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lundi, 07 juin 2010

LES JEUX CA ANIME !

Il y a déjà quelques temps Pascale avait proposé qu'on fasse une note où l'on donnerait ses dix films d'animation préférés, en expliquant pourquoi chacun d'entre eux était sélectionné. J'avais fait une liste, et puis je l'ai perdue ! Je viens d'en refaire une, mais c'est extrêmement difficile. Je suis tellement fan de cinéma d'animation, qu'il pourrait y en avoir 20 ou cent.

Je vous offre quand même mon top ten, mais à vous de deviner les titres. Dépêchez-vous si Pascale arrive, elle va rafler la mise encore une fois ! Je ne sais pas encore ce qu'il y a à gagner, mais une surprise, promis.

Quand tout sera trouvé, j'expliquerai pourquoi je les ai choisis, ces films.

Une seule réponse à chaque fois. Vous n'avez le droit de rejouer que quand j'ai validé ou invalidé votre réponse ! La personne qui aura le plus de points à la fin gagnera une surprise.

Mercredi, jour des enfants, alors je fais preuve d'une grande indulgence et vous offre des indices !

Il reste la question 1 et la question 4

Si Max et Pascale trouvent chacun un film, je vais devoir trouver deux cadeaux !

Samedi matin : un indice de plus, et là vous n'avez plus d'excuse !!!!

GRANDE GAGNANTE : PASCALE

AVEC 4 BONNES REPONSES !!!

- 1 -

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L'Age de Glace, de Chris Wedge, 2002
Trouvé par Virgibri... Enfin!
 

 
- 2 -
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La Belle et la Bête des Studios Disney, 1991
Trouvé par Max.
- 3 -
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Le Bonhomme de Neige de Dianne Jackson, 1982, d'après une BD superbe de Raymond Briggs.
Trouvé par Max qui a maintenant 3 points !
 
- 4 -
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Dragons de Sanders, Deblois et Deblois en mars 2010
Trouvé par Pascale, qui a pourtant laissé sa chance à Max, mais il v'nait plus...
- 5 -
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Persepolis de Marjane Satrapi, 2007.
Encore trouvé par Max ! Il le veut son cadeau...
- 6 -
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Pinocchio, des studios Disney, 1940 (je l'ai pas vu à sa sortie !)
trouvé par Pascale qu'est trop forte !
- 7 - 
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Qui Veut La Peau de Roger Rabbit, Robert Zemeckis, 1988
trouvé (si on veut !) par Sploutch...
- 8 -
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Toy Story, des Studios Pixar, 1995
trouvé par Emy, qui rêve d'avoir les mêmes cheveux que la petite soeur de Sid.
 
- 9 -
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Les Triplettes de Belleville de Sylvain Chomet, 2003
Trouvé par Pascale qui a elle aussi 3 points !
 
- 10 -
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Valse avec Bachir, Ari Folman, 2008
trouvé par Pascale, qui connait tout le film par coeur !
 
 

samedi, 05 juin 2010

UN JOYEUX NON ANNIVERSAIRE !

Aujourd'hui c'est l'anniversaire d'ADMV ! Et pour moi, eh bien, c'est mon non anniversaire... Ce qui veut dire ? que je me suis réveillée avec une angine, une vraie. Et qu'après avoir réussi à avaler une ampoule de cuivre qui agit d'abord sous la langue, du paracétamol et une tisane, j'ai insensibilisé quelque peu ma gorge avec un spray et je suis partie en ville avec la vedette du jour, comme prévu, et elle a eu un moment libre-service chez Nico, car elle aime le bon vin et le champagne. Nous avons aussi pris un petit repas sympa en terrasse, et là, pour me rappeler que c'était mon non anniversaire, j'ai été piquée au menton par une saleté de bestiole, et j'ai encore mal (il est 17 h et quelques !) et le menton dans un état peu esthétique. J'ai dormi trois heures cet après-midi, mais au réveil, ma gorge est toujours dans le même état ! Quelqu'un connait un remède de grand-mère ? Pas envie de voir mon toubib.

