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vendredi, 09 juillet 2010

OU VA L'ARGENT DE L'ETAT ? ET LE MIEN ! ?

Un jour on découvrira qu’il y a une espèce de conflit d’intérêts entre le ministère de l’éducnat et celui de l’économie. Certains appelleront cela une politique commune.

Envoyer des profs faire passer des oraux dans une autre ville que la leur coûte cher, mais c’est la règle. Ne pas demander aux élèves d’annoncer la veille de l’examen les matières choisies pour se rattraper, c’est une erreur, ou une volonté de gabegie. Je suis comme il y a deux ans arrivée à 8 heures, et ai attendu jusqu’à 9 h 15 pour qu’on me dise que je n’avais pas de candidats. Pour l’après-midi, on ne pouvait pas encore me le dire.

 

Je suis donc allée dans le centre-ville avec ma collègue qui était dans le même cas, et là, nous avons bavardé en terrasse, découvert des magasins et des merveilles inexistantes dans Maville, puis déjeuné dans le jardin d’un merveilleux restaurant gastronomique, mais qui propose un menu « brasserie » à un prix tout à fait abordable.

 

Retour au centre d’examen. Tout est fini, pas de candidats ! Une matinée de dépenses royales, et un aller-retour en principe remboursé, c’est ce que j’appelle une aide de l’éducnat à la relance de la consommation.

 

Le bilan de mes courses ?

 Ah, et une bonne nouvelle pour une fois :

http://fr.news.yahoo.com/76/20100708/tfr-une-adoption-aux...

mercredi, 07 juillet 2010

LA MAGIE A FONCTIONNE

Cet après-midi, je suis allée voir l'Illusionniste. Grâce à Pascale, j'avais deux places gratuites. Est-ce la nostalgie qui suivait le pot de fin d'année de mon lycée et tous ces départs en retraites ? Ou bien la compagnie de ma tante tout de même âgée de 75 ans ? Ou tout simplement cette impression que plus je vieillis, plus j'ai conscience de tout ce que notre société a perdu de poésie, de générosité artistique à cause de la télé, puis d'internet, des mp3, i-phone, pad, et autres. A cause de la consommation à laquelle j'ai participé, comme tout le monde ?

Bref, j'ai aimé ce film. Ses personnages dessinés qui ressemblaient effectivement à des acteurs mis en scène par Tati. L'histoire simple, calme, nécessaire par cette canicule. Edinburgh si bien dessinée que l'on s'y croirait. J'ai très envie que le DVD sorte, pour pouvoir me faire des arrêts sur images, me repasser mes moments préférés. Tous ces trains auxquels je ne peux jamais résister, et ces paysages écossais, qui m'ont fait penser à mes prochaines vacances.

Demain, je pars vers la ville où je vais essayer de rattraper les candidats qui me confieront leur sort, et comme je risque fort de ne pas voir grand monde, les images flotteront dans un coin de ma tête.

http://www.lillusionniste-lefilm.com/#/home

samedi, 03 juillet 2010

J'AI GAGNE QUATRE JOURS

J'ai eu de la chance cette année, 50 copies seulement ! J'ai encore eu plus de chance. En observant le calendrier de fin d'année, j'ai vu que si je corrigeais assez vite, je pourrais tout boucler pour le 28 au soir, et avoir 4 jours de totale liberté ! Pas de réunion obligatoire, de pot de départ auquel on culpabilise de ne pas aller, de rendez-vous obligatoire avec un assureur ou un artisan... Alors je suis allée à Paris, profiter des films et des expos que ma ville de province ne m'offre jamais. Y'en a, mais pas ceux-là.

Tout va bien à Paris, pour preuve ces photos : (Tiens, ça va me permettre de voir si les liserés bleu électrique ont disparu.)

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Il y fait chaud, comme partout, peut-être un peu plus qu'ailleurs grâce à la pollution... Le métro, le RER, le TGV qui m'a ramenée, ont tous leurs problèmes techniques dûs ou non à la chaleur, qui nous poussent au contact humain et nous font arriver en retard. J'ai vu une gamine de huit ans se faire hurler dessus par sa maman qui devait gérer sa gosse et trois valises parce que la gamine en question avait peur d'entrer dans la rame de métro bondée, on la comprend, mais que la maman avait peur de rater son train, on la comprend.
 
Consciente de vivre 4 jours à Paris dans des conditions idéales, j'en ai profité. J'ai vu toutes les expos de Beaubourg ou presque, ce qui m'a fait oublier la canicule grâce à la clim. J'ai vu 5 films dont un nul et deux merveilles. Le nul : Sweet Valentine. Emma Luchini devra admettre que bien qu'ayant un nom italien, celui-ci ne lui a pas donné le don de la mise en scène comme à Sophia Coppola (dont je déteste le père pourtant. Quiconque suit et comprend mon raisonnement gagne un coca-cola light en terrasse !), j'ai en effet trouvé ce film prétentieux, vainement esthétisant et nul.
 
