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jeudi, 02 juillet 2009

PREMIER ESSAI

Pascale a besoin de rire, et je suppose qu'elle n'est pas la seule. Alors j'ai suivi l'exemple d'Elise Titane, et j'ai détourné quelques affiches de films.

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Une esquisse de sourire ? Non rien ? Le cas est vraiment désespéré.

lundi, 15 juin 2009

QUAND MON INCONSCIENT DECIDE

J'entends ADMV me crier « Je suis enfermée ». Dans un demi-sommeil, je me dis « Réagis ! Ca fait déjà un moment que t'as entendu ça. Réveille-toi. Lève-toi et cours la délivrer. Rassure-la, qu'elle ne panique pas. »

Alors, de toutes mes forces, je hurle : « J'ARRIVE !!!!! »

Tout en posant précipitamment le pied sur le plancher, je tourne la tête vers ce qui bouge près de moi. C'est ADMV que j'ai réveillée brutalement.

Il est 5 h 13.

Nous avons essayé de redormir. En vain.

Le dimanche a été long, ensoleillé et rempli d'activités diverses.

Je devrais rêver plus souvent.

mercredi, 27 mai 2009

A VOS STYLOS !

incipit (n.m.)

Premiers mots d'un ouvrage, d'un livre.

Je ne sais pas si celui-ci en est un vrai. C'est Agathe qui me l'a envoyé, avec quelques autres, mais c'est mon préféré.

 « La sexualité de la concierge nous préoccupait depuis quelques mois. »

 Il y a donc deux défis en un. Le premier, me donner le titre du roman qui commence par cette phrase, si vous le connaissez. 

Le deuxième, écrire la suite. 15 à 20 lignes du roman qu'il pourrait commencer. On publie le samedi 6 juin, ici ou chez vous. Vous pouvez m'envoyer votre texte par mail.

C'est un peu long, mais avant, je ne sais pas quelle va être ma connectabilité. En effet, l'Education Nationale m'envoie de nouveau torturer des élèves. Mais cette fois, pas d'hôtel, mais des allers-retours journaliers, de mardi à vendredi !

(Robert Doisneau)

jeudi, 21 mai 2009

OU IL FALLAIT SE TROUVER LE JOUR DE LA NUIT DES MUSEES !

Le 16 mai, c’était la Nuit des Musées. Deux fois déjà, j’ai profité dans ma propre ville de cette soirée différente, où les musées s’offrent à nous à une heure inhabituelle, et où notre disponibilité est entière pour flâner dans des murs souvent anciens, admirer des œuvres d’art et échanger devant entourés de gens tout aussi disponibles et décontractés que nous.

 

Cette fois, je suis allée ailleurs. La raison ? J’avais vu que Gilbert Laffaille, (vous en ai-je déjà parlé? J ) lisait des textes de Jehan Rictus, (pseudonyme de Gabriel Randon) extraits de son œuvre poétique : Les Soliloques du Pauvre. Ces textes ont été publiés en 1896, sont écrits en vers octosyllabiques, en français parisien et argotique de l’époque. Le tout, et c’est mis en valeur par la lecture de Gilbert, est d’une incroyable actualité. C’en est étonnant et déprimant à la fois. Ce spectacle d’une heure m’a ravie.

 

Il se déroulait au Musée d’Art et d’Histoire de Saint-Denis, à deux pas du Stade de France que je n’ai pas aperçu, à mon grand soulagement. Je n’ai pas d’atomes crochus avec les stades, quels qu’ils soient. Ce musée, ancien cloître de carmélites, au contraire, vaut le détour. Sur les murs on lit encore les phrases destinées à rythmer la vie de ces prisonnières. C’est ce qu’elles étaient à mes yeux, même si certaines l’avaient choisi. Leurs cellules m’ont rappelé mon internat quand la vie me d100_6358.jpgestinait à devenir secrétaire. L’architecture de ce musée, maintenant qu’il 100_6359.jpgest ouvert à l’extérieur, est apaisante, un oasis dans la banlieue. On y voit des choses merveilleuses et variées. Je dois d’ailleurs y retourner, car je n’ai pas eu le temps de lire tous les cartels et manuscrits de la salle dédiée au fonds Paul Eluard (né à Saint Denis), ni d’aller visiter la basilique. Mais l'exposition sur Steinlen, l'illustrateur, entre autres, des Soliloques, est à ne pas manquer, et elle est temporaire.

Après le spectacle nous avons bavardé autour d’une quiche, qui ne méritait pas d’étoile, mais nous n’étions pas venus pour ça, et avons évoqué les textes lus, mais aussi l’univers de Gilbert Laffaille en tant que chanteur. Un univers tellement unique. Il me donne autant d’émotion en tant que chanteur qu’en tant que lecteur, acteur dans les deux cas.

