Comme mon activité sur mon blog ne le prouve pas...

Sur mon blog ça bouge à un rythme d'enfer ; on a rattrapé le retard du nombre de com's dû au festival de Chalon ; je carbure pour inventer des jeux ; je réponds si vite à vos interventions nombreuses et pertinentes qu'on pourrait croire que je reste les fesses collées à ma chaise de bureau et les yeux rivés sur l'écran. Mais non ! Je m'active et je fais des petites pauses très courtes pour ne pas perdre le fil. Depuis deux jours j'ai été particulièrement active je trouve. J'ai tondu la pelouse, lancé (pas trop loin) et étendu trois lessives et fait le ménage à fond, parce qu'un copain d'ADMV venait aujourd'hui (quand on me prévient longtemps à l'avance, j'ai le temps de faire le ménage !) donner un concert dans MAVILLE. ADMV a des potes célèbres. Remarquez, moi aussi, la semaine prochaine, c'est un pote à moi qui vient. Hier j'ai été réveillée par le téléphone. OK, c'était une heure raisonnable pour se réveiller : 9h30. Mais c'était mon cousin conservateur de musée, et dès qu'il parle je ne comprends pas tout. Alors, au réveil, c'était plutôt space. Je lui parle Chalon dans la Rue, il me répond congrès archéologique ; je lui mentionne Givry, il me répond église, halle au grain. Il me raconte le mariage auquel je ne suis pas allée à Dax. J'ai bien fait, il a plu tout le temps. Et surtout il me donne les consignes pour une traduc qu'il me demande de lui faire. A part le jardinage, hier, j'ai trié des papiers, ça, c'est jamais fini, et j'ai essayé de comprendre les explications données sur le blog hautetfort où zapette et moi on s'est croisées l'autre jour, mais ça doit être une langue étrangère que j'ai pas apprise à l'école, j'ai du mal ! Ce matin, je me suis réveillée toute seule sans coup de fil à 7 h 30 et j'ai pu faire et le ménage, et les courses. A 13 h 30 je suis allée chercher ADMV à la gare ; j'avais même eu le temps de faire à manger, et de lire quelques pages de mon nouveau bouquin : Altyn Tolobas, de Boris Akounine. C'est un polar russe, Georgien d'ailleurs. Ca a l'air vraiment bien. Six mois que je l'ai et voilà seulement que je le commence ! A 15 h 15  on est parties au concert et on pensait être en avance vu que ça commençait à 16 h, mais c'était compter sans les retraités qui assiègent l'entrée une heure et demie avant ! C'était dans une église. On a quand même réussi à être au septième rang, et j'ai vu et entendu correctement, bien que n'étant pas au milieu. C'est un peu ridicule, tous les gens devant portaient des sonotones, donc là ou derrière, ça changeait rien pour eux ! Après le concert, le copain d'ADMV, pianiste de son état, est venu à la maison grignoter les toasts, dips et salade de fruits que j'avais préparés et vient de repartir à l'autre bout de la France. Et nous allons commencer vraiment notre weekend !

Mince, j'avais dit que je ferais une note sur l'hôtel ! Ca sera pour une autre fois... ou jamais.

Ce n'est pas une journée comme les autres

D'abord c'est le lendemain du feu d'artifices. Et là, je veux vraiment dire merci à la nouvelle municipalité de ma ville, qui, elle, nous a dit merci hier soir d'avoir voté pour elle ! C'était splendide. Des fusées en tous genres, que même y'en avait plein que je n'avais jamais vu de ma vie. Et ça a vraiment été une belle fin de soirée. Un beau cadeau pour ceux qu'ont pas un rond et qui ne sont pas partis en vacances. Et je peux vous assurer qu'il y en avait beaucoup autour de moi.

Ensuite cette nuit j'ai hyper mal dormi. En tous cas jusqu'à 5 heures du matin. Et même pas à cause des pétards. Mais parce que ma foutue crève qui a commencé par un mal de gorge, suivi d'un rhume, est à présent une magnifique bronchite... Devenant vraiment une mauvaise coucheuse, j'ai fini par me lever, piquer le duvet du chat et aller dormir sur le canapé. Mais du coup, ce matin j'ai émergé à 10 h, ce qui est littéralement exceptionnel.

Et puis surtout, mais vous l'aviez deviné grâce aux com's toujours discrets et elliptiques de Pascale, cette dernière (qui est plutôt la première des blogs cinéma de chez Hautetf') vient nous rendre une visite impromptue avec Moit' ! Vu mon état, j'ai pas vraiment pu faire le grand ménage et mettre les petits plats dans les grands, mais y'a toujours une bouteille au frais et des restaus très corrects dans ma ville. Ce qui est pas comme tous les jours du coup, c'est que j'ai mis une jupe. Pouvez pas imaginer comme je suis jolie ! Et ADMV a mis une chemisette toute neuve rapportée des soldes par moi-même la semaine dernière après le bac.