En revanche j'ai adoré A Cinq Heures de Paris (décidément le cinéma israélien a le don de me toucher) et Dans Ses Yeux. Ames sensibles, courez-y-vite !
 
J'ai aussi vu des gens. Qui m'ont fait découvrir des tables sympas, restaus ou persos. Un weekend pour me reposer et je reprends le bac. Délibérations, zorros de rattrapage. Prochaines vacances, le 11 juillet !

mercredi, 23 juin 2010

CONVALESCENCE

A cause d'une grippe d'été, la force me manque, et à cause des copies de bac, le temps me manque aussi ! Voici néanmoins une note, courte, mais contenant deux jeux.

1. Reconnaissez la ville où j'ai traîné mes guêtres récemment, quoi que j'ai surtout dormi.

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2. Il y a dans cette ville beaucoup de choses faites pour la propreté et la sauvegarde de l'environnement. Certaines sont classiques : poubelles de couleur, centre ville piétonnier, vélos à louer... Il y a néanmoins une chose que je voyais pour la première fois. Malheureusement, terrassée par la grippe, je n'ai pas pu vous la prendre en photo. Pouvez-vous deviner de quoi il s'agit ?

Une seule proposition de ville par commentaire, et une seule proposition d'action "protection-environnement". Je viens, je dis si c'est bon ou non, et alors seulement vous pouvez rejouer ! (attention Agathe !)

vendredi, 18 juin 2010

LES TRADITIONS NE SE PERDENT PAS

Voici mon traditionnel mots-croisés du bac:

 

A

B

C

D

E

F

G

H

I

J

1

 A

 N

 D

 T

 A

 E

2

 N

O

 I

XX   

E

I

3

N

A

T

 I

N

XX   

 N

4

V

XX   

XX   

 R

 O

D

XX   

 I

5

 I

 S

6

XX   

XX   

XX 

7

       

XX   

8

XX   

9

XX   

XX   

S 

10

T

E 

XX   

 désolée si ce n'était pas faisable... j'avais oublié une case noire dans la colonne I !

MOTS CROISES.jpg
AGATHE EST LA GRANDE GAGNANTE ! (Mais la prochaine fois, je demanderai qu'on donne un mot à la fois !, comme pour les autres jeux.)
Et mon traditionnel élève qui bosse :
BAC copie.jpg
Ah ! j'oubliais, j'ai commencé un nouveau livre ce matin, mais j'étais tellement naze et contrariée à cause d'un conseil d'administration qui m'a fait rentrer à 23 h chez moi, que j'ai lu moins qu'hier. J'ai quand même trouvé cette phrase qui vous parle d'un temps que les moins de 30 (40 ?) ans ne peuvent pas connaître.
"Dans la vie, on a intérêt à bien tenir le papier carbone."
Je lisais quoi ?

mercredi, 16 juin 2010

UNE FIN EST SOUVENT UN DEBUT

Depuis trois jours je cours. Cela pourrait être bon pour la santé, mais sans le stress qui va avec. Aujourd'hui, malgré tout ce fut plus cool (un passé simple spécialement dédié à Imposture !). Car si réunion il y a eu, elle fut entrecoupée d'un apéro et d'un repas fort agréables, et plein d'émotion, car les baby-boomers prennent leur retraite. Et un autre, plus jeune, a décidé de passer du côté obscur de la force (comprendre : il devient chef d'établissement). Il y a des mots qu'on se dit ces jours-là qui vous font verser une larme.

Avec mes collègues d'anglais on a été moins émus, mais efficace. On a choisi un nouveau manuel, parmi des titres qui en français donnent "cible, impact, mission...". A croire qu'enseigner l'anglais est une guerre. Et on s'est réparti les classes. Neuf personnes, pas un coup de gueule. Elle est pas belle mon équipe ?

Et voilà, c'était mon dernier jour avant le bac, et en même temps, le premier de l'année prochaine.

Post-scriptum : A la caisse du supermarché, Dawson et Montgomery, jumeaux de deux ans et demie ont semé un beau souk ! (Si, si, je vis en France.)

samedi, 12 juin 2010

LE DEBUT D'UN ROMAN

Je viens de publier ici (Vous y retrouverez les consignes, puis les textes proposés) un début de roman. Le chapitre un s'intitule "Retour". J'avoue que la consigne, avec tous ses noms de personnages alambiqués, m'avait un peu rebutée. Je m'étais même trouvé l'excuse de la période "fin de cours - post-bac - angine et crève" pour annoncer que je ne répondrais peut-être pas à ce défi. Et puis en ville hier, une idée m'est venue d'un autre défi. Alors, à la première consigne, j'en ai ajouté une autre que je vous mets au défi de deviner (enfin, j'en connais une à qui cela ne va pas échapper !). Après avoir rédigé 20 lignes, j'ai découvert une contrainte que j'avais omise à la première lecture. L'époque : le XVIIIème. Pirouette, et je m'en sors. Une demi-heure, et je me suis bien amusée. Vous aussi ?

