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lundi, 20 avril 2009

J'ETAIS DE BONNE BONNE BONNE BONNE HUMEUR CE MATIN !

Je me suis levée de bonne humeur, et cela a continué. Et cela continue. Il fait grand soleil, et chaud ! Le chat est content, ADMV aussi, et moi donc ! On a pris notre premier petit-déjeuner en terrasse. ADMV est là pour toute la journée. J'ai mis ma belle robe de chez Jacqueline. J'ai acheté mon billet de train pour partir en vacances jeudi. Une copine a téléphoné qu'elle venait à l'improviste de Paris, et on a mangé à midi sur la terrasse. J'ai pris des coups de soleil en dégustant champagne, asperges et fraises guarriguettes ! Cet après-midi, la ville était accueillante et sans la foule habituelle. Que demander de plus pour démarrer ces vacances, même si ça ne vous fait pas une note super-intéressante ?...

Comme c'est les vacances (tant pis pour ceux qu'ont déjà repris !) on rigole, allez voir par là :

http://www.psikopat.com/html/spirale.htm

Suivez bien les consignes !!!!! Ca, c'est pour Hervé :-)

 

Merci à Tristan pour sa chanson dont j'ai piqué le refrain pour mon titre.

http://www.dailymotion.com/video/x239l1_tristanbonne-bonn...

vendredi, 17 avril 2009

RIRE, ETRE DE BONNE HUMEUR, SE SENTIR ENTHOUSISASTE...

Imaginez 50 profs dans une grande salle à corriger toute la journée des examens ! Ca pourrait être mortel. Le café n'est pas terrible, et y'a même pas de croissants. L'attente jusqu'à 12 h 30 est très longue, surtout pour ma collègue enceinte ! Et mes chewing-gums sont une bien piètre consolation. 

Heureusement, quand on se trouve un binôme sympa, c'est cool. Merde, on dirait une rédac de mes élèves ! Faut dire que du coup on s'est payé des fous rires dignes de ceux de mes secondes. Tout en étant efficace, comme quoi c'est pas incompatible ! Faudra que je leur dise... à mes secondes. 

Y'avait surtout des QCM, le chiantissime du chiantissime à corriger, mais on a quand même trouvé quelques perles, dont une qui m'a enchantée. A propos de son restaurant préféré un élève a écrit : « I feel enthusiastic when I hear the cooker walk in the steps. » (Traduction à la demande pour ceux qui ne verraient pas pourquoi c'est drôle.) 

A part ça ce qui m'a beaucoup fait rire hier aussi, c'est que les français se mettent à aimer Chirac. C'est vrai que les nuisibles on les préfère quand ils ne peuvent plus l'être. Je suis sûre que Sharko et Dark Vados remontraient sur mon échelle de valeurs personnelle s'ils démissionnaient ! Je leur offrirais même une Corona.

jeudi, 16 avril 2009

DES MOTS A DEGUSTER

J'adore le style des recettes de cuisine. Parfois j'en lis pour le plaisir, et je trouve que le vocabulaire employé est excellent (comme les plats qui s'en suivent...).

Alors voici la contrainte que je vous propose : 

J'ai relevé dans la recette des « Feuilletés au bœuf et aux amandes » ces verbes : 

revenir - remuer - émietter - blondir - étaler - huiler - replier - couvrir 

Je vous propose de les inclure dans le texte de votre choix, sachant qu'il peut aborder tous les thèmes sauf la cuisine ! Essayez aussi d'écrire d'une traite, spontanément, sans dépasser une demi-heure. OK ? 

Tout le monde peut participer. C'est pas obligatoire, sauf pour zapette et moi ! La date de publication est le mercredi 26 avril, sur votre blog, ou sur le mien si vous êtes SBF.

En route pour le défi N°2 !

mercredi, 15 avril 2009

LE DEFI D'ECRITURE N°1

Zapette et moi avons en commun d'aimer écrire, et particulièrement d'apprécier les ateliers d'écriture et leurs défis. Mais comme moi, elle n'a pas la possibilité d'y participer assez à son goût, alors nous avons décidé de créer notre petit atelier perso qu'on a, sur nos blogs. Cette semaine, c'est elle qui a lancé la "contrainte" (c'est comme ça qu'on appelle la consigne dans les ateliers d'écriture) :

Ecrire une lettre commençant par "Je réponds enfin à votre lettre après un an, jour pour jour."

"Je réponds enfin à votre lettre après un an, jour pour jour. Vous aviez trouvé à l'angle de votre rue un coffret gravé à mon nom et adresse. Je vous remercie d'en avoir, comme promis, pris soin toute cette année. Un hasard cynique m'avait fait égarer cette petite boîte vitale. Depuis votre courrier, au lieu de la garder comme auparavant dans ma poche traîtresse, je la savais chez vous, et à tout moment j'aurais pu vous la réclamer. Mais durant une année complète j'ai su vivre sans elle. Alors aujourd'hui, je vous envoie la clé. Au bout d'un an, elle vous appartient et je ne lui appartiens plus. Prenez la cigarette qui s'y trouve, et fumez-la ! A ma santé."

