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lundi, 07 février 2011

ADIEUX

Je l'avais connue en lisant l'Autre et la Maison Sans Racines. La découvrant presque en même temps que je découvrais son fils. "Anne ma soeur Anne" et "Monde cinglé"...

Elle est une des rares poétesses (ou même poètes) contemporaines dont je lis les vers sans avoir besoin de relire dix fois pour comprendre, sans me dire que c'est trop précieux ou pédant.

Et puis un jour j'ai assisté à une soirée merveilleuse où il y avait elle, son fils et son petit-fils. Les deux hommes chantant ensemble les mots de la femme. Et que d'amour il y avait sur cette scène-là.

Est-ce avant, ou après cette soirée ? Dans un petit théâtre parisien, j'ai assisté à une pièce intitulée "Le Dernier Candidat", écrite par Andrée Chédid. Elle avait choisi cette soirée pour venir voir sa pièce. Et dans l'entrée, où elle attendait tout comme nous, soudain elle a dit "ah, Loulou, te voilà." Et ce chanteur que j'aime aussi beaucoup est arrivé, barbu comme jamais. Ils se sont serrés dans les bras. Je n'ai pas demandé d'autographe ou parlé. Mais quand même, j'étais émue d'être à côté d'eux sur les bancs du théâtre. Les acteurs aussi était émus !

Il y a un site qui parle d'elle en anglais:

http://www.andreechedid.com/

mercredi, 27 mai 2009

A VOS STYLOS !

incipit (n.m.)

Premiers mots d'un ouvrage, d'un livre.

Je ne sais pas si celui-ci en est un vrai. C'est Agathe qui me l'a envoyé, avec quelques autres, mais c'est mon préféré.

 « La sexualité de la concierge nous préoccupait depuis quelques mois. »

 Il y a donc deux défis en un. Le premier, me donner le titre du roman qui commence par cette phrase, si vous le connaissez. 

Le deuxième, écrire la suite. 15 à 20 lignes du roman qu'il pourrait commencer. On publie le samedi 6 juin, ici ou chez vous. Vous pouvez m'envoyer votre texte par mail.

C'est un peu long, mais avant, je ne sais pas quelle va être ma connectabilité. En effet, l'Education Nationale m'envoie de nouveau torturer des élèves. Mais cette fois, pas d'hôtel, mais des allers-retours journaliers, de mardi à vendredi !

(Robert Doisneau)