 

A propos, ce weekend, il y a un festival à Montauban pour les veinards qui habitent par là. « Alors Chante ! » et Gilbert y chante le 24 !

Et pour info, il chantera à Arras dans un autre festival où l’on pourra écouter d’autres chanteurs de qualité comme Isabelle Mayereau,…. Et en plus, là-haut, comme vous pouvez le constater, la place n'est pas chère !

lundi, 11 mai 2009

LES DIFFERENTS THEMES ABORDES LORS DE MON SEJOUR D'ETUDE EN GB

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Les papilles gustatives.100_6214.jpg

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La mode (je n’oublie pas que j100_6223.jpge suis une sossotte).

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Y’a pas que les français et mo100_6227.jpgn blog qui se moquent des blondes.

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La tradition

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L'avant-garde

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La faune et la flore

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Les mythes

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L'architecture

 

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dimanche, 03 mai 2009

10 000 EME COMMENTAIRE !!!!!

Depuis le 7 juillet 2007* il y a eu ici, dans cette colonne centrale, 10 000 commentaires ! Et le 10 000ème à me faire l'honneur de sa sagacité, de son humour, de sa colère mais toujours judicieuse, de son approbation, de sa répartie sans égale, de son esprit fin, c'est...EMMA !!!

En son honneur, une vidéo festive, comme aimerait l'être plus souvent ce blog :

On est un tout petit peu en avance, mais ça a bien failli tomber le jour de l'anniversaire de Donald !

A vous à présent, de commenter l'évènement !

*Sur mon blog précédent (Whatamidoinghere) il y avait eu 7520 commentaires entre le 10 avril 2006 et le 6 juillet 2007 ! Vous étiez jeunes et dynamiques alors... Bon, promis, je tiens les comptes et dans 2480 commentaires, je refais une note festive pour honorer le 20 000ème com !

jeudi, 30 avril 2009

COULEURS DU MARCHE

 

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Je ne vais au marché qu'en vacances. Le reste de l'année je n'ai pas le temps. Pourtant j'apprécie l'ambiance, les couleurs, les sons. Quand je voyage, je ne rate jamais le marché local, j'y apprends plus que dans le Lonely Planet. Voici mon dernier marché, la semaine dernière. C'est le vendredi matin à Dieulefît.

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mercredi, 29 avril 2009

Le Défi du Mercredi

Mon défi a été relevé ! Et par du beau monde !!!

D'abord par deux bloggeurs (3 en tout, en fait !): 

http://bulledemouette.canalblog.com/archives/2009/04/16/1...

http://grainpost-it.hautetfort.com/archive/2009/04/24/def...

Et par deux visiteurs fidèles qui n'ont pas de blogs, mais qui ont du style :

Faites couvrir la vache par le taureau. S'il ne veut pas, faites blondir la vache. Ca excite vachement le taureau en général. Quand le veau obtenu se transforme en taureau, remuer les coucougnettes, et couper (ça ne sert à rien dans la recette).Emietter le bœuf ainsi obtenu et étaler dans une poêle au bord large que vous aurez au préalable bien huilée. 

Faites revenir les parents pour leur montrer le résultat. Pas la peine de replier vos mouchoirs, la vache en aura besoin. 

Hervé 

J'étais là sur la plage et je l'observais depuis quelques minutes. Elle était allongée sur une serviette de bain. Elle faisait couler dans ses mains un liquide doré pour huiler son ventre exposé au soleil. Une mèche s'échappait du foulard qui cachait ses cheveux. Etait-ce une couleur naturelle ou utilisait-elle ces shampooings à la camomille pour les blondir ? Etait-elle en train de manger ou cherchait-elle à nourrir les mouettes ? Je ne la voyais que de dos et elle semblait être en train d'émietter des gâteaux ou une brioche. Je m'apprêtais à faire quelques pas dans sa direction ... Je la vis alors replier sa serviette. Elle allait enfiler une chemise pour couvrir ses épaules déjà rougies et s'en aller. Je restai figé un instant. J'étais troublé, elle était tellement racée. Le contraste avec tous ces gens ordinaires étalés sur le sable était saisissant. Une petite voix dans ma tête me chuchotait : « allez, remue-toi un peu, abruti ! » Si je ne me décidais pas maintenant, la reverrais-je, comment saurais-je si elle allait revenir sur cette plage ? 

Agathe 

J'ajoute ici le texte de Pascale, parce qu'elle le vaut bien (et je ne dis pas ça parce qu'elle écrit aussi chez Loreal...)