Courez chez zapette, elle a publié sa lettre aujourd'hui. Je ne l'ai pas lue encore, mais vais m'en empresser. 

lundi, 13 avril 2009

LE REPOS DU LAPIN

dimanche, 12 avril 2009

LA CLOCHE EST PASSEE !!!

Depuis mon anniversaire à moi je devais m'en choisir un. La cloche l'a fait. Et j'ai assuré : je l'ai installé, chargé, configuré, et maintenant je vais transférer. Et ensuite je pourrai frimer avec mon mp4 et Gilbert, Alain, Michèle, Fabienne, Georges, Romain et les autres qui me chanteront dans les oreilles. Et je méritais bien ce beau cadeau, puisque c'était aussi l'anniversaire de mon blog qui a eu trois ans le 10 avril !

Tout en profitant du son je pourrai me bâfrer de chocolat et enregistrer ADMV qui me dit de douces choses. Oui, mon cadeau peut faire ça !

Je vous souhaite à tous de Joyeuses Pâques, en espérant que vous ayez trouvé, ou qu'on vous l'ait trouvée, la surprise qui vous convient ! Bisous printaniers !

   

Je devais vous montrer l'oeuf que la cloche m'a apporté, mais h&f fait rien que m'embêter et fait bugger internet si je vais chercher une photo sur mon disque dur !!! :-(

mardi, 07 avril 2009

UNE HEURE D'INTELLIGENCE A LA TELEVISION

C'était hier soir, à l'émission de Frédéric Taddéi, que j'ai chopée par hasard, alors qu'il annonçait :" une heure avec"..... Isabelle Huppert. Et je n'ai pas été déçue. Même aux questions stupides elle répond avec une intelligence rare, et je me réjouis, et d'autres sûrement avec moi, qu'elle ait été choisie pour présider le prochain Festival de Cannes. Il y peut-être moyen de revoir l'émission sur internet. Aujourd'hui, en ligne, on peut voir celle du 2 avril ! Isabelle Huppert, ça ne se raconte pas. Je peux seulement vous dire, qu'à l'heure où je pensais attraper les dernières nouvelles d'Italie, puis aller dormir, je suis restée scotchée devant mon écran, très déçue que l'émission s'arrête.

lundi, 06 avril 2009

JE NE SUIS PAS PEU FIERE !

Sur les timbres il y a toujours des célébrités. De nos jours on peut tricher et publier sa propre bouille sur un timbre. Ca le fait, mais c'est en nombre limité pour ses potes. Mais là, quelqu'un de célèbre, que je connais personnellement, moi je, puisqu'il commente ici régulièrement est sur la série de timbres que j'ai achetée cet après-midi.

J'ai nommé.....................Tadam.....................................VIL COYOTE !!!!

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dimanche, 05 avril 2009

CADEAU DU DIMANCHE SOIR POUR VOIR

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Tu vois Zapette, j'ai osé, et j'ai même pas attendu qu'ADMV soit rentrée. Pour faire ce genre de photo, c'est que je m'ennuie... Bon demain le boulot reprend, et le rythme non-stop aussi !

 

vendredi, 03 avril 2009

NOTE DE SOSSOTTE

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Ca fait un moment que j'ai remarqué que mon blog n'entrait pas dans les normes h&f. Je croyais que j'étais une fille, ou même une femme, mais en regardant tous les blogs qu'ils ont classés dans cette catégorie, j'ai bien vu, que non. Pour avoir l'appellation contrôlée "fille" ou "femme", faut faire un blog de sossotte ! C'est Pascale qui a trouvé cette appellation, et je trouve que c'est exactement ce qui convient.

Pour assumer ma féminité, je me lance dans la sossottitude. A droite, vous voyez la merveilleuse robe en tencel bleu que j'ai achetée chez Jacqueline Riu (oui, une sossotte n'hésite pas à faire de la pub) pour la modique somme de 44.90 €. Si je me suis fait avoir, dites-le moi ! J'avoue que sur cette photo, on ne voit pas grand chose de sa forme ni du décolleté. En revanche, on peut admirer le bidon de liquide lave-glace que j'avais malencontreusement posé dans le coin du couloir !

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Sur cette photo, en revanche, le t-shirt met en valeur le haut de la robe, et cela sera plus correcte si je la mets pour aller travailler. J'adore le tencel, je trouve ça souple, pas froissable, et pas trop chaud, bien que ça "se tienne". Un jour j'ai eu une jupe en tencel, je l'ai mise pendant dix ans tous les étés !

100_0711.jpgLe bas de la robe peut être serré à volonté avec un ruban coulissant. Que c'est ingénieux !

Zaboutek, tu me crois maintenant ? Tu penses toujours que je n'ai pas une tête à porter une robe ? Remarque, ça ne se porte pas sur la tête... Quoi que.

Avec une belle note fashion comme celle-ci, je sens que je vais renouveler mon lectorat féminin, et quadrupler mes commentaires.

Bon, promis aux autres, c'est la dernière !

mercredi, 01 avril 2009

MERCREDI DE PROF EN VRAC.