Ed O'Connor arriva vers vingt heures et chercha un lieu où boire une bière ne serait pas mission impossible. Il y avait si longtemps qu'elle n'avait pas quitté son île verte, et ce soir, pleine de ces souvenirs qui l'assaillaient, elle avait un peu la tête en friche. Quand Azettep Nunes de Aznar l'avait appelée la veille, elle avait d'abord cru à un mauvais rêve. A deux heures du matin, la sonnerie du téléphone avait toujours sur elle l'effet d'une blessure. Les griffes de la nuit sont implacables. Azettep avait de sa voix cristalline prononcé le nom de Zofia, et là, soudain, le jour s'était fait. Danger ! Elle ne pouvait laisser la copie conforme de la déesse de la beauté se perdre dans les sables du temps. Et c'est ce qui allait arriver si personne ne la libérait de son tortionnaire et geôlier, Larjie de Portaul. Il la tenait effectivement prisonnière dans le Château de La Latte. Depuis le coup de téléphone, tout s'était enchaîné sans qu'Ed ait besoin de planifier. Nulle nécessité de peser le pour et le contre, pas de plan B, une seule idée, fixe, sauver Zofia. 

Ed et Zofia s'étaient rencontrées alors qu'elles n'étaient qu'adolescentes chez Léon de Bretagne. Léon était alors directeur d'un centre de vacances, son nom les avaient fait rire à l'époque. S'appeler « de Bretagne » et vivre dans le Languedoc ! Le centre où il recevait ses pensionnaires n'était pas un simple camping, mais un vieux château du Pays Cathare. Ruiné, Léon avait depuis dû revendre son château, qui aujourd'hui appartenait à ce scélérat de Larjie de Portaul. Zofia, Azettep et Ed étaient, à l'époque de leur rencontre, devenues rapidement les meilleures amies du monde.

 A Montségur aujourd'hui, il n'y a qu'un café où Ed entra sans hésiter. Des regards accusateurs l'accueillirent. A une table la Marquise de Sillègue d'Aubeville et Louis de Clairac partageaient une bouteille de Champagne. Malgré la pression régionale, ils avaient toujours préféré ses bulles à celles de la Blanquette. Dans le coin à gauche, à l'abri de l'obscurité, Ingeark consultait ses derniers croquis et plans. Rien ne pouvait le perturber, c'est pourquoi dans ses yeux à lui, Ed ne vit rien. Celles qui la dévisagèrent avec le plus de méfiance et défiance, ce furent Emma de Montbruisson et Pascale de Chaste qui, depuis que leurs maris les avaient délaissées, en voulaient à tout ce qui était de sexe féminin et quelque peu séduisant. Comme elles ne risquaient pas de l'oublier dans leur solitude desséchante : l'amour, c'est mieux à deux.

 Face à cette hostilité sourde Ed comprit qu'elle devait prendre seule le chemin du Château de La Latte. Ce qu'elle fit, par un chemin escarpé, dans une nuit noire et sans étoiles où la seule chose à laquelle elle aurait pu s'attendre à voir apparaitre, aurait été quelques dragons ou fantômes du crû. Mais Ed n'avait pas peur de son imagination. C'était sa plus fidèle compagne. Arrivée au Château, elle chercha une entrée possible, se souvint du souterrain, et arrivée au bout, près de la pierre tournante, elle entendit une voix féminine. « Cher ami, avez-vous pris congé des amis de mon père ? » Cette voix, cette voix ... ? Elle lui rappelait étonnamment celle de Brigitte Goulier, une autre adolescente connue dans le centre de vacances. Mais beaucoup plus distinguée, à l'ancienne.

 Quant elle fut sûre de ne plus entendre aucun bruit, elle entra discrètement. Elle reconnut la pièce, ses murs, ses fenêtres, mais pas ses meubles, ses tableaux, ses chandeliers. Sur un des tableaux, elle reconnut Brigitte Goulier, mais portant une perruque grisonnante, le visage poudrée, le sourire pastel et un décolleté pigeonnant que jamais Brigitte ne se serait autorisée. Soudain, elle dut se cacher derrière un paravent. Une femme venait d'entrer. Celle du tableau. Et ce n'était pas Brigitte, elle en fut sûre dès la première seconde. Elle avait devant elle la Comtesse Goulier de Grandville. Elle avait traversé l'espace temps et se retrouvait prisonnière du XVIIIème siècle, dont elle devrait sortir coûte que coûte avec Zofia.

lundi, 07 juin 2010

LES JEUX CA ANIME !

Il y a déjà quelques temps Pascale avait proposé qu'on fasse une note où l'on donnerait ses dix films d'animation préférés, en expliquant pourquoi chacun d'entre eux était sélectionné. J'avais fait une liste, et puis je l'ai perdue ! Je viens d'en refaire une, mais c'est extrêmement difficile. Je suis tellement fan de cinéma d'animation, qu'il pourrait y en avoir 20 ou cent.

