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lundi, 25 août 2008

Bon, allez, j'suis sympa !

J'ai eu juste le temps de lire le premier com' de Pascale à ma note précédente avant de partir, et je me suis dit que je ne pouvais pas vous laisser comme ça, pendant une semaine, sans un jeu à vous mettre sous la dent.

C'est un jeu qui va demander de l'intuition, mais aussi une certaine connaissance des modes en matière de prénoms. Sachant que je découvrirai lundi prochain la liste de mes élèves de seconde, qu'il y en aura 35, que la mixité est encore respectée avec en général un tout petit peu plus de filles que de garçons, que je travaille dans le centre ville, mais que la population scolaire est cosmopolite, qu'ils sont nés aux alentours de 1993, essayez de deviner comment ils vont s'appeler.

Vous devez donner 5 prénoms, et lundi soir, je désignerai comme gagnant(e) celui ou celle qui aura le plus grand nombre de prénoms présents dans ma liste de secondes parmi ses cinq propositions.

jeudi, 21 août 2008

Les veilles de vacances, c'est moins bien que le jour des vacances.

Quelle journée !

Lever 8 heures, même pas le temps de prendre le café que les copains qui nous apportaient en dépôt (pour 5 ? 10 ? 20 ? ans...) des meubles sont arrivés. On a maintenant des armoires, une bibliothèque, des bouquins, tellement qu'on va finir par être accusées de recel ! Dans la manoeuvre, j'ai quand même hérité d'un joli meuble un peu kitch que je "customizerai" dès que j'en aurai le temps, et qui m'a permis de faire des déplacements livresques et de gagner de l'espace pour mieux m'y retrouver dans "mes ressources pédagogiques". Evidemment c'est toujours la veille du départ en vacances que la serrure de la porte du garage nous lâche. J'ai trouvé une belle barre de fer pour pallier le manque, mais il a quand même fallu aller chez Le Prince-Enchanteur (trouver la marque !) pour acheter un cadenas aux bonnes dimensions et parfaire notre système perso de fermeture ! J'ai aussi acheté un nouveau filtre pour la hotte, et en la nettoyant j'ai constaté que bien que je fasse des efforts, je cuisine gras ! Je vous explique : je fais le ménage un peu à fond dans ma grande pièce, parce que y'a une fête de famille qui s'annonce, vu mon âge qui a avancé, et que je veux faire bonne impression, moi qui ne suis pas Miss Femme d'Intérieur... Au milieu de tout cela j'ai quand même réussi à trouver le temps de nous faire un petit repas sympa, mais au milieu de mes rangements, et parce que, à cause d'une allergie, je ne porte pas de montre en ce moment, j'ai raté mon rendez-vous chez le médecin. Heureusement, comme je suis une bonne "cliente", elle m'a dit de venir très vite, et j'ai pu avoir mon ordonnance, et mon vaccin ! Le tétanos ne passera pas.  Ah, et puis j'ai préparé ma valise aussi. La Bretagne nous attend, son soleil, ses galettes, son cidre... On part demain matin, et ce soir on doit encore emmener notre chat dans sa pension de vacances.

Tout cela pour vous expliquer pourquoi je ne suis pas passée plus tôt. Et pendant ce temps-là, j'en connais qui me traitent d'ingrate ! Alors que je ne vais penser qu'à vous, bien sûr !

Soyez patients, une semaine ça passe vite.

J'ai pas eu le temps de pré-publier des jeux, tant pis pour mes stats !

mercredi, 20 août 2008

NOMBRE MYSTERE

Un jeu !

A quoi correspond ce nombre ???

 

1.3

LA BONNE REPONSE C'ETAIT QUE JE PUBLIE UNE NOTE TOUS LES 1.3 JOURS !

EN COMPTANT MES DEUX BLOGS J'AI PUBLIE 650 NOTES EN 850 JOURS...

PAS MAL, NON ?