Partir, il n’avait que ce mot à la bouche.
Et lorsqu’il est parti, elle s’est repliée sur elle-même.
Puis elle s’est éparpillée, dispersée, un peu comme si elle émiettait sa vie en lambeau.
Ça l’a vraiment remuée cette absence !
L’éloignement lui incendiait la peau comme quand on huile une poêle brûlante.
Mais c’était à lui et à lui seul de couvrir ce reportage.
L’ardent soleil de ce bout du monde blondissait sa peau et ses cheveux.
Sa photo s’étalait douloureusement à la une du National Geographic.
Partir…oui,
et puis, revenir."

NOUVELLE PARTICIPATION :

Le CPE (dont le blog est en entrée restreinte, car il est encore plus repérable que les profs, les cpe sont moins nombreux...)

je revenais de remuer mon fumier, qui, même s'il s'émiettait pour je ne sais quelles raisons, n'en finissait pas de blondir. Tranquille j'étais lorsque je me suis étalé dans la flaque d'huile de ma caisse dont le carter était percé. Tout ce dont je me souviens ensuite c'est que je me suis replié, transi de douleur et que ma tête a heurté le coin de la marche. Après c'est le trou noir jusqu'au moment où les secours sont arrivés et m'ont couvert d'un sac en plastique.
Mais ça je ne suis plus là pour vous le dire.

Si j'ai oublié quelqu'un, faites-moi parvenir le lien ou le texte et je les publierai ! Merci, et régalez-vous, sans oublier d'aller chez Zapette qui publie aussi son texte aujourd'hui. Pour finir, le mien: 

L'hiver, les corps se couvrent de laine et d'épaisseurs diverses. Il faut se remuer pour se réchauffer ! Au printemps reviennent les couleurs et les jupes plus courtes. L'été, quasi-nu, on s'étale sur les draps de bain et l'on se huile la peau qui cuit quand même parfois jusqu'à s'émietter ; certains disent « peler ». Les cheveux blondissent et au plus tard mi-septembre, peu avant l'automne, il est temps de replier les serviettes définitivement et de repartir en costard au boulot, jusqu'à l'hiver... où les corps se couvrent de laine et d'épaisseurs diverses.

Ed

dimanche, 12 avril 2009

LA CLOCHE EST PASSEE !!!

Depuis mon anniversaire à moi je devais m'en choisir un. La cloche l'a fait. Et j'ai assuré : je l'ai installé, chargé, configuré, et maintenant je vais transférer. Et ensuite je pourrai frimer avec mon mp4 et Gilbert, Alain, Michèle, Fabienne, Georges, Romain et les autres qui me chanteront dans les oreilles. Et je méritais bien ce beau cadeau, puisque c'était aussi l'anniversaire de mon blog qui a eu trois ans le 10 avril !

Tout en profitant du son je pourrai me bâfrer de chocolat et enregistrer ADMV qui me dit de douces choses. Oui, mon cadeau peut faire ça !

Je vous souhaite à tous de Joyeuses Pâques, en espérant que vous ayez trouvé, ou qu'on vous l'ait trouvée, la surprise qui vous convient ! Bisous printaniers !

   

Je devais vous montrer l'oeuf que la cloche m'a apporté, mais h&f fait rien que m'embêter et fait bugger internet si je vais chercher une photo sur mon disque dur !!! :-(

lundi, 23 mars 2009

ATTENTION, FOUILLES !

On nous a dit : il y a quatre grands domaines d'écriture.

Le Réel / La jouissance de jouer avec les mots / La fiction  / Le souvenir - l'autobiographie

A vrai dire j'aime mêler les quatre domaines. Je ne sais écrire une fiction sans y inclure du réel, ni raconter mes souvenirs sans inventer un peu, le jeu avec les mots est inconscient mais présent.

Un lieu plus ou moins lointain dans le passé. Description. Moi dans ce lieu. Comment je suis : ma position, mes sentiments. Réinventer sa mémoire. Montrer plutôt que dire. 

