Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

« "Une lecture amusante est aussi utile à la santé que l'exercice du corps."* | Page d'accueil | L'automne est une demeure d'or et de pluie * »

lundi, 11 octobre 2021

Ecrire c'est lire en soi pour écrire en l'autre *

Deux livres dont je voudrais vous parler. 

Le premier, de Marie Maher, Pour la Beauté du Geste

Pour la beauté du geste.jpg

Le deuxième, de Asya Djoulaït, Noire Précieuse.

619UB6wwvDL._CR269,0,1170,1170_UX175.jpg

Cliquez sur les images pour avoir plus d'informations 

Le premier, je l'ai lu l'an dernier, d'une traite, et ai été bouleversée par le contenu et par sa sobriété efficace. Le deuxième, je n'ai pas encore eu le temps de le lire, mais il est en haut de ma PAL ! 

Qu'ont-ils en commun ? Eh bien, ils m'ont été présentés lors de moments très agréables. Une ancienne collègue organise chaque année un brunch où, en petit nombre, nous avons l'occasion de rencontrer un auteur, en l'occurrence deux autrices, dont le livre dont nous parlons est un premier livre. 

C'est une chance incroyable de pouvoir profiter de tels moments. Et la semaine qui suit ces écrivaines présentent leurs œuvres à des élèves, et échangent avec eux. Ah, que j'aurais aimé ça quand j'étais au lycée ! A cette époque, un écrivain étudié en classe me semblait forcément mort, au mieux inexistant. Je me souviens de ma surprise quand Prévert est mort quand j'étais en BTS. Moi qui avais lu tous ses poèmes, vu les films de Carné en noir et blanc, bêtement, je le croyais déjà mort. Nos profs nous parlaient des œuvres, quasiment jamais des humains, de leurs vies.

*Robert Sabatier

Commentaires

C'est vrai ce que tu dis, à l'école et après au collège et lycée, on n'a étudié que des auteurs déjà morts à l'époque.... Je vais aller cliquer sur les images pour avoir plus d'informations. Bon week end, bonne soirée.

Écrit par : ELISABETH | vendredi, 22 octobre 2021

Répondre à ce commentaire

Bonne lecture !
Merci d'être passée, je viens de repérer une faute de frappe, que je vais de ce pas corriger. :-)

Écrit par : Ed | lundi, 25 octobre 2021

Je découvre ton blog suite à ton commentaire chez moi ! J'aime beaucoup tes citations entre autres.
Pour moi aussi, les écrivains étudiés en classe étaient forcément déjà morts. En revanche j'ai rarement apprécié les oeuvres décortiquées à l'école. Pourtant j'adore analyser, mais le fait qu'on m'impose peut-être... ainsi je n'ai pas aimé les fleurs bleues de queneau, programme de première ou terminale littéraire je crois, j'ai détesté belle de jour à la fac de lettres... heureusement, Paroles de prévert n'était pas au programme, et il a donc pu être une des lectures préférées de mon adolescence !

Écrit par : Papillote | vendredi, 12 novembre 2021

Répondre à ce commentaire

Bonjour ici !

Je continue ce blog commencé dans sa première version en 2006 je crois. J'ai de moins en moins de lecteurs et lectrices, sans doute à cause de mon énergie à publier qui en a pris un coup aussi.
Mais une nouvelle visiteuse va peut-être me stimuler !
J'ai lu Les Fleurs Bleues de moi-même, ainsi que tout Prévert et Vian. Jamais expliqués, décortiqués en classe. J'ai sans doute raté des classiques (Zola, Balzac, Proust...) à cause du cours conventionnel de l'époque (1974-76). Puis je suis passée à la littérature anglophone. Depuis que je suis en retraite, j'essaye de combler mes lacunes en auteurs francophones. A bientôt.

Écrit par : Ed | mardi, 16 novembre 2021

Écrire un commentaire