J'ai entendu une phrase qui semblait essentielle, puisque la petite fille l'a répétée trois fois avec véhémence à sa maman :"Les pieds nus, si ! hein !". Je me demande quelle était le sujet de conversation?

samedi, 15 mai 2010

"On doit en manger, parce qu'ils nous en vendent énormément..."

"... de la lessive !" dixit Coluche à la fin des années 70. Mais déjà un peu plus tôt, on trouvait ça:

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Non, on ne bradait pas le Pacs, et la com n'était pas meilleure qu'aujourd'hui. Valable un mois, mais pas de date. Le fournisseur ne risquait pas de la faire la réduc !
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Déjà à l'époque, seule la femme s'occupait de la lessive, et était tellement écervelée qu'elle risquait de jeter 50 francs par les fenêtres. Je dis déjà, car en 1979, j'ai écrit au beurre Charente Poitou pour leur signaler que leur pub était machiste ne s'adressant qu'à "madame" pour parler de cuisine !
Ce document est issu des fouilles entreprises ce jour dans ma maison pour une brocante demain. Mais cette carte, je ne la vends pas, non mais !

jeudi, 06 mai 2010

ENCORE UNE NOUVELLE TRISTE QUI NE VA FAIRE RIRE QUE MOI

Ca a dû lui faire drôle. A l’arbitre qui brandissait son carton jaune pour « cinéma avéré » et qui en s’approchant du joueur de foot a réalisé qu’il était mort d’une crise cardiaque !

 

Je fais dans l'humour un peu noir, mais bon, je vous raconterai pas, mais je vais avoir une dure journée.

lundi, 26 avril 2010

J'OSCILLE

 

Les plus.

 

Les fleurs côté jardin. Le film Dragons au ciné et Louise Michel en DVD. Le soleil qui n’oublie pas le nord. Une belle voiture qui sera livrée vendredi. ADMV qui a eu un weekend de 4 jours au lieu de 3. Les sushis qu’on s’est fait livrer et qui étaient frais et délicieux. L’idée agréable que je me fais des livres que j’ai à lire. Le restau sur une péniche, dans une ambiance sympa. Zapette et Virgibri qui ont la frite. Le fait que vous soyer passés ce jour.

 

Les moins.

 

J’ai travaillé toute la matinée samedi pour un truc de l’éducnat qui ne servait pas à grand-chose. J’ai deux paquets de copies, pas encore en retard. Bientôt trois. Le temps qui me manque pour lire. Mes terminales font si peu d’efforts pour la correction du bac blanc que je me demande s’ils vont pouvoir faire mieux au vrai. Un de mes élèves vit un truc très dur, et j’espère qu'on va être à la hauteur pour le soutenir.

 

 

lundi, 12 avril 2010

SPECIALE PHOTOS

Je ne photographie quand même pas QUE des fesses de rhinocéros ! Voici quelques instantanés de mon petit passage outre-Rhin.

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 Pour que notre vieille amie Pascale puisse voir mes photos, je les ai mises en format "moyen", mais vous pouvez encore les agrandir. Il suffit de cliquer dessus. Je les ai disposées deux par ligne, car je n'aime pas les notes qui  n'en finissent pas de dérouler...

 

mercredi, 31 mars 2010

JE REVE DE VACANCES

Samedi, je pars. Je vais voir des amis que je ne vois pas souvent, découvrir une ville d'Allemagne que je ne connais pas, Stuttgart, car le chômage a obligé mes amis à migrer. Evidemment je suis ravie, mais aussi un peu dépassée par le boulot en retard pour le lycée, les bagages, achats de cadeaux, lessives, et autres réjouissances pré-départ. En plus la météo me fait empaqueter des fringues d'hiver... Ils annoncent de la neige !

Alors je rêve. Aux vacances d'été. ADMV m'a donné la première idée qui lui passait par la tête. Un coin sauvage, perdu en Angleterre. Alors ça donnera quelque chose comme ça.

 

Enfin, j'espère.

mercredi, 17 mars 2010

I USED TO READ, I READ, I WILL READ

Dana m'a taggée.