Un mercredi. Comme les autres ? Non. Enfin ! Il fait beau ! Je vais pouvoir aller me promener ? Non. J'ai d'abord fini le tas de 38 copies de bac blanc. Maintenant je vais regarder les cours pour demain. Il faut que je cogite, mon stagiaire vient me voir vendredi. Ah, et puis avant, j'ai appelé une maman. Et puis ce soir, on dit au revoir à nos assistantes au restau. Mais y'aura même plus de soleil... A midi, on a caché le yaourt de notre gentil secrétaire. Dans l'après-midi j'ai aperçu deux ados qui agaçaient le gros chien en face, mais qui n'ont pas réussi à se faire mordre. Ca m'a rendue triste. Pour les ados ? Non. Pour le chien. M'en fous si j'ai pas eu le temps d'aller en ville, parce que samedi, je me suis acheté une robe. Oui ! Dommage qu'on m'ait crevé mes pneus, je vais devoir aller au restau en vélo. Ce matin l'animateur du stage d'informatique s'était découvert de 2 fils, et était très malade. Mais ma collègue et moi on a préparé une super séance multi-média ! Si on arrive à la mettre en oeuvre, on aura une place réservée au Panthéon des pédagos. A la cantine, y'avait de la viande dégueu. J'aurais préféré du poisson ! J'ai au moins trois coups de fil à passer que je vais reporter à demain. Les courses aussi. Mais c'est pas grave, c'est samedi, la journée sans achats. Qu'est-ce que je vais dépenser jeudi et vendredi !!!

Faites gaffe ! Aujourd'hui, il arrive sans qu'on s'en méfie !

(pour Zoui, cette oeuvre est des Studios Disney ! Mais j'avais lu un jour qu'ils avaient eux-mêmes plagié un dessinateur français...)

BON VOILA ! TOUT EST CORRIGE !

PASCALE AVAIT RECLAME UN POISSON, ELLE A EU UN POISSON.

JE VOUS L'AI MIS EN BLEU...

Z'ETES INCROYABLES !!! JE VOUS AVAIS POURTANT PREVENUS : "IL ARRIVE SANS QU'ON S'EN MEFIE !"

jeudi, 26 mars 2009

MERCREDI C'EST LE JOUR DES SPECTACLES

Hier j'ai vu deux spectacles. Le premier était une surprise. J'allais poster des lettres et j'ai eu droit à un sketch de Dany Boon gratis ! Une poste toute neuve. Mais les employés, c'est les mêmes que dans l'ancienne... Y'en avait 5 derrière les guichets qui n'ont plus d'hygiaphone, et c'est beaucoup moins drôle côté bruit ! Sur les 5 y'avait un chef, donc, normal, il faisait rien, et trois, me demandez pas ce qu'ils faisaient, ça doit s'appeler "concertation impromptue face au public, rien que pour les emmerder". Y'en a une qui bossait officiellement. C'est à dire que devant elle, y'avait la queue. Mais elle, elle a 2 de tension depuis 20 ans, je ne vois pas pourquoi ça s'arrangerait. On a donc eu droit à la queue avec ses virages en épingle, et le temps d'observer. Dans une poste moderne, tout est blanc. Dans celle-là, y'a une grosse boîte aux lettres. Mais y'en a pas dehors, pour qu'on soit obligé de venir admirer toute cette modernité dès qu'on poste un chèque. Dans la poste du centre ville, y'a pas de boîte dehors non plus, et dedans ils ont oublié d'en mettre une à la construction, alors ils ont mis un carton à chaussures en hauteur, que personne ne prend au sérieux... Bon, revenons à ma poste moderne. Y'a de la musique aussi. Genre ascenseur, il parait que ça rend les gens moins énervés. Ce n'est pas inutile ! Mais le must, c'est quand même la dame qui vend des souvenirs. Je vous assure, c'est des objets tellement énôrmes en bon goût, que je crois qu'à part à Carcassonne j'en ai jamais vu de pareils ! C'est la seule dame qui sourit. Mais personne ne va lui acheter ses carnets, ses calendriers, etc. J'adorerais ce job. D'un autre côté, faut aimer le regard des autres, car on l'a plantée juste au milieu du magasin, on ne peut pas la louper. A part ça, dans tout cet espace perdu, y'a pas une chaise, car c'est tellement plus sain d'attendre debout, surtout si vous avez dépasser 80 ans. Remarquez, les vieux ils viennent plus. Leur ancienne poste, près de chez eux a été supprimée. On leur a donné un magasin qui fait aussi poste à la place. Ils sont contents les vieux.

Le deuxième spectacle que j'ai vu, lui, était prévu. C'était un spectacle mêlant commedia dell'arte, clowns, cirque, spectacle de rue, mais sous chapiteau. Je me suis marrée comme ça ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps. Un jour je vous en reparlerai quand on ne pourra plus me "traçabiliser" grâce à leur programmation.

Clown épuisé d'avoir attendu à la poste...