mardi, 19 août 2008

Donner son avis n'est pas toujours simple

Je voulais simplement donner mon avis sur un film. Mais d’abord, il faut créer son compte. Là, on vous demande un tas de trucs hyper personnels, que vous n’avez pas envie de donner à n’importe qui. Votre date de naissance, votre adresse personnelle, par exemple. Le téléphone portable n’est quand même pas encore obligatoire. En bas, signal d’erreur. Mince ! J’ai oublié de confirmer mon mot de passe… Quand j’ai cru avoir accompli ma mission, tout en restant anonyme, faut pas pousser, on m’a dit NON ! Votre pseudo ne convient pas. Il faut au moins six lettres ! Je n’ai même pas le droit de m’appeler Ed…J’ai modifié. Puis, j'ai dit que non, je ne voulais pas recevoir de mails de leur part, NON, d'aucune sorte, même celle-là, NON, n'insistez pas ! Et puis, mauvaise tête, je n'ai pas voulu leur donner mes goûts cinématographiques. Z'ont qu'à lire mes critiques, ils les connaîtront mes goûts ! Et, au terme de cette folle cyber-course, j'ai enfin pu valider ! Et là, évidemment, ils m’avaient perdu mon film… J’ai tapé le titre dans la fenêtre « Rechercher », puis cliqué sur « Ecrivez votre critique », mais ils m’ont alors dit que j’allais recevoir un mail me demandant d’activer mon compte. Je suis donc repartie sur ma boîte. J’avais bien un mail, mais pas le bon, seulement un qui me disait bonjour. Le deuxième est arrivé quelques minutes après. J’ai activé. Je suis retournée sur ma page, ai cliqué sur « Page précédente », puis à nouveau sur « Ecrivez votre critique », et là, enfin, miracle de l’internet, j’ai pu donner mon avis. Ecrire mes mots. J’ai validé, après avoir accepté leur charte. Ma critique n’est pas encore apparue, mais ça ne saurait tarder… Donner son avis sur Alossiné, c’est une véritable épreuve initiatique !

Et pendant ce temps-là, la rampe attendait d’être peinte…

lundi, 18 août 2008

C'est vrai que c'est bien diffiçawahile !

J'ai mentionné, au hasard des coms ou de la c-box, je ne sais plus, que nous peignions. Notre mission, et nous l'avons acceptée, est de recouvrir d'une couche de peinture anti-rouille bleu nuit la balustrade de notre terrasse ainsi que les barres d'appui de cinq fenêtres côté jardin. Nous avons donc protégé, lavé, nettoyé, dilué, coupé des branches, peint, enfin !, et il ne nous reste plus que la rampe de l'escalier et les deux fenêtres du bas à finir. Nous profitons d'une météo favorable, d'un temps libre qui ne nous est que rarement imparti à toutes les deux ensemble, et d'une motivation commune qui ne durera peut-être pas.

Pour vous donner une idée : avant et après !

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Et l'impression persistante que nous hésitons entre le bricolage et le body-art. En tous cas, nous protégeons nos genoux, la souffrance n'entrant pas dans notre définition des vacances.

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Reconversion des grands-mères...

Nous aurions pu regarder les singes sur ARTE, mais nous en avions vu en vrai vendredi. Alors nous avons opté pour un DVD : La Première Folie des Monty Python, ou un florilège de leurs meilleurs sketches. Très anglais, très "années 70", très drôle. S'il y a dans mon lectorat des grands-mères dont la vie est devenue un ennui mortel à cause du crochet, elles peuvent toujours envisager d'entrer dans un gang, avec des copines !

 

dimanche, 17 août 2008

Après le commerce...

J’ai rencontré un couple EQUITABLE.

 

 

Lui, il fait la cuisine, subtilement, délicieusement, sans avoir l’air d’y passer des heures, et pourtant…, il nous sert avec le sourire, il veille sur elle, il va bosser tout seul pour que sa chérie reste avec ses copines, il nous offre une bonne bière, il nettoie le bassin, il me propose une chaise longue avec coussin, il choisit le vin, nous l’offre, sourit, joue avec nous au blind-test sur les musiques de films, vient se promener avec nous pour faire du tourisme.

 

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(C'est pas la même fois, mais c'est quand même lui, déjà qu'avait fait ça !)

 

Elle, elle achète les serviettes en papier, va chercher les petites cuillers, râle, dit mille conneries/minute, qu’on n’a même pas le temps de noter, répond super balèze à toutes les questions de cinéma au trivial, embête mon ADMV, rigole, nous met des beaux draps avec des girafes, fait le café parce que c’est SA machine, va pas bosser parce que ses copines sont là, nous emmène en ville dans sa super voiture eu'd sport, et est méga gentille avec son dada.

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(C'est pas tout le monde qui sait choisir des belles coccinelles comme ça !)

 

Le vrai partage des tâches, c’est ça, non ?

 

jeudi, 14 août 2008

Leisure Centre

Les lieux de loisirs préférés des français pendant les vacances d’été (en tous cas par chez moi !) :

1. La déchetterie.

Il devrait y avoir un concours, avec des prix, tout ça, et peut-être qu’il y aurait encore plus de monde…

 

D’abord, 5 points si vous êtes le premier à la trouver. Souvent le fléchage est erratique. Bon, dans ma ville il y en a trois ou quatre, alors si vous en manquez une, vous tombez sur l’autre.

 

A l’entrée un handicap en voie de disparition est la suspicion née de la lecture de votre plaque minéralogique par le responsable du site. Si vous venez d’un autre département, gare ! Il faut montrer patte blanche… (Je suis contente de trouver enfin un intérêt à la suppression prochaine des n° de départements sur nos voitures.)