Bref, vous savez vraiment tout de ma vie palpitante du mois de juillet. Je vous promets de faire mieux dans les semaines à venir. Mais là, c'est le contre-coup de l'année scolaire...

QUE VOUS DIRE ?

C'est les vacances et il n'y a plus personne. Le téléphone sonne peu. Les mails se font rares. J'ai mal à la gorge, mais je peux faire la grasse matinée. Les fleurs/lampes solaires ne fonctionnent plus parce qu'elles ont pris la pluie, et ADMV est très chagrinée. Je regarde les DVD de la saison 2 des Ménagères Désespérées sans culpabiliser. J'ai fini un montage photos pour une copine qui va fêter son demi-siècle avant moi. Des photos de quand elle était jeune et habitait le nord... Des souvenirs qui remontent. Il va falloir que je range le grenier, la cave. Trier, jeter, nettoyer, faire du vide, puis le remplir. Je vais déjà préparer des cours pour la rentrée. Je m'y mets mardi. Je lis les blogs. Pascale devient une star. Whatamistilldoinghere est le 150 ème blog visité, mais le 4ème commenté... Zaboutek réussit à écrire une note par jour. Zoui est partie en vacances. Max n'est pas réapparu, La Vilaine non plus. Je mange sur ma terrasse. Mon chat vieillit et a de l'arthrose. J'ai hâte de voir Entre Les Murs. J'ai adoré le livre. Son style. Ce soir je vais voir le feu d'artifices. Mais je ne vais pas au concert avant, bien que le chanteur me rappellerait sûrement mon enfance, mais il va y avoir trop de monde.

Dans tout ça, une phrase vous a-t-elle intéressés ?

Pour finir, une pensée du Chat pour les gens qui prendraient la route dans les jours qui viennent : "C'est dingue ce que les gens roulent vite sur la route. Je remarque ça quand je vois à quelle vitesse je dois rouler pour les dépasser !"

Ce village sera ma deuxième destination

Après Chalon dans la Rue, au mois d'août, je partirai ailleurs pour une semaine. Ces quelques indices devraient vous aider à trouver le nom du gros village (petite ville ?) près de laquelle je séjournerai :

Un groupe breton dont j’ai un 33T va s’y produire bientôt.

Sa municipalité tient un blog qui a l’air assez actif.

D’après les données de wikipédia, politiquement il y a depuis 30 ans une alternance dont le cœur bat quand même un peu plus à gauche.

Tout autour on cultive une plante aromatique très colorée.

Ce n’est pas loin d’une ville célèbre pour une confiserie.

La population de ce village a eu une attitude plus que respectable pendant la guerre, dont une institutrice très courageuse prénommée Marguerite.

On y a souvent du soleil ; la piscine vous propose son eau fraîche ; on peut y faire des pauses gastronomiques, ou intellectuelles (il y a une très accueillante librairie près de l’eau) et y trouver des objets artisanaux originaux et de bon goût.

J'ai fait du vélo dans le coin, c'est sportif !

 

Ed par l'odeur alléchée, a découvert qu'elle était taggée...

REGLE DU JEU DES GASTRONOMES (en shorts parce que c’est l’été !)

Mettre le lien de la personne qui t'a refilé sa papinette !

Mettre le règlement sur ton blog.

Répondre aux six questions suivantes.

Tagger six personnes à ton tour.

Les avertir personnellement sur leur blog.

 

Je signale que zapette, la responsable ce cette note, n’a pas respecté le cinquième point du règlement et ne m’a pas prévenue personnellement, moi que je, sur mon blog…

Ce que mes papilles ont à vous dire :

1) un aliment ou produit que je n'aime pas du tout: les champignons ! Et j’en veux aux restaurateurs qui ne précisent pas sur leur menu si leurs plats en contiennent ou pas. « Forestier », j’ai compris, ça veut dire qu’il y en a. Mais « fruits de mer », désolée, ça ne devrait pas systématiquement en contenir…

2) mes trois aliments favoris : 1. Le foie gras. Sous toutes ses formes. Je sais, c’est cher, inhumain, tout ça, mais tant pis. Etre végétarienne ne me pèserait pas, sauf pour le foie gras.

2. Le chocolat. Je ne devrais pas donner de marque, mais mon préféré, en plaque, c’est le Côte d’or ! Il a un petit truc que les autres n’ont pas. Pour les autres chocolats, ma ville regorge d’excellents chocolatiers dont j’aime déguster les diverses créations.

3. Les cerises. Il y a encore des tas d’aliments auxquels j’ai pensé, mais là, c’est la saison, et j’en ai plein le jardin, alors pourquoi me priver ?

3) ma recette favorite: Le poulet au curry. Une recette de base, pour la sauce, qui m’a été donnée par une amie en Angleterre en 1982, et qui a été le départ d’un tas d’autres expériences en cuisine indienne. Merci Breda !