Je vous offre quand même mon top ten, mais à vous de deviner les titres. Dépêchez-vous si Pascale arrive, elle va rafler la mise encore une fois ! Je ne sais pas encore ce qu'il y a à gagner, mais une surprise, promis.

Quand tout sera trouvé, j'expliquerai pourquoi je les ai choisis, ces films.

Une seule réponse à chaque fois. Vous n'avez le droit de rejouer que quand j'ai validé ou invalidé votre réponse ! La personne qui aura le plus de points à la fin gagnera une surprise.

Mercredi, jour des enfants, alors je fais preuve d'une grande indulgence et vous offre des indices !

Il reste la question 1 et la question 4

Si Max et Pascale trouvent chacun un film, je vais devoir trouver deux cadeaux !

Samedi matin : un indice de plus, et là vous n'avez plus d'excuse !!!!

GRANDE GAGNANTE : PASCALE

AVEC 4 BONNES REPONSES !!!

- 1 -

numéro un.jpg  numero1indice.jpg numéro1indice2.jpg

numéro1indice3.jpg
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L'Age de Glace, de Chris Wedge, 2002
Trouvé par Virgibri... Enfin!
 

 
- 2 -
numéro deux.jpg
2belleetlabete1.jpg
La Belle et la Bête des Studios Disney, 1991
Trouvé par Max.
- 3 -
numéro trois.jpg numéro3indice.jpg
3Bonhomme de neige1.jpg
Le Bonhomme de Neige de Dianne Jackson, 1982, d'après une BD superbe de Raymond Briggs.
Trouvé par Max qui a maintenant 3 points !
 
- 4 -
numéro quatre.jpg numéro4indice.jpg numéro4indice2.jpg  
numéro4indice3.jpg
4dragons1.jpg
Dragons de Sanders, Deblois et Deblois en mars 2010
Trouvé par Pascale, qui a pourtant laissé sa chance à Max, mais il v'nait plus...
- 5 -
numérocinq.jpg
5Persepolis.jpg
Persepolis de Marjane Satrapi, 2007.
Encore trouvé par Max ! Il le veut son cadeau...
- 6 -
numéro six.jpg
6pinocchio1.jpg
Pinocchio, des studios Disney, 1940 (je l'ai pas vu à sa sortie !)
trouvé par Pascale qu'est trop forte !
- 7 - 
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Qui Veut La Peau de Roger Rabbit, Robert Zemeckis, 1988
trouvé (si on veut !) par Sploutch...
- 8 -
numéro huit.jpg numéro8indice.jpg
8toystory1.1.jpg
Toy Story, des Studios Pixar, 1995
trouvé par Emy, qui rêve d'avoir les mêmes cheveux que la petite soeur de Sid.
 
- 9 -
numéro neuf.jpg numéro9indice.jpg
9Triplettes de belleville1.jpg
Les Triplettes de Belleville de Sylvain Chomet, 2003
Trouvé par Pascale qui a elle aussi 3 points !
 
- 10 -
numéro dix.jpg
10valseavecbachir1.jpg
Valse avec Bachir, Ari Folman, 2008
trouvé par Pascale, qui connait tout le film par coeur !
 
 

samedi, 05 juin 2010

UN JOYEUX NON ANNIVERSAIRE !

Aujourd'hui c'est l'anniversaire d'ADMV ! Et pour moi, eh bien, c'est mon non anniversaire... Ce qui veut dire ? que je me suis réveillée avec une angine, une vraie. Et qu'après avoir réussi à avaler une ampoule de cuivre qui agit d'abord sous la langue, du paracétamol et une tisane, j'ai insensibilisé quelque peu ma gorge avec un spray et je suis partie en ville avec la vedette du jour, comme prévu, et elle a eu un moment libre-service chez Nico, car elle aime le bon vin et le champagne. Nous avons aussi pris un petit repas sympa en terrasse, et là, pour me rappeler que c'était mon non anniversaire, j'ai été piquée au menton par une saleté de bestiole, et j'ai encore mal (il est 17 h et quelques !) et le menton dans un état peu esthétique. J'ai dormi trois heures cet après-midi, mais au réveil, ma gorge est toujours dans le même état ! Quelqu'un connait un remède de grand-mère ? Pas envie de voir mon toubib.

J'ai entendu une phrase qui semblait essentielle, puisque la petite fille l'a répétée trois fois avec véhémence à sa maman :"Les pieds nus, si ! hein !". Je me demande quelle était le sujet de conversation?

dimanche, 30 mai 2010

TIENS, UNE BD !

Je lis et relis mes BD et parfois j'en découvre une nouvelle. Ca a été le cas lors de mon dernier passage à ma librairie préférée. Un beau regard un peu caricatural, mais pertinent sur la vie en ville, et par exemple, à Paris. Au début, je me suis demandé si je ne m'étais pas trompée, si ce n'était pas une BD pour enfants, mais au bout de trois pages, non, j'ai souri, puis ri. Je me suis sentie visée parfois dans ce portrait des citadins. C'est sûrement pour cela que j'ai trouvé ça drôle.