Le tapis était verdâtre, toujours râpé au même endroit, sur l'arête, au milieu. Il y avait bien un motif, mais il est flou. L'escalier tournait et le tapis aussi. Au fond de chaque marche, une tige métallique était censée arrêter ce tapis traître. Je ne me souviens pas exactement pourquoi, mais parfois ce garde-fou ne remplissait pas son office. Alors, le tapis, plissé et lâche, menaçait mon équilibre. Du bout de mon bras tendu, je tenais la rampe cirée. Je laissais glisser ma main gauche, mais je ne lâchais pas, jusqu'à la grosse boule en bas. Cela durait. Tout autour de moi, c'était sombre et vert foncé. Peu d'éclairage. Aucune décoration au mur, en tout cas aucune impression dans cette mémoire que je fouille aujourd'hui. Sûrement parce que mes yeux laissaient mon cerveau se débrouiller avec mes images qui fusaient en tous sens, et ne fixaient qu'une chose : mes socquettes dans mes baskets montantes en toile bleu Palladium qui attaquaient chaque marche au milieu, la semelle bien à plat, pour faire résonner chaque pas. L'escalier était un passage obligé, qu'il fallait affronter avec prudence et détermination, avant de trouver en bas, à droite la chaleur, la lumière pourtant froide du néon, le buffet aux portes qui claquaient, mais la chaleur néanmoins. Celle de la soupe aux poireaux sur la gazinière, de la radio, du sourire de maman.

Paris, le 21 mars 2009. Ed.

jeudi, 19 mars 2009

UN CIEL BLEU SANS NUAGE, DE LA COLERE MAIS AUSSI DE L'ESPOIR DANS LES YEUX

Je pense que nous étions 15 000. La police dit 10 000. Contrairement à ce que la propagande de droite s'échine à répéter, les syndicats existent, ne représent pas que les fonctionnaires, et on finira par avoir la peau de ceux qui veulent la nôtre.

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Flash info : Chuis pas dans les temps. De 16 h à 18 h je vais lire mes documents et faire un peu de ménage. Avec le soleil, la poussière saute aux yeux ! Y'a urgence !!!!!!!!!!!!!!

dimanche, 15 mars 2009

TRISTESSE NOSTALGIE

On s'était connu à l'Ecritoire, place de la Sorbonne. J'avais 22 ans, il en avait 33. Il chantait Gaby, pour pas cher dans le juke box, et cela accompagnait mon café solitaire. On s'est fréquenté 29 ans et il ne m'a jamais déçue. Ma préférée fut Joséphine. Mais son dernier cadeau restera le plus cher.

Adieu Bashung !

mardi, 10 mars 2009

ON N'EST PAS SERIEUX QUAND ON A MOINS DE DIX-SEPT ANS

Pendant les vacances deux élèves m’ont demandé que je devienne leur amie sur fesse-bouc. J’ai refusé. Et hier je leur ai dit qu’on pouvait devenir mon amie virtuelle uniquement après voir quitté le lycée et obtenu son bac, avec mention bien au moins ! Où ne va-t-on pas chercher les moyens de les motiver ?????

 

Gloussements dans la classe…

 

Ca me rappelle quand avec des copains on avait appelé chez notre prof d’allemand (après moult recherches dans l'annuaire, hésitations, on l'fait, on l'fait pas, allez, va-z-y toi ! elle reconnaitra pas ta voix), on entendait la sienne, (de voix) et on raccrochait. Je sais, c’est con. Ce n’était même pas pour lui nuire, on l’adorait. On avait 13 ans, et on ne pouvait pas voir sur l’appareil qui appelait. Heureux temps !

 

Une autre fois, on était allé voir où habitait notre prof de maths en faisant tous les étages de la tour toute neuve près du CES, d’au moins 15 étages ! On ne l’a jamais croisée, mais on a fait des tours d’ascenseurs fantastiques.

 

Et vous, vous avez aussi essayé de percer à jour le mystère de la vie privée de vos profs quand vous étiez élèves ? Ou vous leur avez fait des farces pendables ?

dimanche, 08 mars 2009

PAROLES ET MUSIQUE DU 08/03

Comme je suis une femme, j’ai fait du shopping. LOL. Comme y’a rien à ma taille, j’achète des livres et des CDs. Et comme je sais que vous en mourrez d’envie, je vous dis ce que j’en pense.

 

Et puis comme on est le 8 mars, je vais vous donner la phrase qui commence à la 3ème ligne de la 8ème page ou de la 8ème chanson. Ca va, tout le monde suit ?

 

Le Vrai est au Coffre, de Denis Lachaud. J’ai lu  J’Apprends l’Allemand  du même auteur, et j’ai beaucoup aimé. Je retente ma chance. C’est aux Editions Babel.

 

« Mais cette Véronique avait besoin de quelque chose et l’opulente chevelure de sa poupée donnait envie de glisser ses doigts parmi les boucles. » Ca se trouve page 16 en fait, qui est la 8ème page imprimée du roman. La couverture, un homme qui plonge. La phrase qui m’a donné envie de le lire : « Jouant du vrai et du faux, Denis Lachaud aborde le thème du choix identitaire dans ce qu’il peut avoir de plus ambigu. »

 

Pour ADMV, j’ai choisi Mort aux Cons, de Carl Aderhold. Des ballons de couleurs sur la couverture. Et un titre qui me plait.