4) ma boisson de prédilection: Allez, je l’avoue, encore un goût de luxe, c’est le champagne ! Je profite de l’absence de Pascale pour vous dire à quel point cette boisson est non seulement subtile, délicieuse, mais également un merveilleux antidépresseur malheureusement pas remboursé par la Sécu.

5) le plat que je rêve de réaliser et que je n'ai toujours pas fait: A vrai dire, j’en ai déjà fait, mais ce n’était pas exactement comme je les rêvais alors je réessaierai : les samossas et le lassi, la boisson indienne au yaourt qui accompagne si bien les currys. 

6) mon meilleur souvenir culinaire: Un restaurant très coté où j’ai mangé avec ADMV pour un anniversaire de PACS, et où chaque élément de la table et de ce qui se trouve dans et autour des assiettes est une surprise absolument indescriptible et savoureuse.

Il y a peu de bloggers ces temps-ci, mais j'aimerais passer la cuillère à : so, telle, Catherine de Mercueil, Sarah, Aleks (si elle repasse par son blog...) et Emma.

186

Mais qu'est-ce que ce numéro ? Vous demandez-vous sûrement...

Eh bien c'est le numéro de mon bracelet esthétique jaune pour tout le monde que mon casier de piscine m'a fourni contre une pièce d'un euro. Il faut déjà savoir serrer correctement le bracelet, le bloquer et glisser savamment la clé sous l'anneau de fixation pour ne pas risquer de se blesser, nous a conseillé une habituée. Plus facile à conseiller qu'à mettre en oeuvre.

C'était la grande reprise de brasse, non coulée, parce que j'ai oublié mes lunettes de plongée dans le sac et que mes lentilles ne peuvent pas être en contact avec l'eau de la piscine (Mais je préfère garder mes lentilles, car sinon, je ne vois pas l'heure qu'il est et je retrouve la peur panique qui me saisissait enfant, quand dans l'atmosphère embuée je ne voyais pas à 1 mètre). La piscine, c'est traître. Dès l'entrée. La carte de piscine que j'avais avant (il y a trois ans) n'est plus valable, mais si je vais demander gentiment dans une autre piscine on pourra peut-être me reverser sur ma nouvelle carte les entrées qui restaient. La nouvelle carte est belle et brille, mais si on l'insère trop vite dans la borne, ou qu'on ne se précipite pas sur le portillon, l'espace qui nous est imparti tourne avant nous, et l'on se retrouve bloqué à l'extérieur. Une fois qu'on a trouvé l'escalier vers les cabines, en s'inquiétant parce qu'on n'a qu'une pièce pour deux et qu'il faudra que toutes nos petites affaires tiennent dans un seul casier, le plus gros est fait. Et l'on soupire de soulagement en trouvant sur le banc la pièce d'un euro oubliée par la personne précédente ! Mais dès qu'on pose un pied hors de la cabine, on manque de se briser le dos parce que ça aurait été trop subtil sans doute de choisir un carrelage anti-dérapant pour une surface où tout le monde marche pieds nus et mouillés. Arrivée aux douches il faut enfiler le bonnet de bain "o-bli-ga-toi-re". Je maudis mes parents de m'avoir fait une si grosse tête et des oreilles décollées. Mais à partir de là, que du bonheur. Il fait bon chaud ; l'eau est tiède, même pas peur ! Une fois dedans, il faut éviter les pieds et les bras des dizaines de gens qui ont eu la même idée que nous, mais les allers-retours s'additionnent, et on est très contente de notre distance de reprise. On aurait pu aller plus vite, mais on n'avait pas reçu nos super combinaisons. Mais nous, on n'a pas pleuré.

A la sortie, la dame très gentille de la caisse, qu'on dirait même pas que c'est une dame qui travaille dans une piscine tellement qu'elle est gentille, me recharge l'entrée que je me suis fait bouffer sur ma carte en arrivant. De retour chez moi, je mange toutes les calories que j'ai pu perdre, mais je me coucherai satisfaite. Et j'y retournerai mercredi prochain, non mais !

Une première

Cet après-midi, je suis allée pour la première fois toute seule chez le véto avec mon Mimi. D'habitude il y a sa mômon avec nous... Il a 18 ans et demie, et depuis un mois il lui faut deux piqûres tous les 15 jours pour faire disparaître une infection du croc, ou plutôt de la racine qui lui reste du côté droit... Pôv tit' bête ! Il a été très brave. La première injection, il ne dit rien, la deuxième, il souffle, et il rentre dans son panier sans demander son reste. Telle reconnaîtra la photo que je lui ai envoyée un jour par erreur et qui a dû lui faire penser que je voulais cesser là, et de manière brutale, nos échanges bloguesques ! Cette fois, c'est peut-être avec Pascale que je vais me fâcher...