J'attends le deuxième !

lundi, 24 mai 2010

PHRASES ENTENDUES PENDANT CE WEEKEND DE PENTECÔTE

1. "Oui, on est fermé tous les jours fériés, donc demain, on est fermé."

La piscine où je suis allée dimanche. Mais fermée le lundi. ? . Le dimanche de pentecôte n'est pas un jour férié ?

2. "Il est en maîtrise. Voilà un joueur qui a bien servi."

Un "journaliste" à propos d'un joueur de tennis. Que des phrases à double sens...

3. "Max ! Ne laissez jamais votre canard chargé !"

Un épisode génial de Max la Menace (Trouvé par Agathe !)

4. "Mets-la un peu plus près !.....Voilà."

Des mecs dans un jardin voisin, jouant à la pétanque, pendant que je bouquinais sur ma terrasse.

5. "Il sera bien pas loin d'un mur, mais au soleil."

Mon voisin après m'avoir offert un figuier à replanter dans mon jardin.

Je les ai entendues de diverses manières, mais toutes ce weekend. Pouvez-vous me dire dans quelles circonstances ?

Plus guère de propositions...Je vous donne les solutions !

Mon weekend a été superbe, le vôtre aussi j'espère !

mercredi, 19 mai 2010

Les antiquités : sont toujours de fabrication moderne*

*Gustave Flaubert

Et dimanche nous nous sommes levées à 5 h 45 et à 7 heures nous étions installées. Cela peut paraître tôt, mais à cette heure là, les croissants sont tout chauds, l'air est vif, mais ne transperce pas, et les rues sont encore presque vides, même un jour de brocante. Une journée pleine de mots entendus et de photos pas prises, mais qui auraient mérité de l'être.

Une femme, marchant le regard vide, cheveux longs mal coiffés, un peu de Yolande Moreau ou des acteurs de Groland. Vous voyez ? Déjà, ça attire le regard, qui descend, et là... Dans sa main gauche, et ne ralentissant pas sa marche, une tronçonneuse.

Observation du jour : Liane Foly, Les pères apostoliques et les vieux jeux de cartes, ont un point commun. On les touche beaucoup, mais on ne les achète pas.

Enfin, si, le gagnant est : "Les Pères Apostoliques", acheté par un ancien collègue, qui l'avait déjà lu (!), mais voulait le relire. Chaque jour m'étonne.

Pour la prochaine fois, il y a deux thèmes vendeurs que je dois prospecter : la chasse et le paranormal. Y a-t-il un lien entre les deux ?

dimanche, 09 mai 2010

DEUX ARTICLES EN UN

Mon défi était là : http://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/archive/2010/...

Vous trouverez tous les textes là: http://defi-ecriture.tinad.fr/

Mais en avant-première, ici, le mien et celui de Pascale, pour qui mes désirs sont parfois des ordres. Je n'ai pas dit désordre ! Lisez, profitez, sans modération, jusqu'à la dernière expiration.

Knock-out sans grand espoir de récupération

Un jour il tomba en adoration devant sa postière. Il retint sa respiration, réussit péniblement à prononcer l'énumération de ce qu'il venait chercher, mais quand elle en vint à l'oblitération, il prit une forte inspiration et voulut le lui dire avant qu'elle n'ait finit l'opération. Il ressentait tant d'admiration devant sa coloration sous la réverbération du néon et sous l'effet de la ration de sourire qu'elle lui proférait chaque jour sans exagération ! Jamais de commisération ! Mais soudain il sentit l'altération de sa voix qui au lieu d'une déclaration, ne put devenir qu'une pauvre aspiration. C'était une conspiration de ses sens. Pourvu que cela ne finisse pas en castration psychologique. Dans la soudaine évaporation de ses rêves il dit adieu à l'exploration de l'amour, à la consécration de ses désirs. C'était le problème avec sa génération. S'ils n'obtenaient pas réparation immédiate, ils ne faisaient plus que de la figuration. Quelle aberration ! Ce renoncement dans la nouvelle décoration du bureau, ce jaune et ce gris sans considération pour l'esthétique, cela appelait à la défenestration.