 

Puis trouver une place sans érafler les divers véhicules utilitaires, 4x4 ou remorques déjà garés dans une logique approximative. 5 points.

 

Temps de vidage de votre coffre : de 1 à 5 points.

 

Mais attention, il y a des pénalités ! Il ne faut pas se tromper de container…

 

 Il y a d’abord celui devant lequel personne ne semble s’affairer, mais où une subtile petite grille blanche est censée vous faire comprendre que c’est « FERME ! » comme vous le crie aimablement un employé reconnaissable à son seyant pantalon du même tissu que les gilets qui occupent à présent nos boîtes à gants.

 

Et puis il y a des nuances que seuls les habitués maîtrisent sans doute : DIVERS – INCINERABLES – CARTONS . Le profane se demande : « les cartons sont-ils incinérables ? » (adjectif d’ailleurs refusé par mon correcteur d’ortographe…). Les vitres vont naturellement dans « DIVERS » (dix verres ?) Mais la vieille truelle rouillée, que vous vous apprêtiez à y ajouter, va, elle dans les « METAUX »… bien qu’ayant un manche en bois. Tous comptes faits et après bien des hésitations, vous n’êtes donc pas sûr de gagner !

 

Mais comme disait l’autre, l’important, c’est de participer et surtout de ressentir à la fin de notre équipée la satisfaction du devoir accompli, suivie de celle de pouvoir contempler la vacuité nouvelle et encourageante de notre cave ou notre grenier.

mercredi, 13 août 2008

Souvenir de vacances

On l'a mangé hier. Un souvenir de vacances qui prolonge le plaisir.

http://www.banon-aoc.com/presentation.html

mardi, 12 août 2008

J'aime les soirs de vacances

Pendant l'année scolaire, le soir, je termine de bosser pour le lycée vers 20 heures, ensuite, j'ai faim et je suis crevée, soit je m'installe devant une connerie à la télé, vu que mon cerveau ne peut plus être efficace, soit je blogue (le plus souvent) et ça me détend, mais je sais que je loupe des choses intéressantes au ciné, ou sur certaines chaînes qui malheureusement proposent des programmes intelligents, mais tardifs. C'était le cas sur ARTE hier soir. Mais pour une fois, j'ai pu regarder en entier, sans bailler une seule fois, et profiter de ce reportage passionnant et émouvant sur Daniel Barenboïm et son projet monté en collaboration avec Edward Saïd : un orchestre de jeunes arabes et Israëliens, qui ont travaillé ensemble durant six ans, ont d'abord fait des concerts en Europe, puis au Maroc, et puis, but final, qui paraissait totalement utopique au début, à Ramallah en Cisjordanie ! Il faut voir ce reportage.

Une partie du concert est en vidéo sur le site d'ARTE : http://plus7.arte.tv/fr/detailPage/1697660,CmC=2146754,sc...

Malheureusement, il n'y a pas de rediffusion de l'émission elle-même. Pour que vous regrettiez de ne pas avoir regardé : http://www.arte.tv/fr/semaine/244,broadcastingNum=862757,...

 Et j'en profite pour dire que Valse avec Bachir passe encore dans les salles de province. Si vous l'avez manqué, foncez !

En première partie de soirée, on s'est regardé un DVD : Head on (en allemand Gegen die Wand). Un choc, genre tragédie grecque, mais ici, tragédie turque. La (ou les) question posée : A quelle culture appartient-on quand on est immigré ? Le retour aux racines peut-il empêcher de tomber dans la folie ? L'amour peut-il empêcher de mourir, donner un sens à la vie ? Et bien d'autres encore. Ce film est sorti en 2004, quand Pascale n'avait pas encore son blog, c'est pourquoi il n'est pas dans ses archives, mais je suis sûre qu'elle l'a vu.

Des soirées comme ça, ou comme celle de ce soir, apéro dinatoire avec les copines, j'en redemande !

lundi, 11 août 2008

AUTRES ASPECTS DE MES VACANCES

On s'était dit qu'on dormirait à Lyon pour éviter les bouchons et qu'on se promènerait sur les Quais de la Saône. Mais ce jour-là, il a plu comme cheval qui pisse (on dit plein de trucs sur le sud, c'est que de la propagande !), et vu qu'on était claquées on est restées dans notre Mâgnifiiiiiiique Etapotel et on a mangé au Courtepaille, comme quand j'étais petite !

Le lendemain, en principe, on n'avait qu'une heure et demie de route pour finir le trajet. Mais comme ma copine clown avait trouvé gaguesque de nous inviter à fêter ses 50 ans le 2 août, weekend le pire qui soit du chassé-croisé des touristes, on a mis un peu plus... Faut dire que sur l'itinéraire ter de l'itinéraire bis, y'avait des voitures qui roulaient derrière des arbres, alors comment voulez-vous qu'on avance ???