Petite j’étais fan de Caroline, Martine, et le jeudi, le journal de Mickey arrivait avec Tic et Tac et Pim Pam Poum, mes préférés. Ce fut aussi Fripounet, abonnement offert par ma grand-mère catho, poursuivi par J2 magazine, puis Christiane. Elle ne s’est jamais découragée dans son entreprise d’évangélisation. Pourtant… L’enfance, c’est aussi la bibliothèque rose Milimalimalou la toute petite fille ; le club des cinq, le clan des 7, Fantômette…, puis la promotion en bibliothèque verte ! Alice, les 6 compagnons. Parallèlement la Comtesse de Ségur est venue m’inonder de bons sentiments et de notions telles que la pénitence et le pardon, que je ne connaissais pas à la maison, et plus je ressentais la désapprobation de mon père, plus je lisais ces romans, dans une collection ancienne, reliée rouge, quasiment sans illustrations. Mon préféré ? Un bon petit diable, même si Les petites filles modèles, premier vrai beau livre reçu à 7 ans, est resté un must. A 10 ans j’ai découvert Astérix, en même temps que mes parents, et par la même occasion, les BD. Les titres cités ci-dessus auraient pu faire peur, mais cela ne m’a pas empêchée de lire entre 14 et 18 ans, l’Ecume des Jours, l’Arrache-cœur, Les Fleurs Bleues, la poésie de Prévert, d’Eluard, Aragon, Rimbaud. En anglais, je ne lisais que Peanuts de Schulz. Je ne parle que de ce que je lisais pour le plaisir, pas de ce que le lycée m’imposait. Oui, je n’aimais pas la littérature en cours, moi qui adorais lire !!! Ensuite il y eut ma période Editions des Femmes. J’ai lu des merveilles de lucidité et de sens critique qui sont toujours malheureusement d’actualité aujourd’hui. A la fin de mes études où la fac n’avait toujours pas réussi à me donner des cours de littérature qui me plaisent (à la Sorbonne, les profs de littérature étaient si vieux à l’époque, que je croyais toujours les voir s’effondrer sur leurs micros), j’ai découvert la littérature contemporaine anglophone. Pendant encore quelques années, la lecture était une véritable partie de moi. Jusqu’à une espèce de dépression qui n’a pas dit son nom, et qui m’a fait devenir insomniaque, accro aux mots croisés, puis aux sudokus et autres jeux sur ordis. Je vais mieux, je dors plus que je ne joue à des jeux stériles, mais la lecture de romans est revenue comme une activité de vacances. Entre-temps, j’ai trop de boulot, et peu d’occasions où je puisse me plonger dans un livre pendant des heures. J’associe donc « lecture » à « plage », ou « train », ou « chaise longue sur terrasse », les jours où aucun coup de fil, aucune correction urgente, préparation de cours en attente, ne viendra interrompre mon plaisir. J’aime avoir quelqu’un qui fasse la même chose à côté de moi. Faire une pause de deux minutes le temps d’aller chercher une boisson fraîche, et repartir dans l’autre univers, échanger une impression. Mes auteurs d’adulte, je ne peux pas les citer ici. Si j’en dis un ou deux, cela semblera réducteur, si je les dis tous… eh bien, c’est impossible. Je continuerai donc à parler d’eux au fil de mes notes sur ce blog. En dehors de ces moments privilégiés des vacances où je peux dévorer les livres achetés depuis des mois, je lis des journaux, des magazines, des nouvelles parfois quand même, des BD, des extraits de livres pour mes cours, beaucoup d’articles sur internet, et vos blogs. L’avenir, je ne le vois pas radieux tant que je travaillerai. Mais ensuite, (à 65 ans, si mes comptes sont exacts) j’aurai le droit d’avoir le temps. Et comme il me semble que je ne serai peut-être plus aussi encline à la bougeotte, je rêve de pouvoir rester chez moi, confortable, et lire tout ce que je n’aurai pas encore lu. Chez moi, ici, ou en Angleterre, puisque mon rêve est d’y vivre à mi-temps pour mes vieux jours, et que c’est un pays où l’on ne manque pas de livres et où l’on trouve des salons de thé dans les librairies.

 

 

Voilà Dana, j’espère que j’ai répondu à ton tag. Je me sentais prête à partir dans d’autres directions, mais j’aurais lassé mes lecteurs.

 

A mon tour de tagger :  Lire, hier, aujourd’hui, demain. Où, comment ?