DESINTEGRATION  

Avant que le délai du 8 mai n'arrive à expiRATION, je me suis dit « prends une grande respiRATION, et pour ce projet de narRATION, mets en route ton inspiRATION, sinon ton Dada qui te voue adoRATION, que dis-je vénéRATION, sera confronté à une intense frustRATION, une désagréable ulcéRATION ». Je ne veux pas être la cause de sa prostRATION même si j'estime que cette idée d'allitéRATION en « ration » est un tantinet une exagéRATION. Mais je ne souhaite pas, une fois de plus être à l'origine de l'exaspéRATION du Dada, de la détérioRATION de son moral, de la désintégRATION de sa joie de vivre, ou pire encore, de sa déconsidéRATION. Je sais qu'il est capable de commiséRATION et de pondéRATION. Et pourtant il ne comprend pas toujours mes élucubRATIONs qu'il évalue comme de la déconcentRATION, une forme d'altéRATION ou de déstructuRATION mentale, mais auxquelles il apporte modéRATION et édulcoRATION en les nommant « évapoRATION ». Mais là je dis : conspiRATION !. Ce n'est pas parce qu'il travaille dans une administRATION qu'il peut se permettre de telles déclaRATIONs. En tout cas ce n'est nullement un problème de généRATION même si nous ne possédons pas les mêmes mensuRATIONs et il faudra bien qu'un jour ce Dada fasse abjuRATION de ces vociféRATIONs. Moi aussi, j'ai des aspiRATIONs, je suis capable d'amélioRATION, de concentRATION, de pénétRATION, je lui en ferai la démonstRATION.

Je participe donc à cette étrange opéRATION, une orchestRATION arrangée par cette confédéRATION, cette corpoRATION qui nous demande sans rémunéRATION d'écrire des aberRATIONs. Il faudra que j'en établisse la factuRATION ou que je demande répaRATION. En tout cas pour parvenir à la libéRATION de tous ces termes en « ration » je suis victime d'une forte transpiRATION. Je suppose qu'après récupéRATION et aéRATION, sans en arriver à la défenestRATION, il y aura restauRATION de bonnes vibRATIONs.

Alors, fais-je à présent partie de cette fédéRATION ? Y'aura-t-il délibéRATION puis décoRATION ? Ou insatisfaite de ma collaboRATION, en arrivera t'on à la séquestRATION, l'éventRATION ou l'épuRATION ?

dimanche, 02 mai 2010

FIN DE WEEKEND, PARCE QU'IL FAUT BIEN UNE NOTE

Ah la belle fête du travail !

OK j'ai joué la feignasse pour la manif et ai déclaré forfait. Mais j'ai fait du rangement et du ménage pendant cinq heures hier, et ai bossé pour le lycée cinq heures aujourd'hui. C'est une bonne moyenne. J'espère faire moins le weekend prochain. 

Certains faits-divers font frémir. Un prof qui se tire une balle dans la salle des profs de son collège. Il avait des problèmes personnels. Ce n'est pas lié directement à son travail. OK. J'entends bien. Mais n'importe quel psy dira que l'endroit choisi pour se donner la mort n'est jamais sans signification. 

Le ciel est aussi agité et sombre que l'actu, mais intéressant aussi. Vu de ma fenêtre, étant donné que je ne suis pas sortie aujourd'hui. J'ai commencé hier un livre qui me semble passionnant, un peu intello, mais lucide. « Retour à Reims » de Didier Eribon. J'avais lu « Réflexions sur la Question Gay ». Ici, c'est beaucoup plus ouvertement autobiographique, mais pas un roman. Un essai, peut-être. Je le définirai exactement quand je l'aurai fini. 

Et décidément, la Grande-Bretagne persiste dans le surnaturel. Après les fantômes du Yorkshire, les écossais re-croient au monstre du Loch Ness ! Je croyais qu'un mec avait laissé un papier où il prouvait qu'il avait tout inventé avant de mourir...

samedi, 01 mai 2010

ESPRIT ES-TU LA OU ILS DISENT ?

Les vacances d'été s'annoncent d'enfer. En lisant les news j'ai appris que la région où on allait est la plus hantée d'Angleterre !

http://fr.news.yahoo.com/55/20100501/tod-de-plus-en-plus-...

Déjà que j'ai une voiture magique depuis hier... La vie est belle.

Je vous dirai où j'ai aperçu le mien, et à quoi il ressemblait dans quelques mois !

jeudi, 29 avril 2010

PAR TOUS LES SEINS !

Deux thématiques sont récurrentes dans ma vie bloguesque récente. La première, l'humour. J'ai cru comprendre en lisant Le Blog de mon hébergeur qu'il y avait des blogs drôles et d'autres pas. Personnellement j'aime mieux les blogs qui le sont parfois, mais pas toujours, un peu comme la vie, quoi. Je suis allée jeter un coup d'oeil à un blog très connu (qu'ils disaient) que je n'ai pas trouvé drôle, mais qui m'a ramenée à ma deuxième thématique, les seins. D'abord, il y a eu une note chez Cunégonde. Puis, cette annonce d'exposition au Science Museum de Londres d'un modèle de soutien-gorge de 1880.

bra

Ajoutez à cela que mes élèves avec le printemps ont retrouvé des décolletés très "avantageux", on ne peut pas ignorer les seins ces temps-ci. Quand j'étais ado, ne pas en avoir, c'était le must. Ne pas porter de soutien-gorge aussi. Aujourd'hui, la mode féminine a retrouvé tous les carcans dont les femmes s'étaient libérées un temps (chaussures qui font souffrir, vêtements qui transforment en objet de désir...). Le balancier de la mode, du fric, et des phantasmes masculins est inexorable.