Aujourd'hui, c'est relâche. Je me suis fait remplacer à un CA parce que j'étais à une commission permanente mardi, et que je retourne la semaine prochaine à un CESC... Et ma pro-adj, toujours aussi légère, m'a dit "bon repos" quand je suis partie du lycée à 17 heures, après avoir fait passer des oraux depuis le matin 8 heures, alors que je suis au lycée demain de 8 à 16 heures. Ils se préparent comment mes cours ? Mais évidemment un prof qui rentre chez lui se repose. Bon je vous laisse, j'ai de l'amusement en perspective.

lundi, 23 mars 2009

ATTENTION, FOUILLES !

On nous a dit : il y a quatre grands domaines d'écriture.

Le Réel / La jouissance de jouer avec les mots / La fiction  / Le souvenir - l'autobiographie

A vrai dire j'aime mêler les quatre domaines. Je ne sais écrire une fiction sans y inclure du réel, ni raconter mes souvenirs sans inventer un peu, le jeu avec les mots est inconscient mais présent.

Un lieu plus ou moins lointain dans le passé. Description. Moi dans ce lieu. Comment je suis : ma position, mes sentiments. Réinventer sa mémoire. Montrer plutôt que dire. 

Le tapis était verdâtre, toujours râpé au même endroit, sur l'arête, au milieu. Il y avait bien un motif, mais il est flou. L'escalier tournait et le tapis aussi. Au fond de chaque marche, une tige métallique était censée arrêter ce tapis traître. Je ne me souviens pas exactement pourquoi, mais parfois ce garde-fou ne remplissait pas son office. Alors, le tapis, plissé et lâche, menaçait mon équilibre. Du bout de mon bras tendu, je tenais la rampe cirée. Je laissais glisser ma main gauche, mais je ne lâchais pas, jusqu'à la grosse boule en bas. Cela durait. Tout autour de moi, c'était sombre et vert foncé. Peu d'éclairage. Aucune décoration au mur, en tout cas aucune impression dans cette mémoire que je fouille aujourd'hui. Sûrement parce que mes yeux laissaient mon cerveau se débrouiller avec mes images qui fusaient en tous sens, et ne fixaient qu'une chose : mes socquettes dans mes baskets montantes en toile bleu Palladium qui attaquaient chaque marche au milieu, la semelle bien à plat, pour faire résonner chaque pas. L'escalier était un passage obligé, qu'il fallait affronter avec prudence et détermination, avant de trouver en bas, à droite la chaleur, la lumière pourtant froide du néon, le buffet aux portes qui claquaient, mais la chaleur néanmoins. Celle de la soupe aux poireaux sur la gazinière, de la radio, du sourire de maman.

Paris, le 21 mars 2009. Ed.

dimanche, 22 mars 2009

POURQUOI J'ETAIS PAS LA.

Pascale râle, et vous êtes plus silencieux, mais cela n'a pu vous échapper, j'étais pas là hier. Je suis allée à la capitale, pour participer à un atelier d'écriture. Chez moi, on n'en trouve pas ! Un atelier d'écriture, c'est un lieu où l'on travaille en groupe, pas trop grand le groupe, là on était 12 et c'est vraiment le maximum supportable. L'animateur nous donne une contrainte d'écriture et un temps d'écriture à respecter. On se lance. Puis chacun lit son texte aux autres. Une journée étant courte, on n'a pu faire que deux exercices. Je vous donne un aperçu d'une production. Il s'agit d'une nouvelle écrite à partir d'un in-cipit choisi parmi 20 proposés.

Consignes :
- premier rédacteur :Rédigez le début d'une histoire : mise en place d'une situation pour un ou plusieurs personnages.
- deuxième rédacteur : continuez l'histoire de manière cohérente et dans le même style pour qu'on ne sente pas la différence.
- reprise et conclusion par le premier rédacteur.

Si quelqu'un peut me dire de quel roman la phrase en orange est la première phrase, je suis preneuse. A cause de mon train, je suis partie trop tôt, et n'ai pas entendu cette info...

Merci à Tarnouille !

La réponse est donc : Je me regarde souvent dans la glace." est issu du Monologue du bavard de Louis-René des Forêts.

Et j'ai oublié : pourrez-vous trouver les deux "coupures" ??? C'est-à-dire quand S a repris la main, et quand je l'ai reprise à nouveau ? 

 