Je désigne Virgibri, Zapette, Catherine, Emma, Agathe et Imposture (ces deux dernières pourront écrire leur texte en commentaire ou me l’e-mailer. Imposture, demande mon adresse à zabugonde !)

 

lundi, 15 mars 2010

SUFFIT PAS DE VOULOIR

Les consignes, c'était :

http://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/archive/2010/...

Pour répondre au défi de zapette, voici mon texte. Je suis en retard, mais cela n'a rien à voir avec la superstition. Le 13, c'était une bonne date. Mais y a eu d'autres impondérables. Du boulot, un ciné, les Desperate Housewives, des festivités obligatoires dans mon lycée, des copains pour un thé...

Archibald était né par un jour ensoleillé. La première chose qu’il avait vue, c’était le sourire de ses parents, et s’il était sorti un cri de sa gorge, c’était de joie. Il ne comprit pas tout de suite ce qui lui arrivait. Mais quelques années plus tard, après qu’il ait échappé aux pires tourments de l’enfance : mauvaises notes, varicelle, mauvais traitements de la part de ses camarades de classe, club de foot, Archibald dut se rendre à l’évidence : il était heureux. Jusqu’à ses 18 ans, cela ne le gêna pas trop. Il se disait que sa crise d’adolescence finirait par arriver, avec des conflits envenimés. Mais non. Une fois majeur, il décida de partir de chez lui, et de vivre une vie bohême où tout ne serait pas si facile. Mais un jour qu’il était allé faire ses courses avec le fruit de la manche du dimanche matin (il était évidemment doué pour la guitare et le chant), il gagna une maison ! Pour ne pas s’habituer à ce bonheur non mérité, il la donna à Emmaüs. Mais ceux-ci l’accueillirent et il s’y sentit bien. Alors il se mit à sortir le soir sans son beau pull jacquard tricoté par sa maman. Connaître les affres d’une maladie (non mortelle, mais quand même une petite maladie où l’on souffre un peu) était une chose à laquelle il rêvait depuis l’enfance. Mais aucun coup de froid ne voulut de lui, ni un seul virus. Il essaya tout pour ressentir tristesse, dégoût ou colère. Le jour où il zappa pour regarder de la téléréalité, les techniciens étaient en grève... Une chineuse venue chez Emmaüs tomba amoureuse de lui. Il lui posa un lapin. Mais une autre arriva, encore plus belle et plus amoureuse. Las de ce bonheur qui n’en finissait pas, il se retrouva un jour sur un quai de la Seine, tâchant avec passion de faire naître en lui la plus grande mélancolie qu’il pouvait imaginer. Il y arrivait presque. Là, derrière le sternum, il commençait, lui semblait-il, à ressentir ce qu’il avait lu dans les livres. Le Spleen, les souffrances du jeune Werther, les malheurs de Sophie… Il se sentait presque prêt à sauter. Le froid l’engloutirait et les journaux feraient paraître un entrefilet parlant de son « malheur ». Enfin. Il serait comme tout le monde. Alors qu’il s’approchait de l’eau, une bourrasque plaqua contre lui un gratuit qui traînait par là. Sur la première page, il lut : « La gauche au sommet, désaveu pour la majorité. » Il repartit vers son banc, lut les détails, et sourit. C’était encore raté !

 

Pour le relire et lire les autres versions du même défi, allez de ce pas là :

http://defi-ecriture.tinad.fr/

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dimanche, 14 mars 2010

QUE CE SOIT DIMANCHE OU LUNDI, IL ME REND TOUJOURS NOSTALGIQUE

Je me souviens encore de ce 45 tours que je mettais en boucle sur mon tourne-disque à 12 ans, puis des 33 tours que j'achetais à chaque fête des mères. Ma mère aimait ses textes et me les a fait aimer. Ma mère le trouvait beau, et elle n'avait pas tort. Vendredi soir j'ai encore chanté à tue-tête La Montagne dans ma voiture, parce que Radio Nostalgie nous le passait régulièrement sans attendre qu'il soit mort. Jean Ferrat était un chanteur engagé, et avait toutes les raisons de l'être. Il s'est sûrement parfois trompé, mais était avant tout engagé humainement.

mercredi, 10 mars 2010

BIP BIP EST TOUT SEUL

C'était un de mes premiers copains de blog. On était sur la même longueur d'ondes. Il est encore passé il n'y a pas si longtemps. Vil Coyote va manquer ici. Mais les jours de notes de révolte, il y aura toujours un peu de Vil Coyote.

samedi, 06 mars 2010

ET IL Y A ENCORE PLUS LONGTEMPS

Et il y a 34 ans, je noyais mes tristesses et mon spleen dans ses chansons.