Je n'émets pas de véritable jugement, quoi que..., mais enfin chacune porte ce qui lui plait. Sauf que chacune est bien obligée quand ses vêtements sont usés d'acheter ce qu'elle trouve dans les magasins... Pourriez-vous m'expliquer pourquoi à partir de la taille 95, on ne trouve que des soutifs avec des bretelles ultra-larges et moches ? Nos seins ne pèsent quand même pas des tonnes ! Et on pourrait faire un peu plus large, mais esthétique. Designers de tous sexes, pensez-y !

Voilà, je ne suis toujours pas drôle, mais au moins parlé-je de mode. Je vais peut-être voir ma cote remonter chez h&f...

dimanche, 25 avril 2010

IL EST TEMPS D'ECRIRE

UN MOIS !

Il me semble que nous n'avons jamais attendu aussi longtemps depuis la création de notre blog collectif de défis d'écriture. J'en lance donc un nouveau. L'objectif que nous cherchons souvent à atteindre, nous bloggers, c'est celui-ci :

Il nous faut parfois prendre bien des chemins détournés. Nous nous retrouvons souvent dans une impasse. Mais le cerveau est bien mystérieux, qui au milieu du désert de notre imaginaire soudain fait apparaitre l'oasis de l'inspiration. Le mot n'est pas très beau, mais tant pis pour la lourdeur de la consonnance ! Je vous propose de rédiger un texte comprenant le plus grand nombre possible de mots en "ration", mais en ne les utilisant qu'une fois chacun.

Donnons-nous jusqu'au 8 mai pour publier nos textes !

 

vendredi, 23 avril 2010

IMPRESSION SOLEIL COUCHANT

Comme on m'a dit récemment que les supports numériques ne conserveraient pas mes photos pour la postérité, j'ai décidé de profiter d'une des nombreuses offres que je reçois régulièrement et j'ai fait tirer sur papier 314 photos, en double ! Je pourrai ainsi en donner à ceux qu'on voit dessus. J'étais en train de les trier quand l'une d'entre elles m'a sauté aux yeux. Quand on parle photo, on dit bien "impressionner". Là, c'est l'imprimante qui l'a été ! Moi, je sais qui a provoqué cette réaction, mais vous, saurez-vous la reconnaître ?

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mercredi, 21 avril 2010

POURVU QU'A MINUIT IL NE SE TRANSFORME PAS EN CITROUILLE...

Ca y est ! J’ai commandé notre nouveau carrosse. Le même doré que l’actuel. Mais le design est beaucoup plus beau parce que quand même il est 5 ans plus jeune !

 

C’est dingue ! C’est le modèle au-dessus. On me reprend mon vieux tacot au lieu de me le « racheter », et pourtant la différence est moindre. Ils en vendent vraiment pas pour faire des prix pareils ! Demain je vais à ma banque pour qu’elle me prête des sous, histoire que je paye ma voiture pendant que je m’en sers.

 

Pour mes prochaines vacances de l'autre côté de la Manche, je vais me prendre pour Elizabeth ! Sauf qu'elle, elle n'a sûrement pas besoin d'emprunter. Et puis, son carrosse, elle ne l'achète pas d'occasion.

UN MERCREDI SOURIANT

Ce matin, je suis collée. En fait avant les vacances quatre élèves n'avaient pas fait un travail simple, mais qui demandait un peu de recherches suite à une sortie (oui, j'en organise encore quelques unes malgré tout ce que je dis...) et j'avais rendu un deuxième sujet avec un nouveau délai en prévenant bien, sur l'énoncé, que tout travail non rendu avant les vacances vaudrait une colle un mercredi matin. Un seul s'est amusé à ne rien me rendre. Il vient donc ce matin faire ce boulot...Comme je veux que ce travail soit fait au CDI, et que les surveillants surveillent les collés uniquement l'après-midi, je m'y colle ! (ah! ah! ah!) En fait, moi, pendant ce temps-là, je vais faire mes devoirs aussi, sans tentations diverses comme mon blog, un thé, mes mails, facebook, un jeu... Cet après-midi, je vais voir un monsieur qui me dira quel carrosse je peux m'acheter en échange de mon tank actuel plus une modique somme. Ca va discuter sec ! Entretemps j'espère pouvoir manger sur ma terrasse. Il fait si beau. Et bouquiner un peu au soleil me fera du bien. Bizarrement, je prends bien cette rentrée. Les aléas des transports ont animé les conversations et cela a mis une ambiance un peu moins sinistre en salle des profs. On envie ceux qui sont coincés au Sénégal, en Egypte ou en Grèce, mais on rêve aussi, et les effectifs un peu réduits des classes nous font du bien. On connait le nom de notre prochain chef. Cela ne nous apprend pas chose, mais ça permet de bavarder quand même, d'espérer que ce sera mieux... Les profs sont naïfs. Mes 13 premières heures se sont bien passées. J'ai fait à peu près tout ce que j'avais prévu, et dans une ambiance correcte. Vendredi nous allons au restau pour dire au revoir à notre assistante américaine. Les assistants semblent passer de plus en plus vite ! Leur année scolaire ne va que de début octobre à fin avril, et je regrette pour eux autant que pour nous qu'ils ne puissent rester plus longtemps. J'ai été assistante en Angleterre d'un premier septembre à un 16 juillet, et ai ensuite eu la chance d'assurer un intérim du 1er septembre suivant jusqu'au 1er novembre, et j'avais vraiment eu l'impression de m'intégrer. En sept mois, c'est plus illusoire !

dimanche, 18 avril 2010

ALLEMAGNE, DERNIERE !