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Sinon, on a goûté le luxe d'une piscine écolo en plein coeur de la Drôme, bassin de roseaux attenant et paysage grandiose en nageant !

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Et le non moins luxe des rivières où pour une fois l'eau coulait. Z'avaient pas dû non plus avoir un beau printemps les sudistes ! C'était vert comme jamais !
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dimanche, 10 août 2008

Promenade de vacances

« PANIQUE A OK CORRAL ! » ADMV m’a dit d’ajouter ça pour faire venir les lecteurs…

Durant la journée le soleil frappait fort, et trouver un coin d’ombre, confortable sur les pierres plates près de la rivière où cette année exceptionnellement le courant était assez important pour former des piscines pour chaque niveau de compétence, relevait de l’exploit, voire du privilège. Alors, quand l’idée fut lancée de descendre à pied à la table d’hôtes pour déguster un repas de fin de vacances, personne ne refusa, se disant qu’au moins l’effort ferait mériter les délices offerts. Vingt-cinq minutes de marche, ce n’est rien quand les enfants courent devant, armés du talkie-walkie, et que l’on bavarde tranquillement. Remonter au gîte le soir, est même tentant, dans la nuit noire, puisque, ne campant pas, on n’a pas pensé à mettre une lampe de poche dans la valise. Tout le monde prolonge de bavardages divers ce repas arrosé, et quand Ed et ADMV prennent congé, en raison des huit heures de route du lendemain, elles sont presque contentes de repartir à deux, dans l’intimité de la nuit. Elles cheminent se rappelant mutuellement leurs expériences de promenades nocturnes de leur jeunesse. Les étoiles sont très visibles, mais la lune, extrêmement basse et grosse d’un quart seulement, se cache derrière les arbres. On devine à peine le chemin goudronné, désert dans le sous-bois. Soudain, devant, à quelques mètres à peine, une cavalcade. Pas humaine, de toute évidence. La lourdeur du bruit, puis le grognement, font deviner les sangliers. Elles s’arrêtent. Respirent à peine, se tiennent par la main, serrée. ADMV chuchote à Ed de se placer contre elle, contre un arbre. Mais l’arbre le plus proche est bien maigre ! Ed ne peut poser son second pied à cause du bruit. Elle regrette d’avoir mis son pull blanc au lieu de sa polaire noire. Le sanglier se rapproche. Gronde, exactement comme un chien très en colère, plus même ! Sa respiration est tellement présente ! Les feuillages et les frêles arbres qui bougent indiquent son déplacement, mais Ed a beau regarder, elle ne le voit pas, n’aperçoit pas ses yeux. D’ailleurs, le souhaite-t-elle ? Il semble qu’il n’y ait qu’à peine deux mètres pour les séparer. Dix longues minutes passent. Ed envisage le pire que pourrait lui faire le sanglier. Se demande si c’est le mieux de ne pas bouger, ou s’il aurait fallu s’en aller tranquillement dès le début. La bête se lasse et semble s’en aller. Ces deux humaines ont dû finalement lui paraître inoffensives. Alors Ed et ADMV reprennent leur marche, le pied d’appui très endolori et plein de fourmis pour Ed, essayant de faire le moins de bruit possible. Elles ont accéléré et en cinq minutes à peine ont atteint le parking du gîte. Ed a pris la voiture, est partie chercher le reste du groupe qui montait avec les trois enfants, et il n’y a pas eu à insister beaucoup pour qu’ils grimpent à bord. Le mot « sanglier » a suffi.

 

 

vendredi, 08 août 2008

Il a 71 ans

Devinez lequel de ses films j'ai vu en premier, combien j'en ai vu, celui que j'ai préféré, et celui qui avec le recul me plait le moins.

(Je me suis référée pour répondre à la liste ouiki !)

 

mardi, 05 août 2008

Des petites choses qui valent beaucoup d'argent

Quand vous achetez une petite culotte, vous pensez bêtement au confort, au look, au côté sexy et affriolant, à la qualité éventuellement pour qu'elle vous dure quelques années. Mais il faut penser à plus long terme ! Imaginez que votre petite culotte "mnprix" sera peut-être vendue aux enchères dans 120 ans ! Ne négligez pas votre descendance, ou les heureux héritiers de ceux qui auront racheté votre maison. Vérifiez que l'étiquette ait des chances d'être encore lisible d'ici un siècle !

La Reine Victoria était une femme prévoyante dont les dessous font encore faire fortune à certains.

Je me demande : les dessous des rois et hommes politiques font-ils autant recette ?

samedi, 02 août 2008

Qu'est-ce que c'est ?

Savez-vous ce que c'est ? J'en utilise depuis plus de 25 ans, et je n'en ai vu pour de vrai que cette semaine. Maintenant que j'en ai acheté, je vais fureter sur internet pour savoir comment m'en servir sous cette forme.