 

Aujourd'hui, ce serait plutôt :

 

Malgré tout, pour le vélo, c'est peut-être foutu....

vendredi, 05 mars 2010

CA SE REPETE MAIS ON NE S'EN LASSE PAS

Un bon weekend commence par sortir du lycée alors qu'il y a du soleil. Retrouver ADMV qui est déjà à la maison. C'est exceptionnel et ça se déguste et ça s'arrosera au champagne. Puis décider de ce qu'on fera ce soir. Simplissime. Avec le champagne on démarrera le visionnement de la saison 4 des Desperate Housewives. Demain si le soleil persiste on ira faire un tour de vélo le long du canal. C'est sympa, cool et plat. Evidemment il y aura bien du boulot, demain et/ou après-demain, mais j'aurai sûrement le temps de lire un peu The Fourth Hand d'Irving, commencé pendant les vacances et laissé en plan à cause de mon rythme de ouf de la rentrée. Un ciné, ça me dirait bien. Le dernier Polanski ? J'en ai aperçu du bien. "Aperçu, parce que je n'approfondis jamais la lecture des critiques de films avant de les voir. Et puis je me lancerais volontiers dans la réalisation d'un petit repas deliciously experimental dimanche.

Le vendredi soir est le meilleur moment. Tout est possible. J'aime beaucoup moins le dimanche soir. Je ne peux m'empêcher de ressentir le syndrôme du pré-lundi. Je sais que comme toutes les semaines je dormirai mal.

A 26 ans, je rêvais de ça:

Aujourd'hui, je me contente de ce que je vous décris au-dessus. Le Colisée, ça sera pendant de plus longues vacances.

 

lundi, 01 mars 2010

A PROPOS DE CELLES QUE CERTAINS HAÏSSENT

On arrive un jour dans une famille (les moyens sont variés aujourd'hui.) où tout le monde nous malaxe, nous modèle et nous propulse dans une vie où l'on se débrouillera plus ou moins bien, avec leurs valeurs, leurs critères et leur amour parfois. Au cours de cette vie, d'autres familles deviennent les nôtres. Celles des gens que nous choisissons pour construire tout ou partie du parcours. De nos jours il y a souvent des étapes, des cassures et éventuellement des sprints pour ne pas se perdre. Les gens  que l'on a aimés disparaissent parfois totalement de notre décor, et d'autres restent, autrement. Mais leurs familles, à ce que je peux observer autour de moi, n'ont pas toujours cette envie ou ce besoin de garder les liens. Cela dépend évidemment de ce qu'on a vécu ensemble, du temps qu'a duré notre passage, de l'âge aussi de ces gens qui comptaient pour nous parce qu'on aimait leurs fils, soeur, cousine ou père... Il y a deux jeunes ados aujourd'hui jeunes adultes qui manqueront toujours plus à mon présent qu'ils ne peuvent l'imaginer. Et puis il y a une famille qui m'avait adoptée sans que ma relation avec leur soeur, cousine, fille et nièce n'ait été à l'époque énoncée. Bien qu'à 600 kilomètres de chez moi, ils ne m'ont jamais laissée les oublier. Et cette semaine j'étais heureuse d'accueilir chez moi la grande soeur. Ensemble on est allé voir celle qui nous a fait nous connaitre, prendre des risques sur scène. Nous étions aussi émues l'une que l'autre. Je lui ai montré mon univers de maintenant. Les années et un autre amour n'ont pas modifié les complicités, les fous rires et les envies de partager. C'est chouette. Je l'ai sentie heureuse de me voir heureuse, dans une autre maison, avec une autre.