LA RUE S'EXPRIME...
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Demain je reprends le chemin du lycée et je vous récris une vraie note... peut-être. Aujourd'hui, je peux vous faire un condensé de cette fin de vacances qui ont été bien remplies, tant par le boulot (mais au moins c'est fait, et ça y est j'ai bouclé tout ce qui était en retard) que par les bons moments. Hier nous sommes allées voir Adèle Blanc-Sec, et avons passé un excellent moment. Les avis sont très partagés sur allociné, mais les "contre" font souvent abstraction du fait que ce film est avant tout la transformation d'une BD, et Luc Besson a réussi à lui faire conserver son humour, son imaginaire en y ajoutant quelques anachronismes qui m'ont bien plu. Aujourd'hui nous avons profité du soleil et de la terrasse en nous faisant un barbecue : brochettes de poulet tandoori, un délice dans une atmosphère d'été. Ce soir en principe, nous allons voir le film de Burton, malgré toutes les critiques négatives entendues. Si c'est comme pour le film de Besson, j'aime mieux me dire que je ne l'aurai pas raté et me faire mon opinion moi-même. Bonnes vacances à ceux qui les commencent, et bonne reprise à ceux qui en avaient avant. Aux autres, bonne fin de dimanche !

mardi, 13 avril 2010

ETERNELLE OU EPHEMERE

Je connais donc l'Allemagne depuis 41 ans (toute première fois avec mes parents sur le Rhin avant ma sixième !). Certaines choses ne changent pas :

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Notre Mireille nationale donne toujours des concerts là-bas !
Mais il faut quand même faire 25 % de réduction pour attirer le chaland...
Je me demande même s'ils n'offraient pas un oeuf en prime.
D'autres aspects en revanche évoluent. On m'a toujours dit que les allemands étaient disciplinés, et pourtant :
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Et en plus les salles fumeurs dans les restaurants sont encore tolérées, et même, pas mal de cafés ont refusé de changer leurs habitudes, préférant risquer l'amende que de perdre des clients et une atmosphère !
J'ai remarqué également qu'on voit moins de flics dans les rues. Tout cela est-il lié ?

lundi, 12 avril 2010

SPECIALE PHOTOS

Je ne photographie quand même pas QUE des fesses de rhinocéros ! Voici quelques instantanés de mon petit passage outre-Rhin.

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 Pour que notre vieille amie Pascale puisse voir mes photos, je les ai mises en format "moyen", mais vous pouvez encore les agrandir. Il suffit de cliquer dessus. Je les ai disposées deux par ligne, car je n'aime pas les notes qui  n'en finissent pas de dérouler...

 

dimanche, 11 avril 2010

A GAME, EIN SPIEL, UN JEU

En attendant une note plus longue, des photos plus belles, et qu'ADMV soit repartie pour que je puisse à nouveau passer tout mon temps de vacances sur mon ordi, voici un jeu. Devinez ce que vous voyez sur cette photo prise pendant mes vacances en Allemagne:

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La réponse : un détail de ceci...
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vendredi, 09 avril 2010

IMPREVU MAIS GOÛTU

On n'en avait pas entendu parler. Les journaux en allemand, nonobstant le fait qu'ils nous posaient quelques difficultés de compréhension, nous avait caché cette actu qui pourtant avait son importance ! Les cheminots français étaient en grève. Arrivées à Strasbourg, nous avons comme prévu pris un café, puis ne voyant pas notre train affiché, nous sommes inquiétées. Pas une info écrite ou orale pour les allemands où les français venant d'Allemagne. Pour le savoir, il fallait arriver de la ville. Bref, notre train n'existait plus. Qu'à cela ne tienne, nous avons prolongé nos vacances par une belle balade dans la Petite France et dans et autour de la cathédrale, puis lorsque nous fûmes fatiguées, nous sommes allées lire des BD pendant presque deux heures dans la bibliothèque municipale près de la gare. Nous y avons trouvé confort et  grand choix. Le soir un train rescapé nous a ramenées à la maison ravies de notre escapade strasbourgeoise. La grève a du bon.

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Depuis ce matin, c'est grand weekend avec ADMV à la maison, et sans devoirs à faire pour moi (je garde ça pour mardi pour une fois), alors nous en profitons : balade en vélo, restau thaï, lecture relax sur la terrasse !