 

« Je vais me coucher, dit-elle. » Suivi immédiatement d’un n° : 8. C’est pas extraordinaire cette coïncidence ? La phrase qui m’a interpellée derrière : « Mais passé les premiers meurtres d’humeur qui le débarrassent des cons de son entourage, le héros prend peu à peu conscience de l’ampleur de sa mission. » Je le lirai aussi, c’est sûr.

 

Musique, maintenant !

 

Moriarty, « Gee Whiz But This Is a Lonesome Town » Bel objet. Deux CD (je n’en ai écouté qu’un pour l’instant.), des illustrations, des graphismes originaux, pas toujours facile à lire, mais est-ce le but ? Et comme l’a dit Pascale dans la Cbox, tout est excellent. Des inspirations diverses, étonnantes : L’Irlande d’après moi, Kurt Weill d’après ADMV. On en redemande.

 

 

« He’s coming to steal and to rape and he calls it business » Cette phrase assez horrible commence juste à la fin de la troisième ligne du 8ème titre : Whiteman’s Ballad.

 

Ridan, « L’Un est l’autre. » Un autre très bel objet. Des belles photos du sud. Deux livrets, un pour les paroles, l’autre pour nous parler de Ridan, nous expliquer d’où viennent ses chansons. C’est vrai qu’il a un style, que toutes les chansons, ou beaucoup d’entre elles, se ressemblent un peu, mais ça a le mérite d’être mélodique, d’avoir des textes travaillés, et surtout d’être sincère. Une nouveauté, l’humour. Le plus gros défaut de cet album ? On a du mal à sortir le disque sans y mettre les doigts…

 

La 8ème chanson, c’est « Star Minute », et à la 3ème ligne : « On dit de toi, le garçon dans le vent tu as déjà ce petit don que les gens appellent talent. »

 

Bashung, « Bleu Pétrole », c’est du Bashung, on en est sûr, c’est du lourd, de l’excellent. Lui aussi a son style. Mais je l’aime. Alors… Un livret aussi. Des photos. Des gravures. Le tout sépia. Il y a deux reprises géniales dans ce CD : Il voyage en solitaire, de Manset et Suzanne de Leonard Cohen. Deux bijoux.

 

 

La 8ème chanson, co-crée avec Gérard Manset. « Chaque jour de ma vie Chaque semaine, chaque mois Et je mordrai sa joue Qui un jour fut à moi »

 

Je ne sais pas quand je pourrai retourner dans les magasins car nerveusement j'ai du mal à supporter l'épreuve, mais cette fois, je suis ravie de mes achats.

vendredi, 06 mars 2009

ENFOIRES ! C'EST A VOUS DE JOUER !

Il se passe des choses bizarres sur la blogosphère. Je l’avais perdue, en fait elle avait disparu de ma page i-google de mes blogs préférés je ne sais pas trop comment, mais elle m’a retrouvée, et m’a taggée ! Elle a bien fait, car un tag comme celui-là, de toutes façons, il aurait pu me venir à l’idée, là, il y a ½ heure en rentrant de mon supermarché Champion.

 

Je ne vous referai pas tout l’historique des Restos du Cœur, mais ils sont nés sur une idée du mec qui m’a fait à la fois le plus rire et le plus pleurer de ma vie. Aucun comique ne l’a remplacé, et aucun politique n’a su en faire autant pour les gens qui se retrouvent dans la merde. Et le nombre des inscrits aux Restos ne cesse de croître malheureusement.

 

Alors ça commençait aujourd’hui, mais vous pouvez encore y participer demain, avec ou sans le catalogue.

 

-Aide à la collecte alimentaire des Restos du Cœur des 6 et 7 mars dans les magasins du Carrefour, Carrefour Market et Champion, avec implication massive des salariés (sur la base du volontariat) de Danone et Carrefour pour renforcer l'action des bénévoles des Restos.

- Opération « promo-partage » dans tous les magasins
Carrefour ,Carrefour Market et Champion : pour 5 produits Danone achetés (en promotion sur prospectus, du 25 février au 8 mars 2009 chez Champion et du 17 au 25 mars 2009 chez Carrefour) = 1 repas offert aux Restos du Cœur. Grâce à cette opération, Danone et Carrefour ont l'objectif ambitieux d'offrir 1 million de repas aux Restos

 

Et si vous êtes encore en vacances, coincés dans les bouchons, et que vous ne lisiez cette note que plus tard, vous pouvez évidemment faire des dons. Des Restos du Cœur, y’en a partout. Voici leur adresse !