Là, tout de suite, le vieux matou me fait la tête. Je me demande si je réagissais comme ça quand, à 6 ans et alitée, j'entendais les talons de l'infirmière claquer sur le carrelage, puis sur les marches, et après... la trahison, la piqûre. Cela reste un traumatisme pour moi. Ca doit être pour ça que je hais le bruit des talons aiguilles.

Où la vie lui rappelle qu'une journée n'a que 24 heures.

Ma semaine de ouf' est finie. J'ai réussi à corriger 13 questions sur 26 de mes 38 copies de bac blanc, être à peu près à jour dans la préparation de mes cours, donner à manger au Mimi tous les jours avec en prime quelques câlins, tout en tchatchant avec mes potes intermittents, en sortant avec eux tous les soirs dans des petits restaus du coin (J'ai découvert un bar à vins très sympa) et même en allant mardi soir au ... BOWLING !

Ca devait être la troisième fois de ma vie que je jouais. En arrivant j'ai d'abord vérifié du regard que parmi tous les djeuns présents y'avait pas quelques élèves (Je veux bien être nulle, mais j'aime autant qu'il n'y ait pas de public !) et puis il a fallu trouver des chaussures à ma taille (très classes !) et peser les boules, admettre que la couleur n'était pas importante (dommage, j'aimais mieux l'orange !) et comprendre comment on lançait. Mis à part le fait qu'on avait collé un aimant dans ma boule qui l'attirait vers les rigoles bordées de métal, j'ai passé une bonne soirée. On s'est marré, surtout en écoutant les vedettes au karaoké derrière nous. Ce n'était pas tant leurs prouesses vocales, que la profondeur des paroles des chansons qu'ils choisissaient. En général je n'écoute pas les bouses "robinettées" par les jeunes nanas qui se prétendent au mieux rappeuses, au pire chanteuses, mais là, en lisant les paroles... j'ai compris pourquoi. Simone, Françoise, Benoîte et les autres, au secours ! Les filles de 2008 ont oublié que vous les aviez "libérées".

Ce matin, mes potes sont partis pour leurs deux dernières représentations, et ce soir ils voyageront de nuit vers leur home sweet home. Je suis épuisée, mais ravie de les avoir croisés. Mais, c'est sûr, il ne faut pas que je compense la baisse du pouvoir d'achat en faisant chambre d'hôtes, ou je ne pourrai plus tenir ce blog à jour.

Les intermittents ont du bon

Si vous suivez un peu mon blog, vous savez qu'en ce moment je loge trois intermittents du spectacle. C'est peut-être grâce à ça qu'ils ont eu le contrat, pas de frais de logement pour l'association qui les embauche. C'est que c'est dur à décrocher un contrat par les temps qui courent. La cohabitation se passe bien en tous cas, moi au lycée, eux sur scène avec des gosses des écoles devant eux, et le soir on se fait une petite soirée, mais pas trop tard. Deux spectacles par jour, c'est un tout petit peu éprouvant ! Et ce soir, ils m'ont invitée au restau ! On a mangé des moules frites. 

Et demain on se fait un bowling. Faut pas que de la culture non plus !

Vacances = Vacuité ?

Les vacances, c'est bien. Je peux superviser mes travaux. Ca veut dire qu'au lieu de ne rien dire et de laisser faire parce que je ne suis pas là, je peux laisser faire sans rien dire, mais en regardant. Bon, néanmoins, ma maison est en train de devenir la plus belle de la rue, de la ville, du pays, ... du monde, et c'est réjouissant.

Pendant les vacances on peut s'occuper des trucs qu'on laisse en plan d'habitude, parce que le cours du lendemain, le paquet de copies en retard, et la réunion pour préparer la réunion, priment sur tout le reste. Là, je peux corriger le paquet de copies en retard sans stresser, remettre à jour mon cahier de textes que j'avais héroïquement rempli jusqu'au 25 octobre !, scanner les corrigés et barêmes du bac blanc pour mes collègues, faire des notes vous racontant des choses dont vous n'avez apparemment rien à faire, et porter ma voiture (pas à bout de bras quand même...) au contrôle technique ! Comme ça, en plus, j'aurai pas de pv.

En revenant à pied, j'ai vu que dans mon quartier, on avait essayé d'abandonner un petit bonhomme, qui avait semé des guimauves vertes pour retrouver son chemin. Sympa, je ne lui ai pas mangées !

Et ce matin, j'ai été réveillée par un type qui trouvait qu'augmenter la redevance télé, ça allait désavantager "les retraités et les choses comme ça !".

 

 Oui, parce que ça a beau être les vacances, le mardi, j'emmène ADMV à la gare, et du coup, on se lève à 6 h 20. Alors sans réveil ! J'imagine même pas.

Coïncidence

Ce matin entre deux préparations pour le lycée, je fais un saut chez Max et je vois une note sur le fromage. Notre français de l'intérieur en résidence à Paris, retrouve des saveurs de sa région chez son fromager local.