Je me regarde souvent dans la glace. Cette habitude est récente. Cela m’arrivait rarement avant le 1er janvier 2009. Je n’y pensais pas. Je me connaissais. Je me trouvais banale. Mais le 1er janvier à 3 H 30, devant la bouche de métro de la station Vavin, Pierre Lambardin, 32 ans, comptable dans l’entreprise Picotard et Fils à Athis-Mons, Essonne, a décidé que cette banalité devait cesser. Depuis ce jour, et surtout depuis mon réveil, je cherche régulièrement dans les miroirs une trace de celle que j’étais avant. Mais c’est fou comme une lame peut redessiner une joue, modifier un œil, une bouche ou un profil. Les premiers jours, les fils noirs soulignaient le nouveau tracé de ce que je peux par chance encore appeler un visage. Puis, à chaque œillade, j’ai vu apparaître des marbrures roses d’épaisseurs variées. Pourquoi abuser de ces visions me direz-vous ? Parce que je préfère encore le reflet d’une glace ou d’une vitrine à celui des yeux d’un enfant dans la rue ou d’un banlieusard dans le RER. Et parce que j’espère à chaque fois reconnaître quelqu’un que j’ai connu dans le passé. Une nostalgie irrépressible, mais qui me laisse sur ma faim. Et l’espoir de trouver quelque chose à aimer dans cette inconnue. Si seulement j’étais sûre que Pierre Lambardin n’ait pas de miroir dans sa cellule ! Ce serait tellement injuste qu’il puisse se reconnaître ! Auparavant je n’attachais pas d’importance à mon apparence, mais depuis que Pierre Lambardin et l’ancienne-moi avons eu ce différend, les détails m’importent davantage : la vive grimace d’un inconnu, le regard perçant d’un enfant curieux. Toute cette histoire n’aurait jamais vu le jour si Pierre Lambardin avait agressé une autre personne. Mais maintenant je dois oublier ce qui a précédé mon réveil. Même si mes connaissances me voient comme une nouvelle découverte, je dois ignorer ces changements, bien que je les ressente à chaque opportunité qu’ils ont d’apparaître dans ma vie. Quelquefois je me demande si Pierre Lambardin a eu une peine égale à la mienne. Il est à l’abri de tous les regards. Quant à moi, mes traits nouveaux s’exposent à tout le monde. Non, il n’a pas été sanctionné. Mais comment faire ? « L’essentiel est qu’il soit sous les verrous », me dit la police. « Le temps t’aidera », me disent ma famille et mes amis. « Le procès vous fera surmonter l’épreuve », me répétait mon avocat. Pour l’instant, j’essaye sagement d’éviter les premiers soleils du printemps pour ne pas accentuer les cicatrices, suivant les conseils des médecins. Mais surtout je me force à la cohabitation. Celle de l’intérieur n’a rien de commun avec celle de l’extérieur. Plus elles se croisent dans les miroirs, plus elles se détestent. La haine grandit et provoque à l’intérieur une souffrance insoutenable, tout en les enlaidissant toutes les deux. Aujourd’hui, je me demande, tout en redoutant la réponse : qui aura la peau de l’autre ?

 

Co écriture de Ed et S, dans un atelier bien sympa, le 21 mars 2009.

 

vendredi, 20 mars 2009

MYSTERE-VILLE

Mais quel est le nom de cette ville où j'ai passé plusieurs fois 3 semaines avec ma maman et mon frère quand j'étais petite ? Je crois même qu'une année j'ai passé une semaine dans l'hôtel à gauche ! Les voitures étaient un peu plus modernes que ça, mais à peine...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pas loin de cette ville il y a un plan d'eau où j'allais nager et autour duquel je faisais du vélo, qui a un rapport avec moi. Les premières années, on louait un meublé chez Mme Monsillon. Ses descendants reconnaitront peut-être cette bourgade. J'y suis passée il y a quelques temps, et ça n'a pas beaucoup changé.

Ah ! J'oubliais, c'est dans cette ville que j'ai vu les premiers films des Charlots ! Autant dire des chefs-d'oeuvre...

jeudi, 19 mars 2009

UN CIEL BLEU SANS NUAGE, DE LA COLERE MAIS AUSSI DE L'ESPOIR DANS LES YEUX

Je pense que nous étions 15 000. La police dit 10 000. Contrairement à ce que la propagande de droite s'échine à répéter, les syndicats existent, ne représent pas que les fonctionnaires, et on finira par avoir la peau de ceux qui veulent la nôtre.

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Flash info : Chuis pas dans les temps. De 16 h à 18 h je vais lire mes documents et faire un peu de ménage. Avec le soleil, la poussière saute aux yeux ! Y'a urgence !!!!!!!!!!!!!!

mercredi, 18 mars 2009

PROGRAMME DE LA JOURNEE DE DEMAIN

OU D'AUJOURD'HUI, CA DEPEND QUAND QUE C'EST QUE VOUS LISEZ...

 

(Y'a pas de fautes, là ? Ca va Pascale ?)

 

7 H 00 : Réveil. Plusieurs minutes avant émergence. Caresse au Mimi qui dort sur la couette.

7 H 15 : Lever.

7 H 20 : Petit-Déjeuner. Café et gaufres bio à l’épeautre. Y’en a.

7 H 35 : Douche à l’aide d’une bouteille en plastique. Le renverseur du robinet mitigeur installé en 1975 a rendu l’âme… Habillage, vêtements décontractés, mais seyants. Etre à l’aise est primordial aujourd’hui, au cas où il faille courir vite.

7 H 50 : Visite de vos blogs. Peut-être que j’aurai jeté un premier coup d’œil pendant le café. Merde ! J’fais c’que j’veux aujourd’hui !

9 H 00 : Bonjour à ADMV par téléphone. Si le téléphone de son boulot remarche. L’est belle la France moderne !

9 H 40 : Départ à pied avec dans mon sac, mes papiers, mon appareil photos, des kleenex, des chouïngues, et pas de parapluie cette fois ! Blouson orange de rigueur, faut me voir de loin.

