d132aad77898eb1237.jpgCa coupe la communication, ces trucs ! On ne va pas visiter une expo avec une amie, chacune dans sa bulle sans échanger ! Ou alors pourquoi ne pas y aller seules ! C'est pô humain, moi j'dis ! Conversation de copines déjà complices continuée à la terrasse d'un café montmartrois.

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Pas à une contradiction près, j'ai emprunté le portable de Claude pour appeler Agla. (pour ceux qui ne seraient pas au courant, j'ai horreur des portables !) Il y si peu de cabines à Paris, qu'on ne me laisse pas le choix.

Ah ! Gla ! quelle soirée ! Une potée des familles entre cop's. Trois chats à câlins. On refait le monde et nos vies autour d'un Cahors et c'est bien sympa. La prochaine fois, ce sera en terrasse... (chez moi) ou dans ses studios.3e4ce9a5227aa89271618fc8beb48bfc.jpg Oui, elle a ses aises, Agla, là où elle est. Et elle a toujours son sourire. Heureux !

 

 

Tout à l'heure, je repars, dans une autre direction, voir d'autres sourires. On ne s'arrête pas quand on est en vacances ! La route du cinéma m'appelle, j'y cours.

09:45 Publié dans Emotion | Lien permanent | Commentaires (19) | Tags : Vive la Vie, copines