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samedi, 06 juin 2009
NOTRE NOUVEAU DEFI !
Mon début de roman, lui, est là :
La sexualité de la concierge nous préoccupait depuis quelques mois. Tout avait commencé un lundi. Quand j'étais passée comme tous les matins devant sa loge à 7 h 00 pour savoir si je devais lui raporter un nem ou un rouleau de printemps du Petit Hong Kong Fleuri, le magasin de Monsieur Liu qui fait le coin de la rue de la Vis-qui-Ripe, j'avais remarqué des rougeurs inhabituelles sur ses grosses joues saillantes, qui, même sans cela, la faisaient ressembler à une fermière tatare, mais aussi, et surtout, sur le haut de son décolleté. Chose encore plus étrange, les deux premiers boutons de son chemisier violet étaient défaits. Madame Ricot était très soignée. Jamais elle ne sortait de sa loge sans s'être peignée et habillée avec rigueur, et ce, dès 6 h 00 du matin ! Alors, la voir ainsi dépenaillée ! Et le terme ne revêt aucune exagération. Deux boutons, pensez-donc ! Cette vision, donc, m'avait intriguée. Mais pas autant que la paire de menottes aperçue sur la table par la porte entrebaillée. Inconsciemment mon regard avait glissé sur le satin violet jusqu'aux poignets de Madame Ricot. Mais les gants Mapa assortis montaient quasiment jusqu'aux coudes. "Deux nems" prononça-t-elle dans une sorte de râle. L'inquiétude m'avait saisie alors pour de bon. Et c'est la gorge nouée que j'avais pénétré dans le paradis de l'exotisme quelques minutes plus tard. Les choses ne s'arrangèrent pas par la suite.
Je n'ai rien reçu par mail, mais il est encore temps de m'envoyer vos textes. Allons tout de suite voir chez Zapette ce qu'elle nous a concocté !
06:55 Publié dans Blog, Culture et plaisir, Humeurs, Loisirs, Quotidien agréable | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : vive la vie, blog de femme, femme, femmes, atelier d'écriture
Commentaires
On n'est pas dans l'éducnat ici... si faut rendre un devoir 20 ans plus tard on oublie !
Écrit par : Pascale | samedi, 06 juin 2009
Répondre à ce commentaire"La sexualité de la concierge nous préoccupait depuis quelques mois. Nous étions quelques jeunes locataires à résider dans cette pension de famille. Les appartements étaient confortables, pour un loyer modeste. La concierge préparait le soir des repas familiaux autour d’une table où nous avions beaucoup de plaisir à nous retrouver, à discuter de nos journées respectives. La concierge ne partageait jamais ces repas. Dès qu’elle avait fini de cuisiner, nous la voyions retourner à sa loge, un peu gênée, un peu rougissante.
Un soir, l’un d’entre nous, rentrant à la pension un peu plus tard que d’habitude, était passé devant la loge. Il avait entendu des soupirs et des coups de fouet. En passant à table, il nous fit part de sa découverte. Un autre pensionnaire, un soir où il fumait une cigarette, avant de regagner son appartement, avait aperçu un homme sortir de la pension et lui avait trouvé un air bizarre.
Les avis étaient partagés autour de la table, fallait-il intervenir ? La concierge semblait épanouie. La cuisine était bonne, qu’allions-nous nous mêler d’une affaire privée et risquer de perdre notre table si conviviale."
Écrit par : Agathe | samedi, 06 juin 2009
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Ed | samedi, 06 juin 2009
Écrit par : zapette | samedi, 06 juin 2009
Répondre à ce commentaireÉcrit par : zapette | samedi, 06 juin 2009
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Ed | samedi, 06 juin 2009
C'était une grosse cochonne.
On ne le savait pas.
Depuis, elle a refilé la grippe à tout le monde.
L'immeuble est un vrai lupanar.
C'est comme ça que se transmet un virus.
Par la quéquette et la foufoune.
La concierge est portugaise alors elle a du poil au menton.
ça pique quand elle fait des trucs au concierge.
C'est pour cette raison qu'on a trouvé ça préoccupant.
Elle ne se fait jamais le maillot".
Écrit par : Pascale | samedi, 06 juin 2009
Répondre à ce commentaireÉcrit par : Ed | samedi, 06 juin 2009
La prochaine fois, rappelle le nous zi ton devoir à faire...
Et pis comment des joues peuvent être à la fois
grosses et saillantes !!!
En tout cas, ça donne faim ton texte mais ça donne pas envie de queuter.
Vos concierges c'est rien que des grosses sado maso qui pensent qu'à bouffer entre deux coups de trique si j'ai bien compris.
Écrit par : Pascale | samedi, 06 juin 2009
Répondre à ce commentaireÉcrit par : zapette | dimanche, 07 juin 2009
Répondre à ce commentaireBon, la prochaine fois, je sonnerai le rappel ! on aura un bijou littéraire.
Écrit par : Ed | dimanche, 07 juin 2009
Écrit par : Pascale | dimanche, 07 juin 2009
Répondre à ce commentairePas eu le temps d'écrire, j'étais occupée à (faire semblant de) réviser...
Écrit par : Ju' | lundi, 08 juin 2009
Répondre à ce commentaireTant que je te distrais en cette période difficile, c'est tant mieux.
Écrit par : Ed | mardi, 09 juin 2009
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