C'est drôle car je m'étais justement dit que ma prochaine note parlerait de fromage. Je voudrais rendre hommage à Alain et Marie-Clémentine Mermoz.

Ils fabriquent une tome de Savoie excellente appelée "La Croé" et qui a reçu le label AB, des produits biologiques. Je l'achète dans mon magasin Bio habituel, et elle ne coûte que 8.86 le kilo, alors que chez mon supermarché "Supervainqueur" local, la moindre tome coûte au moins 11.50 euros le kilo ! Qui a dit que se nourrir bio coûtait trop cher ?

Minuit l'heure des possibles

Il y a des réveillons où l'on n'est pas nombreux (7 sur les dix prévus au départ.) mais où l'on passe des moments tellement agréables qu'on en oublie l'heure, qu'on manque de rater le moment fatidique où, dans la France entière, des millions de bouches adhèrent à des millions de joues (4 fois par chez moi) et où on se souhaite, en y croyant, car à ce moment-là on se marre tellement qu'on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas vrai ou possible, une excellente année nouvelle, avec plein de résolutions tenues, de buts atteints, d'amour trouvé, etc. Ce qui a ajouté à notre bonne humeur, c'est qu'on a fait ça masqués ! Un vrai délire à cause d'un stock de masques et de lunettes fournis à mon amie qui est "paramédicale". Genre orthophoniste qui dirait derrière son masque : "Effayez d'articuler Monfieur !" Ca nous donnait à tous un air qu'on ne se connaissait pas, vaguement horribles, vaguement séduisants, mystérieux, exactement comme l'année qui s'ouvre à nous.

 

 

 

 

Espérons que nous avons conjuré le sort, et que nous ne serons pas dans la panade dans un mois quand ils nous annonceront que la grippe aviaire est là... !!! Et que c'est le confinement général avec port du masque obligatoire. Déjà que j'ai raté l'opération simulation de confinement au lycée... (Mais, pour les masques, le personnel de l'éducnat, peut se brosser.) J'aurais pourtant bien aimé vous pondre une note sur le sujet. A propos de la grippe sus-nommée, les journalistes ne nous en parlent plus, vous avez remarqué ? A croire que le danger imminent ce n'est plus elle... mais un petit truc à contagion foudroyante et virulente, qui envahit les media. Vous voyez ce que je veux dire ?

Pour oublier les risques majeurs qui nous guettent, ADMV a utilisé son beau cadeau de noël et nous a fait son premier pain. Une merveille ! C'est mal parti pour les kilos qu'on voulait perdre, mais ça remonte le moral, et ça, au moins, c'est inoffensif.

Rêve ou réalité ?

Lendemain de noël. Dégustation de cadeaux. Rien ne se mange, mais tout est délectable. Cette année le Père Noël a opté pour les BD et les DVD. Ce soir je fête un anniversaire. Ces temps-ci, mes amis ont 50 ans. Il faut que je m'y fasse. Les miens arrivent dans sept mois. Hier je participais à la réunion de famille annuelle. C'est un rite auquel je me plie volontiers. Familialement parlant, j'ai peu d'obligations, et ces retrouvailles qui semblent peser à certains (d'après ce que je lis dans les blogs), m'apportent ce qui me manque parfois dans l'année. En plus là aussi, il y a des merveilles, pour les papilles cette fois. Gâteau rituel, dégusté une fois l'an, préparé avec amour parce qu'elle sait que c'est mon préféré. Quand le marron fond je sais que j'existe pour ma famille. :-) C'est l'occasion pour moi d'offrir des cadeaux stupides. Mais qui font plaisir.

Et aujourd'hui, je peux traîner encore. J'ai un rapport à rédiger. Mais honnêtement, qu'il arrive le 26 décembre ou le 1er janvier, qui s'en rendra compte à l'Ioufme ? Je préfère écrire mes cartes de voeux, penser à la recette de ce soir, lire le mode d'emploi de la machine à pain, blogger pour voir qui est content et qui ne l'est pas, me dire que j'ai tout le temps pour aller au ciné, regarder Max la Menace sur la TNT, et lire mes romans anglais en retard. J'adore ce petit break de deux jours où tout est possible, où ADMV est là tous les jours, où l'on vit hors du temps et du réel, où je n'écoute  ni ne lis les infos (il va falloir que je m'y remette !), où les photos qu'on m'envoie me disent que je ne suis pas la seule à prendre du bon temps.

La gourmandise n'est pas toujours à proscrire

J'AI DE LA CHANCE.

Je ne suis pas une "grignoteuse", mais la seule barre chocolatée que je m'achète de temps en temps, pour tenir le coup pendant les surveillances d'examens ou au cours de longs trajets en voiture, c'est la barre gaufrette/chocolat KITKAT. Et voilà que j'apprends qu'en 2008 j'aurai peut-être l'occasion de m'envoyer en l'air grâce à elle !