 

http://www.restosducoeur.org/index.php

Je ne tagge personne en particulier, mais faites suivre par mail à tous vos potes !

"Quand on a la chance d'avoir été pauvre et de gagner beaucoup d'argent après, on n'est pas emmerdé pour le dépenser." Coluche.

lundi, 23 février 2009

CHASSE AUX TRESORS POUR NOTRE PALAIS ET NOTRE PALAIS !

Dimanche de transports. Pas amoureux, mais de meubles et bien d’autres merveilles. J’ai commencé par vider un classeur à dossiers verticaux, remontage à l’étage pour ADMV. Puis repas copieux et copieusement arrosé avec une amie qui vide la maison de ses parents… Il faut bien un arrosage de qualité et des fous rires entre vieux copains pour surmonter ces moments-là. L’après-midi, le cœur et l’estomac un peu lourds, on est tous partis vers la maison. Vide, ou presque. Nous sommes descendus dans la cave où je n’avais dû pénétrer qu’une fois en presque 40 ans. Armés de chiffons doux, mais le plumeau aurait été plus adéquat, nous avons remué la poussière, le plus délicatement possible, pour ne pas détruire les étiquettes. Et nous avons eu la totale liberté de prendre tout ce que nous voulions. Etant averties que la qualité du contenu n’était pas garantie ! Des noms inconnus, d’autre un peu plus, des années qui nous ont plongées dans la nostalgie, nous avons rapporté au moins une cinquantaine.

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Je ne vous garantis pas non plus la qualité du contenu de mon blog dans les semaines à venir, car il va falloir les boire vite pour qu’elles ne se perdent pas dans ma cave qui n’a pas la température requise… Mais des noms comme « La Rose Pauillac » ou « Vosne Romanée » nous font rêver ! Surtout associés à des années comme 1971 ou 1969. Nous prenons le risque !

 

Ah ! J’allais oublier, les bouteilles, ce n’était pas prévu. En premier lieu, j’ai récupéré un beau meuble classeur (dossiers rangés à l’horizontal) dans lequel je vais pouvoir ranger tous mes papiers de l’educnat.

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dimanche, 25 janvier 2009

BEN NON, IL N'IRA PLUS.

S'éclater au Sénégal avec sa copine de ch'val !

Putain à 50 ans, on devient vraiment nostalgique... Les boums, les retours de tournois de basket, les éclatades entre potes, c'est tout ça qui revient alors que ce mec casse sa pipe à 61 ans. On n'a pas idée !

dimanche, 11 janvier 2009

Ca nous rajeunit pas ma bonne dame !

Note dédiée à emy, qui vient de réaliser pour la première fois que pour certains élèves, on est vieilles, pour d'autres, jeunes, et pour le reste, on n'a pas d'âge.

 

V. est en troisième. Bavarde les trois quarts du temps, donne l’impression d’être montée sur ressort, à une gouaille des banlieues, bien qu’elle ait grandi dans une zone pavillonnaire productrice de familles endettées à la campagne. Comme elle ne fait pas grand-chose, mais qu’elle ne semble pas idiote, elle redouble sa troisième. Pour info, un de ses frères est en SES et l’autre serait en CPPN si ça existait encore. En seconde, pas de bol pour elle, dans le lycée le plus huppé du centre ville, elle a un accident de mobylette. Renversée alors qu’elle n’y était pour rien sur la nationale. Du coup elle rate le deuxième et une partie du troisième trimestre. Mais, le conseil de classe ne fait pas de sentiment. Déjà un an de retard : réorientation et redoublement pour un... bac G. Pour une gosse qui rêvait d’être prof d’allemand, c’est la tuile. Elle se retrouve à faire des matières qui ne l’intéressent pas, dans un lycée où l’ambiance est plus tendue. Trois mois avant le bac, elle plaque tout. Elle bosse dans une grande surface où elle remplit les rayons. Un jour, elle a 21 ou 22 ans et un chef lui propose de passer un examen qui lui permettrait une promotion, et lui dit qu’elle n’est pas bête et devrait retenter le bac. Elle se laisse convaincre. Les boîtes de conserve, ça la branche pas plus que ça.

 

S. vient du même village que V. Elles sont bien potes. Elle bavarde aussi, mais elle n’a pas de soucis majeurs à la maison. Elle ne vient pas d’une famille intello, mais on lui fout la paix. Au collège, elle est rapide, comprend bien en cours, est dynamique, passionnée parfois. Elle réussit ensuite bien au lycée. Passe un bac qui est peut-être bien un bac B. Elle poursuit des études de droit.