9 H 45 : RV au coin de la rue L et de la rue G avec des potes qui font la même balade que moi !

10 H 00 : Arrivée au rassemblement, retrouver ses ballons et ses banderoles, trouver les copains, et en avant !

11 H 00 : Arrêt devant le médaife, voir les œufs s’écraser.

12 H 30 : Arrivée au point de dispersion. Bye les CRS.

13 H 00 : Bouffe avec les copains. La dernière fois, c’était raclette, il caillait un max. Cette fois, on va commencer les crudités !

15 H 00 : Retour Maison ! Lecture de tous les documents utiles pour les oraux des certifications de seconde! C’est incroyable ce que ça prend comme temps tout ça. Qu’ils osent me dire qu’un jour on évaluera tous les élèves de 2nde et terminales, et pas seulement les euros ! On passera toute notre année à évaluer, et rien à enseigner…

16 H 00 : Début de la correction de mes copies de bac blanc. Faut bien que je m’y mette !

18 H 00 : J’aurai un nouveau robinet !!!!! Le monsieur me l’a promis.

19 H 30 : repas au restau avec les anglais. Oui, y’en par chez moi en ce moment.

 

Je perds 111 euros, j’en dépense le double en plomberie je suppose, mais ça les vaut, non ?

Tant que l’autre sera au pouvoir, je n’hésiterai pas à recommencer des journées comme celle-ci.

 

D'après Parisot, les syndicats sont "démagogues" et "égoïstes". Et bien sûr Parisot est "honnête" et "généreuse" ! (Si elle croit qu'elle va gagner le prix du festival de Saint-Varent - 79 avec des déclarations pareilles, elle se met le doigt dans l'oeil.)

    Honoré dans CHARLIE HEBDO (2006) - Trouvé sur le blog de Mononoke

EDIT : jeudi 9h12 - "les euros" ça veut pas dire que j'évalue les Euros, notre monnaie, y'a des voleurs pour ça, euh, je veux dire des banquiers. Non, ça veut dire les élèves des classes européennes, une option spéciale pour ceux qui veulent faire un peu plus d'anglais (1/2 h de plus par semaine en seconde, c'est royal ! et une heure d'histoire en anglais aussi. ou d'une autre matière si dans leur lycée, c'est un prof de maths ou d'eps qui tchatche en angliche.)

mardi, 17 mars 2009

QUI POURRA ENCORE DIRE DU MAL DE LA TNT APRES CA ?

Vous prenez un couple d’enfer : Noiret –Girardot, Paulette Dubost en maman franchouillarde, des courses poursuites en R16 noire, les bégaiements de jeunesse de Francis Perrin, des délires amoureux insouciants d’avant le sida, un coup de tête d’Annie Girardot dans les couilles d’un mec patibulaire qui veut la poignarder, des péripéties aussi crédibles que Fabius quand il défend l’éthique en politique, des cascades dignes de Warner Bros, et vous avez une perle du ciné des années 70 : « On a volé la cuisse de Jupiter ! »

 

A côté les Ch’tis méritent un numéro spécial des Cahiers du cinéma. Je me suis demandé ce que Pascale aurait écrit dans son blog si on avait eu internet ! Bon, je viens de vérifier, j’ai fait erreur, ça date de 80. Ca se sent, ça s’essouffle un peu. Noiret et Girardot devaient quand même avoir besoin de fric, et de Broca besoin de vacances et de fluor pour trouver des idées !

 

Cela dit, Annie Girardot et Philippe Noiret, même dans un navet, je les adore. Elle c’était mon idéal féminin, celle que j’aurais aimé devenir, et lui, sa voix, son flegme et son humour ne m’ont jamais lassée.

 

 

mardi, 10 mars 2009

ON N'EST PAS SERIEUX QUAND ON A MOINS DE DIX-SEPT ANS

Pendant les vacances deux élèves m’ont demandé que je devienne leur amie sur fesse-bouc. J’ai refusé. Et hier je leur ai dit qu’on pouvait devenir mon amie virtuelle uniquement après voir quitté le lycée et obtenu son bac, avec mention bien au moins ! Où ne va-t-on pas chercher les moyens de les motiver ?????

 

Gloussements dans la classe…

 

Ca me rappelle quand avec des copains on avait appelé chez notre prof d’allemand (après moult recherches dans l'annuaire, hésitations, on l'fait, on l'fait pas, allez, va-z-y toi ! elle reconnaitra pas ta voix), on entendait la sienne, (de voix) et on raccrochait. Je sais, c’est con. Ce n’était même pas pour lui nuire, on l’adorait. On avait 13 ans, et on ne pouvait pas voir sur l’appareil qui appelait. Heureux temps !

 

Une autre fois, on était allé voir où habitait notre prof de maths en faisant tous les étages de la tour toute neuve près du CES, d’au moins 15 étages ! On ne l’a jamais croisée, mais on a fait des tours d’ascenseurs fantastiques.