La marque va organiser un jeu et on pourra gagner un voyage dans l'espace. Je ne leur demandais pourtant pas de m'offrir la lune, mais mes yeux voient déjà des étoiles. Si je gagne, évidemment, je vous tiens au courant.

Un bus, ça en jette, alors imaginez, une fusée... Ca aurait de la gueule !

Goude niouses !

J'ai de bonnes nouvelles : j'ai un téléphone tout neuf, et je ne serai plus obligée de boycotter les gens qui ont des numéros contenant des 1, des 4 et des 0. Avec l'équipe des profs de ma seconde, que c'est moi qui m'en occupe, on va se faire une petite bouffe de noël d'ici une quinzaine de jours. Comme quoi, on ne fait pas que tirer la gueule dans l'éducnat. On m'a déjà dit trois fois que j'avais un beau collier, et ça m'a mise de bonne humeur, ce qui pour vous est plutôt une bonne nouvelle aussi, puisque je ne vais donc pas vous faire une note prise de tête ou vous agresser ! J'ai reçu ma première carte de voeux d'Outre-Manche, et comme elle est jolie, ça m'a fait sourire. J'ai pris ma première résolution de pré-noël : je ne vous enverrai pas de cartes de voeux, en tous cas pas à Emy. Et pour finir, j'ai observé mon stagiaire tout à l'heure, et je trouve qu'il est de plus en plus à l'aise. Je suis très contente pour lui.

 

 Bref, c'est une bonne journée, qui va continuer ainsi, puisque j'espère aller boire l'apéro chez ma meilleure copine.

Yep, c'est décembre !

Bon, je m'en souviens maintenant, en majorité, vous n'aimez pas Noël. Moi, si. Tant pis pour vous. Je vais en causer. Aujourd'hui, j'ai fait une grande balade avec ADMV de 15 h à 19 h, à regarder tout ce qu'on aimerait bien s'offrir, à craquer et prendre des photos sur les belles décos dans les rues, à faire une pause chocolat chaud dans un beau café où on se sent bien. Je suis revenue avec le DVD de La Vie des Autres, et je ne vais pas attendre Noël pour me le regarder. J'ai croisé plein de livres d'Art pas chers qu'on ne trouve pas le reste de l'année, et mercredi matin, après mes cours, je me ferai une petite escapade en ville, pour en acheter deux ou trois. Là, je ne pouvais pas, on était à pied, et vingt minutes de marche avec les bras qui tirent, bonjour ! D'habitude, je ne vais pas trop en ville le samedi après-midi, mais là, franchement, l'ambiance était bonne, les gens pas encore trop stressés, et même pas froid.

Ce matin, j'avais corrigé 11 copies de terminales sur 23. Tout ceux qui savent compter voient ce qui me reste à faire demain avant de partir à un repas familial, ou le soir en rentrant... Je ne suis même pas stressée ! La luminothérapie, ça marche !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Dites-moi ce que vous y lisez...

Il est un lieu, qui est partout un peu semblable, et en même temps si particulier, si propre (si je puis m'exprimer ainsi) à chaque propriétaire. Ce qui fait le charme et la personnalité de ce lieu, ça peut-être la des murs et de la lunette, le parfum d'ambiance et di savon, mais aussi, et surtout ce qu'on y lit.

Je viens d'aller chercher les trois premières lectures qui me sont tombées sous la main, et voici ce dont il s'agit :

1. Le Petit Livre de la Paresse de Jack Chaboud, dans lequel on trouve par exemple cette phrase : "La télévision n'engendre pas la paresse ; elle prive ses assujettis de la liberté de ne rien faire."

 

 

 

 

 

 

2. Un numéro de la revue Beaux-Arts, consacré à "Ingres érotique".

3. Le livre lourd et grand format, mais source inépuisable de souvenirs et articles variés... L'Almanach 1973/2003 de Libération.

Et chez vous, qu'est-ce qu'on y lit ?

Cadeaux

Je suis prête à offrir à Zoui un lapin en plastique comme celui-ci :

 

 

 

 Si elle me trouve le lien exact pour commander ce lapin-là, joli , tout rose, et qui semble être tout doux, pas comme les horribles lapins en plastique dur qu'elle a mis en lien chez elle. Un lapin qui me rappelle la girafe sophie, quoi ! Parce que j'aurais envie d'offrir à Zoui un objet transitionnel de qualité. (Vous ne me ferez pas croire que ce n'est que de la technologie !) Si elle m'explique vraiment tout ce qu'il peut faire. Si elle me promet de m'expliquer tous ses projets autour d'une crème caramel en décembre ou en janvier. Ben oui, vous l'aurez compris, c'est la période des cadeaux. Et quand ils arrivent par surprise, c'est encore "plus bon" ! 