 

Un jour, S a 22 ans, V. 23, et elles se pointent sans prévenir à la maison, avec une bouteille de champagne. S. arrose sa maîtrise de droit, et V son BAC !!! Pour l’une ce sera l’IUFM, pour l’autre, la décision ferme et définitive de faire une licence d’anglais. Mais d’abord, il faut assurer de ce côté-là. Elle part en Angleterre, comme au-pair, revient faire ses études. Je lui rends visite à Londres, puis lui prête des bouquins, car elle a peu de fric pour en acheter. Ses parents n’ont pas un rond. Elle vit avec un copain, puis le quitte. Repart en Angleterre. Et obtient sa licence ! S. , elle, est devenue prof des écoles. Je la croise aux manifs.

 

Pendant les vacances de noël, elles sont venues me voir, quasi sans prévenir. Avec leurs cinq fistons à elles deux. Et V. a dit à son gamin : « Tu vois, c’est Ed. C’est grâce à elle que je suis prof d’anglais ». Elle vit dans une belle région, bosse dans une école bilingue ; son gamin de sept ans parle déjà bien anglais. Elle est belle, classe, a l’air heureuse. Parle avec amour de sa famille, qui galère un peu plus côté fric, mais s’en sort.  S. vit à la campagne, a trois enfants, semble adorer son boulot, et se bat pour qu’on ne détruise pas l’école de la République qui leur a permis de réussir à elle et sa copine.

 

J’avais promis de raconter un autre moment qui me fait ne pas regretter d’avoir choisi le métier de prof. Cette visite en a été un, même si le fait d’entendre dans la conversation qu’elles ont aujourd’hui 38 et 39 ans m’a légèrement « émue ».

jeudi, 08 janvier 2009

Pourquoi faut-il toujours qu'on parle d'argent quand on parle d'art ?

Cet après-midi, j'ai vu une expo dans le cadre de ma formation continue. Et j'ai entendu une phrase qui m'a plu. "L'art est ce qui rend la vie plus intéressante que l'art." C'est Robert Filliou qui a dit cela. Un artiste dont je n'ai pas vu beaucoup d'oeuvres, mais dont l'humour et le refus de se prendre au sérieux me plaisent. En lisant les "cartels" de cette expo, j'ai trouvé que beaucoup de ces artistes contemporains étaient morts jeunes. Les autres heureusement étaient beaucoup trop jeunes pour être morts. ça me fait quand même drôle de voir des oeuvres d'artistes nés en 1981. C'était hier !

En sortant de l'expo, j'ai cru que j'allais rester coincée dans le parking. La machine me réclamait 4 euros. Elle disait accepter les cartes de crédit, mais n'en acceptait aucune. Au départ, j'ai voulu appeler pour expliquer mon problème. Un jour la borne refusait mon ticket, je ne pouvais pas payer, et à distance, le mec avait ouvert la barrière. Mais là, pas de touche "appel"! Si je ne payais pas, je dormais là... Je suis allée tirer de l'argent dans une banque classieuse au coin de la rue, sûrement rénovée avant le crach. J'ai voulu aller à l'intérieur pour demander de la monnaie, mais après avoir franchi un sas qui m'a rappelé l'hopital psy où je suis allée récemment (rendre visite à quelqu'un, mais comme dirait l'autre "les gens normaux n'ont rien d'exceptionnel"), on m'a dit que la caisse était fermée l'après-midi et qu'on ne pouvait pas me donner de pièces. C'est comme ça à ma banque aussi maintenant, ils font semblant d'ouvrir après midi, mais ils n'ont pas de sous ! C'est juste pour faire joli, je ne sais pas. Enfin, ça doit être pour pousser les braqueurs à être matinaux. Bref, je n'ai pas eu de sous et ai dû repartir dans l'autre sens, et dans le sas, c'était encore plus compliqué les boutons dans ce sens là ! Moi, je vous le dis, les braqueurs, en plus d'être matinaux, ils ont intérêt à être zen, et pas claustrophobes. Avec mes deux billets de dix euros que la machine ne prenait pas évidemment, je suis allée à la boulangerie acheter un croissant ordinaire. 90 centimes quand même ! Ils ne se mouchent pas du pied dans le centre ville près des musées ... Je me demande s'il n'y aurait pas un deal de passé entre la mairie et cette boulangère. Car apparemment d'autres personnes ont fait comme moi.

 

A votre avis, cet objet est-il une oeuvre d'art vue aujourd'hui, ou une borne de péage de parking ?

jeudi, 01 janvier 2009

Archives...