 

Et vous, vous avez aussi essayé de percer à jour le mystère de la vie privée de vos profs quand vous étiez élèves ? Ou vous leur avez fait des farces pendables ?

dimanche, 08 mars 2009

PAROLES ET MUSIQUE DU 08/03

Comme je suis une femme, j’ai fait du shopping. LOL. Comme y’a rien à ma taille, j’achète des livres et des CDs. Et comme je sais que vous en mourrez d’envie, je vous dis ce que j’en pense.

 

Et puis comme on est le 8 mars, je vais vous donner la phrase qui commence à la 3ème ligne de la 8ème page ou de la 8ème chanson. Ca va, tout le monde suit ?

 

Le Vrai est au Coffre, de Denis Lachaud. J’ai lu  J’Apprends l’Allemand  du même auteur, et j’ai beaucoup aimé. Je retente ma chance. C’est aux Editions Babel.

 

« Mais cette Véronique avait besoin de quelque chose et l’opulente chevelure de sa poupée donnait envie de glisser ses doigts parmi les boucles. » Ca se trouve page 16 en fait, qui est la 8ème page imprimée du roman. La couverture, un homme qui plonge. La phrase qui m’a donné envie de le lire : « Jouant du vrai et du faux, Denis Lachaud aborde le thème du choix identitaire dans ce qu’il peut avoir de plus ambigu. »

 

Pour ADMV, j’ai choisi Mort aux Cons, de Carl Aderhold. Des ballons de couleurs sur la couverture. Et un titre qui me plait.

 

« Je vais me coucher, dit-elle. » Suivi immédiatement d’un n° : 8. C’est pas extraordinaire cette coïncidence ? La phrase qui m’a interpellée derrière : « Mais passé les premiers meurtres d’humeur qui le débarrassent des cons de son entourage, le héros prend peu à peu conscience de l’ampleur de sa mission. » Je le lirai aussi, c’est sûr.

 

Musique, maintenant !

 

Moriarty, « Gee Whiz But This Is a Lonesome Town » Bel objet. Deux CD (je n’en ai écouté qu’un pour l’instant.), des illustrations, des graphismes originaux, pas toujours facile à lire, mais est-ce le but ? Et comme l’a dit Pascale dans la Cbox, tout est excellent. Des inspirations diverses, étonnantes : L’Irlande d’après moi, Kurt Weill d’après ADMV. On en redemande.

 

 

« He’s coming to steal and to rape and he calls it business » Cette phrase assez horrible commence juste à la fin de la troisième ligne du 8ème titre : Whiteman’s Ballad.

 

Ridan, « L’Un est l’autre. » Un autre très bel objet. Des belles photos du sud. Deux livrets, un pour les paroles, l’autre pour nous parler de Ridan, nous expliquer d’où viennent ses chansons. C’est vrai qu’il a un style, que toutes les chansons, ou beaucoup d’entre elles, se ressemblent un peu, mais ça a le mérite d’être mélodique, d’avoir des textes travaillés, et surtout d’être sincère. Une nouveauté, l’humour. Le plus gros défaut de cet album ? On a du mal à sortir le disque sans y mettre les doigts…

 

La 8ème chanson, c’est « Star Minute », et à la 3ème ligne : « On dit de toi, le garçon dans le vent tu as déjà ce petit don que les gens appellent talent. »

 

Bashung, « Bleu Pétrole », c’est du Bashung, on en est sûr, c’est du lourd, de l’excellent. Lui aussi a son style. Mais je l’aime. Alors… Un livret aussi. Des photos. Des gravures. Le tout sépia. Il y a deux reprises géniales dans ce CD : Il voyage en solitaire, de Manset et Suzanne de Leonard Cohen. Deux bijoux.

 

 

La 8ème chanson, co-crée avec Gérard Manset. « Chaque jour de ma vie Chaque semaine, chaque mois Et je mordrai sa joue Qui un jour fut à moi »

 

Je ne sais pas quand je pourrai retourner dans les magasins car nerveusement j'ai du mal à supporter l'épreuve, mais cette fois, je suis ravie de mes achats.

vendredi, 06 mars 2009

MINUIT L'HEURE DU BLOG HANTE

Dans ma grande maison je suis seule la semaine et le soir, quand je bloggue dans mon bureau, je suis souvent dérangée par des bruits bizarres, qui ne viennent pas du vieux poilu qui dort sur sa chaise, contre le radiateur mais qui, si je ne les connaissais pas depuis l'enfance, pourraient me faire croire que quelqu'un s'est planqué au grenier et décide vers minuit de descendre...

Mais non, pas de panique, c'est ma maison qui respire, et qui craque. Comme moi, finalement.

samedi, 28 février 2009

J'EN VEUX UN !

Au prochain conseil d'administration, je demanderai qu'on en installe un dans mon lycée. Le problème c'est qu'au maximum, on a deux étages. Remarquez, c'est au-dessus de la cantine, et cela améliorerait peut-être le temps de passage au self !

Lire l'article :

http://www.zigonet.com/toboggan/un-toboggan-a-l-039-inter...

