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mercredi, 07 septembre 2011

Il n'y a de bons professeurs que ceux en qui subsiste la révolte de l'élève.*

Dans sa dernière note Axel m'a fait me rappeler de l'attitude d'une de mes profs face aux textes de Maxime Le Forestier.

Dans son cas, il s'agissait de La vie d'un homme. Je n'ai pas trouvé le clip. Mais vous trouverez les paroles ici. Et l'histoire de Pierre Goldman, à qui il dédiait la chanson sur scène, là. Avant une fin dont il ne se doutait sans doute pas.

Dans ma classe de première, c'est J'men fous d'la France qui mettait ma prof de français hors d'elle.

Ecoutez en fermant les yeux, car les images ne sont pas celles auxquelles il pensait à cette époque-là !

Quand j'ai commencé à écouter et aimer MLF, il avait à peine 25 ans, sa première tournée, il l'a faite sous chapiteau (c'était nouveau) et ça coûtait 10 F. J'avais 15 ans, j'étais enthousiaste, et je suis retournée à plusieurs de ses concerts, vu que ce n'était vraiment pas cher. (30 F à l'Olympia, en 1978 !) Sa révolte me plaisait, et il m'a fait découvrir des gens supers en première partie : Yvan Dautin, Joël Favreau. Le comble, c'est dans le Figaro que j'ai trouvé un article qui raconte bien son parcours !

Et vous, à 15 ans, vous vous passionniez pour qui ? Vos profs en disaient quoi ? C'était quand ?

* Edmond Gilliard