Dans mes boîtes à photos, j'ai trouvé celle-ci. "Blog", ça devait paraître anodin comme mot dans la bouche d'un bébé... Les parents de Ed ne se sont pas inquiétés.

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Bienvenue donc sur mon blog de bonne année, meilleurs voeux à tous !

dimanche, 23 novembre 2008

C'est aux antipodes de ce que je suis...

Mais ça m'impressionne !

CLIQUEZ SUR LA PHOTO !

mercredi, 05 novembre 2008

Et ADMV qu'est même pas là pour qu'on arrose ça !

mardi, 28 octobre 2008

Le blog polyvalent d'Ed devient un photoblog

Mes premières photos seront pour vous prouver que mon Mimi n'est pas hideux.

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La troisième, pour dire que même si je cause d'ADMV sur ce blog, je la traite toujours avec grand respect, et des élèves d'une grande école parisienne, que je visitais il y a quelques années avec mes élèves, sont bien d'accord avec moi.

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mercredi, 15 octobre 2008

Ah, c'était l'bon temps !

Je me souviens que quand j'étais petite, à l'école primaire, les punitions ne brillaient pas par le respect de l'individu. Si nous avions été trop bruyantes (oui, il n'y avait que des filles !), la maîtresse nous faisaient nous tenir debout les mains sur la tête, et ça pouvait durer longtemps ! Si on avait fait une bêtise individuellement, on était envoyé au coin, les mains sur la tête également si ce n'était pas la première fois. Bavarde et étourdie comme j'étais, je peux vous dire que je connaissais par coeur la moindre éraflure de peinture du coin à droite en entrant dans la classe. Pour les fautes, les erreurs de calcul, ou autre bévue, pendant que la maîtresse circulait entre les rangées de tables, il y avait les coups de règles sur les doigts, tous les bouts de doigts rassemblés verticalement sous la règle. Et pas question de retirer la main au dernier moment, ou c'était deux coups ! Vous vous doutez bien que j'ai essayé. Mais le pire, et je n'ai jamais eu à le subir, car j'avais la chance d'être une bonne élève en primaire, c'était les tours de cour avec le cahier agraphé au dos, ouvert à la page "ratée", barrée rageusement en rouge... Je me suis toujours dit que cela devait être horrible. Il y avait toujours des pestes pour aller narguer celle qui tournait, et qui pour ne rien voir, pleurait. Eh bien, cette punition, que j'ai vu appliquer encore en 1968/69 (!) (après, je ne sais pas, j'étais partie au CES), les américains l'appliquent encore. Mais pas à l'école ! http://fr.news.yahoo.com/55/20081015/tod-un-homme-condamn...

Illustration extraite d'un livre de Thierry Lenain, et reprise par la LDH de Toulouse.

mardi, 07 octobre 2008

Fausse bique ou faux bique ?

Hier tout en s’occupant des lessives au sous-sol, ADMV a entendu comme un bruit. Des couinements légers, vers le mur du jardin. Faut dire qu’à cet endroit il y a un vieux bac à laver en ciment avec en-dessous et à côté des « regards » où l’eau reste stagnante.

 

 Comme elle n’était pas sûre d’identifier le bruit, mais qu’il y a deux ou trois ans on avait retrouvé un cadavre qu’elle avait dû aller jeter au fond du jardin dans le compost, elle a cherché sur internet : « Ecouter le cri du rat. » Eh bien elle a tout de suite trouvé un site où l’on peut écouter tous les cris des animaux possibles. Et j’ai eu droit au cri du rat, comme si j’y étais. Ceux qui me suivent un peu régulièrement savent que cet animal est ma phobie. Ben oui, ça ne se commande pas.

 

 ADMV est un ange. Elle a remonté tout le linge, même pas sec pour que je n’aie pas à descendre. Et tant pis s’il fait beau cette semaine, je me passerai de mon vélo. Mais quand même, n’écoutant que mon courage, et ADMV ayant pris son train comme tous les mardis, je suis allée acheter une arme fatale, et ma cousine vient de venir déposer des petits sachets près des murs et de l’humidité. Depuis mon achat j’avais posé la boîte face contre le mur, supportant de voir le mot, mais pas la photo. Ont-ils vraiment besoin de mettre une énorme photo atroce sur le devant de leur produit ?

Même comme ça, j'ai du mal à les supporter :

Et au mois de juin je suis allée à une fête où un bébé avait un "ratatouille" en peluche, ça m'a donné la nausée !

 

Je ne sais pas si vous avez des phobies, mais la mienne est vraiment insurmontable.