 

 

 

On n'est pas obligé d'attendre noël pour en faire, et on a le droit d'en faire après, bien sûr. Un cadeau, c'est un petit "je t'aime" d'amitié, une attention qui ne vise qu'à procurer un peu de plaisir à l'autre, un moment de connivence amicale.

ADMV, qui pense aussi comme ça, et qui a remarqué que les hivers me sont difficiles. Que le manque de soleil nuit à mon moral, mais aussi parfois à ma forme physique, (oui, en ce moment, c'est pas la frite, et c'est peut-être pour ça que je parle du temps...), ADMV, donc, m'a fait un super beau cadeau. Je vais m'en servir trois à cinq fois par semaine, comme c'est écrit sur la notice, et je vais retrouver ma forme de l'été, et vous écrire des notes rigolotes, dynamiques, parce que ma déprime saisonnière ne sera qu'un mauvais souvenir.

Voici l'objet magique :

Deuxième jour de traitement de luminothérapie. Je vous tiens au courant !

Journal de voyage

J'y étais et il y faisait très beau !

 

 

 

 

Ils ont emballé la gare, ça fait moderne, légèrement fantômatique et sympa la nuit, et à l'intérieur, rien n'est fini, mais personne ne le sait sauf ceux qui prennent le train. Fallait y penser. Dehors y'a deux énormes Alsaciennes, mon coeur m'a fait photographier la rouge, l'Alsacienne qui m'accompagnait avait beaucoup plus de charme et de culture locale néanmoins !

Ich bin auch nach Deutchland gefahren.

A Paris, j'ai vu trois copines, dont deux des blogs, une expo (Poulbot), un film génial où j'ai encore pleuré (je croyais pourtant qu'il n'y avait plus de stock !), ça s'appelle This is England, et ça doit pas se manquer. J'ai utilisé un carnet de tickets de métro, découvert un bar à vins grâce à Zoui, goûté à la cuisine de Virgibri. Comme Pascale préfère les Parisiennes de dos, après la conciergerie, je lui ai photographié Notre-Dame, qui n'est pas mal non plus. J'ai galéré dans les bouchons hier soir pour rejoindre la Zoui, à cause des parigots tête de veau qui partaient tous en vacances. Et la preuve que j'étais bien en vacances, les cheveux dans le vent de la capitale :

 

 

 

 

A présent, je vais me reposer en corrigeant les 138 copies qui doivent être rendues à la rentrée. (Cette phrase est destinée à faire culpabiliser mes élèves. Il parait qu'il y en a qui culpabilisent !) Je vais aussi rechercher mes photos de classe, mais je ne sais vraiment plus dans quel carton elles sont... Mais Anne, promis, dès que j'en trouve une, je file chez Hervé !

Et pour finir, une citation de Vernon Sullivan à l'attention de Pascale : "Il ne suffit pas de cracher, il faut frotter pour que ça brille !"

 

C'est une bonne journée.

Au retour de Bretagne j’ai eu un petit coup de mou. Je ne vous dirai pas pourquoi, à cause de ce que la Pascale elle va encore râler… Mais depuis ce matin, j’ai la pêche ! Je suis allée en vélo en ville. J’ai croisé plein de touristes et peu de voitures. J’ai rencontré une copine à la caisse d’un magasin, et on a passé trois quarts d’heure à une terrasse à tchatcher devant un café, comme si on était en vacances.

(Aquarelle de Liz Skelly : http://www.cexii.com/liz_skelly.htm)

 

Et puis je nous ai acheté un cadeau à ADMV et moi : La BD Persepolis de Marjane Satrapi. Les trois tomes en un. Ca a l’air d’être un petit bijou !

 

 

 

Au retour je suis passée chez ma pote V. et on va tous ensemble au ciné ce soir.

 

 

 

 

 

Et pour finir j’ai vu une pub qui disait qu’on peut acheter toute une collec’ de dragons en « métal exceptionnel » super pas chers !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle est pas belle la vie ?

Les cartes postales arrivent toujours après qu'on soit revenu !

J’ai passé de très bonnes vacances. J’ai rencontré des potes, des anciens, une nouvelle !, visité des expos, des phares, des églises, mangé des galettes, du far, du quign aman, bronzé, lu cinq livres et demie dont Harry Potter 7, lu Les Mémoires d'un Barjo que j'avais eu pour mon anniversaire, et que c'était drôlement bien, écrit des cartes postales, eu envie de m’installer à Quimper, mais c’est quand même loin de chez moi…, eu la nostalgie de mon chat, n’en déplaise à qui de droit, utilisé deux fois un ordi, retrouvé ma colo de mes 13 ans du temps où Sheila et Ringo étaient amoureux, et plein d’autres choses que ce serait trop long de tout vous expliquer ici. En quelques images, ça a donné ça :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Grosses bises à tous et à bientôt !

 

PS : Sarah, peux-tu me dire de quelle fleur il s'agit, je ne le sais pas... ?

Heure H du jour J !