Voir les photos :

http://www.zigonet.com/toboggan/faire-du-toboggan-au-bure...

jeudi, 26 février 2009

NOTE FUMANTE

Le thé rouge soulevant des questions et des signes d’intérêt réel de la part de mon commentorat (j’ai décidé de vous appeler comme ça, ça fait classe et sérieux !), je vous livre plus de détails.

 

D’abord les étapes de son élaboration. Comme vous le voyez, sa couleur évolue du doré matinal au rouge profond, en passant il est vrai par des brumes qui rappellent peut-être aux feuilles de thé les hivers froids de l’Afrique du Sud. 26.02.09 004.jpg

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La couleur du breuvage pourrait faire penser à la tisane d’hibiscus et de cynorhodon, mais le goût est loin d’en avoir l’acidité. Sur la boîte, ils parlent d’un goût vanillé, mais je suis dubitative. Ce thé ne me rappelle absolument pas les thés parfumés vanille que j’ai pu boire jusqu’ici, et qui ne sont pas ma tasse d’espresso !

 

 

Depuis la première gorgée, je cherche l'adjectif qui le qualifierait le mieux. Et j'ai trouvé. "Rassurant". Voilà, ce thé est rassurant. Tout ce dont j'ai besoin.

mardi, 24 février 2009

SACHONS PERDRE DU TEMPS

En vacances, le temps prend une autre échelle. On se permet des traîneries, des rêveries.

On fait les choses en plusieurs fois, en s’offrant une pause café ou une pause blog.

On n’a pas peur de le perdre, ce temps.

Et ça nous rend agréables. En tous cas, moi, ça me fait cet effet-là. Je ne râle presque plus, je n’ai plus d’angoisses, ou je les oublie, et y’en a qui ont de la chance qui ne me voient qu’en vacances.

Shakti vient de me tagger et de me donner le même « gage » que celui que je m’étais imposé il y a quelques jours tout en essayant de vous pousser à le faire, mais il eut peu d’écho ! Cette fois-ci, sans même avoir l’impression de me répéter, ni l’envie de dire à Shakti, « Dis-donc, tu crois pas que t’exagères, j’ai pas que ça à faire moi ! », je vous donne la règle du jeu officielle, et je donne des noms.

Alors, pour Zapette, Pascale, Laliie, le CPE, so et zaboutek, qui sont les derniers survivants de mon commentorat :

 

1. Mentionner qui vous a passé la chaine
2. Choisir la 6ème photo dans son dossier le plus récent
3. La publier sur son blog
4. Tagger 6 autres blogueurs

 

A la demande de Shakti donc, (ça va, je t’ai fait assez de pub, comme ça ?) voici une autre photo de mon avant-dernier dossier, (sans compter ceux d’une ou deux photos prises exprès pour ce blog). C’était le 31 décembre et des copains belges nous avaient gâté.

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Cette boîte me rappelle Forrest Gump, mais aussi mes virées en Belgique, où je peux acheter les plaques de chocolat Côte d’Or, emballées dans du papier mat, et qu’on ne trouve que là-bas. Les pépites d’or sont les moments de bonheur des vacances. Quand j’ai pris cette photo il me restait trois jours de liberté avant de reprendre le trajet du bahut. Servez-vous pour prendre des forces, et écrivez une note photographesque de pré-printemps !

lundi, 23 février 2009

CHASSE AUX TRESORS POUR NOTRE PALAIS ET NOTRE PALAIS !

Dimanche de transports. Pas amoureux, mais de meubles et bien d’autres merveilles. J’ai commencé par vider un classeur à dossiers verticaux, remontage à l’étage pour ADMV. Puis repas copieux et copieusement arrosé avec une amie qui vide la maison de ses parents… Il faut bien un arrosage de qualité et des fous rires entre vieux copains pour surmonter ces moments-là. L’après-midi, le cœur et l’estomac un peu lourds, on est tous partis vers la maison. Vide, ou presque. Nous sommes descendus dans la cave où je n’avais dû pénétrer qu’une fois en presque 40 ans. Armés de chiffons doux, mais le plumeau aurait été plus adéquat, nous avons remué la poussière, le plus délicatement possible, pour ne pas détruire les étiquettes. Et nous avons eu la totale liberté de prendre tout ce que nous voulions. Etant averties que la qualité du contenu n’était pas garantie ! Des noms inconnus, d’autre un peu plus, des années qui nous ont plongées dans la nostalgie, nous avons rapporté au moins une cinquantaine.

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Je ne vous garantis pas non plus la qualité du contenu de mon blog dans les semaines à venir, car il va falloir les boire vite pour qu’elles ne se perdent pas dans ma cave qui n’a pas la température requise… Mais des noms comme « La Rose Pauillac » ou « Vosne Romanée » nous font rêver ! Surtout associés à des années comme 1971 ou 1969. Nous prenons le risque !

 

Ah ! J’allais oublier, les bouteilles, ce n’était pas prévu. En premier lieu, j’ai récupéré un beau meuble classeur (dossiers rangés à l’horizontal) dans lequel je vais pouvoir ranger tous mes papiers de l’educnat.

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