Le 30 juillet, fais ce qu'il te plait.

Dans mon cas, c'est vrai.

Alors aujourd'hui pensez à moi,

Et écrivez n'importe quoi,

Du moment que vers mon grand âge,

Vous me facilitez le passage...

 

A propos, une question cinématographique pour commencer :

Quel est le point commun entre Diane Kurys et Jacques Higelin ?

Two days in Paris

Je viens de passer deux jours extra à Paris. J'y ai vu une amie de toujours, une amie des blogs pour toujours, deux films, une expo, le soleil, des gens heureux de pouvoir enfin profiter du mois de juillet. Ca m'a donné envie de vous écrire plusieurs notes. Voici la première.

D'abord, j'ai vu The Bubble. A Paris, même en semaine, il y a des cinés qui ont des séances vers 9 h et 11 h, à des prix très intéressants. J'avais lu la critique de Pascale, un dépliant dans mon ciné local, mais toutes les critiques de films ne remplacent pas le fait de les voir soi-même, je n'avais en fait aucune idée du film que j'allais voir, et que j'ai vu. Donc, lisez-moi si vous le souhaitez, mais surtout, allez-y !

Je râle souvent contre l'homophobie ordinaire qui règne en France, mais je constate aussi que les mentalités ont évolué, et que j'ai de la chance de vivre ici. Il y a des pays où les homos en chient vraiment. (Eh !!! Les Beaufs de passage ici ! Ce n'est pas une raison pour vous dire "C'est cool, on peut rester cons, ailleurs on les tue, les emprisonne, les discrimine...")

Dans le film The Bubble d'Eytan Fox, un homo Palestinien est obligé de vivre clandestinement à Tel Aviv pour vivre avec l'amour de sa vie, trahissant par là les convictions justes de ses parents. (Enfin, tout ça c'est expliqué dans le film, et je ne vais pas tout vous raconter.) Le film montre que quand il y a de l'amour, ça rend le monde et la vie beaux, que quand il n'y en a pas, c'est souvent nul et glauque. Mais il montre aussi qu'il ne suffit pas de vouloir s'aimer pour pouvoir. Et qu'il ne suffit pas de vouloir être ouvert et tolérant pour pouvoir l'être, que l'oppression et la violence sont des cercles vicieux, que l'injustice et la cruauté peuvent transformer n'importe qui en terroriste. Cela prouve surtout que là-bas comme ailleurs, pour survivre dans de bonnes conditions apparentes, les gens se créent une bulle, et qu'il faut un énorme courage pour s'en sortir, crever cette bulle et voir la réalité en face.

A quoi ressemble votre petit-déjeuner ?

Quand je pars au lycée pour 8 heures, le mien ne ressemble à rien.

Mais quand je peux ne solliciter mon estomac que vers 8 ou 9 heures, alors il ressemble à ça :

Un jus de pamplemousse bien frais.

Une, voire deux, tranche(s) de pain grillé.

Dessus du fromage ou du miel selon l'humeur du matin.

Le tout est accompagné d'une ou deux mugs de café italien.

Celui-là, je ne m'en passerais pas !

Je possède 5 cafetières italiennes, et j'adapte leur taille et leur couleur à mes besoins et envies du jour.

"L'art, l'art, ma femme qui chante, ça au moins c'est de l'art !"*

Vous connaissez tous ces dessins, son style si particulier. Si le SIDA ne l'avait pas terrassé en 1990, Keith Haring aurait eu aujourd'hui 54 ans. Si vous connaissez ses dessins, c'est qu'il le voulait ainsi. Il souhaitait que son art soit accessible à tous. Donc tout en en vivant (il vendait ses dessins comme décos de magasins, de stations de métro aux USA, etc), il l'offrait au public, qui, lui, pouvait en profiter gratuitement. J'avoue que c'est un peu un hasard, mais du coup, ma note sur l'art contemporain est un peu un hommage.

Comme je vous l'ai dit hier (je sais que peu d'entre vous ont lu ma note, mais cette remarque s'adresse aux vrais fidèles), mercredi j'ai visité La Triennale au Palais de Tokyo. Dans une salle le travail d'un photographe nous a plu et et nous a émues. Des siècles peuvent séparer des humains, des cultures, des religions, et pourtant ils se ressemblent.

 

 

 

Involontairement, j'ai fait exactement la même chose que ce photographe ! Le matin, en face de Beaubourg, sur un mur j'ai photographié ça :

Et l'après-midi, au Palais de Tokyo, je suis tombée sur ça : 

Et pour terminer, cadeau ! Une vidéo, un peu tremblotante côté camerawoman, je vous l'accorde, d'une oeuvre que j'intitulerai "Polystirène sur Cornflakes" et que nous avons découverte au Centre Culturel Wallonie-Bruxelles. (C'est la première fois que je mets une vidéo sur youtube, et je suis drôlement fière !) 

* Le nain sortant.