 

lundi, 22 février 2010

JE SUIS ALLEE VOIR FANTASTIC MR FOX

Et j'ai bien aimé. D'abord je suis souvent fan des films d'animation. Ca reste un vieux rêve non réalisé de participer à la création d'un film d'animation. Et puis je me suis dit que c'était chouette, que comme zapette elle l'avait vu aussi, le jour où Pascale ferait un quiz où y'aurait Shrek et Mr Fox, zapette, elle aurait deux fois plus de chances de gagner.

Esthétiquement c'est réussi. C'est librement adapté d'un livre de Roald Dahl que je n'ai pas lu, mais cela m'a rappelé les personnages de The Wind in the Willows. C'est plein d'animaux qui parlent (ça donnerait des idées pour notre dernier défi d'écriture) et qui disent des choses pas inintéressantes. C'est une jolie critique de notre société, de l'éducation, de la pression sociale pour être comme tout le monde, de ce que les parents attendent de leurs enfants, etc. Mais bien que ce soit un film d'animation, les personnages ne se relèvent pas de tout, et comme les humains de notre monde à nous, doivent parfois vivre avec des prothèses. Ce sont des marionnettes, pas des toons ! Mais ils sont très beaux. On croit à leurs regards, à leurs sourires et leurs larmes.

Le seul bémol, c'est que je l'ai vu en VF. D'habitude pour les films d'animation, ça ne me gêne pas, et la traduction est plutôt bien faite. Là, il manquait toujours un petit quelque chose. J'ai reconnu la voix d'Isabelle Huppert, n'ai su qu'à la toute fin du générique que c'était Amalric qui faisait la voix de Mr Fox, et ne connaissais pas du tout les autres. Je salue leur boulot comme honnête et sérieux, mais à lire et entendre certaines critiques (et particulièrement dans le Masque et la Plume hier où ce film a été conseillé) je me suis dit que la traduction de toutes les chansons avait déjà dû faire perdre beaucoup de poésie et d'humour, et j'ai hâte de m'acheter le DVD pour goûter les dialogues d'origine. Et Clooney en personnage principal, désolée, mais.... What else ?

samedi, 20 février 2010

LA PROF VA ETRE CONTENTE...

Pour une fois, je suis en avance sur les délais, et je n'écris pas mon défi en dix minutes avant l'heure fatidique de la remise des copies ! Ce texte vous pourrez donc le lire aussi , suivi je pense des propositions de mes complices de défi. Si vous souhaitez participer aussi, je vous rappelle les consignes ici.

Ca pue ici, vous ne pouvez même pas imaginer ! A attendre comme ça sur le trottoir, à deux pas des voitures qui passent sans arrêt. Me faire ça à mon âge... Comme si c'était vraiment utile que je sois là, harnaché comme pour partir rendre visite à un campement berbère, alors qu'au mieux je vais me dégourdir les jambes sur huit-cent mètres au milieu des poteries, des vendeurs hystériques et des tapis. Je ne sais pas ce qu'il a fait avec ma longe, mais ça me gratte l'œil. Je me trouve moche ces temps-ci. Ah, si vous m'aviez vu il y a dix ans, le poil dru et brillant ! Et l'autre touriste, là, avec son appareil photo, qui me mitraille quand même parce qu'elle n'a jamais rien vu! Qu'elle courre toujours pour que je la regarde ! Le mépris, voilà ce qu'ils méritent tous ces blancs becs qui accourent dès le premier soleil, mais qui ne semblent pas apprécier le dixième de ce qu'on leur offre. Crois-tu qu'elle poserait ses fesses là-haut ? Bien trop douillette. J'en ai mal aux genoux, tiens. Et puis j'ai soif. Mais on ne boit pas devant les touristes. Bah non, ils ont lu dans les livres qu'on pouvait s'en passer. On ne va quand même pas les décevoir ! Le client est roi. Vivement ce soir qu'on se couche et que je puisse blatérer tranquille, dans une vraie odeur de crottin, et pas cette puanteur de gaz d'échappement. Je serai moche sur sa photo, j'en suis sûr, mais c'est à cause de cette vie de dingue. Ce n'est pas des conditions pour un dromadaire comme moi. Si seulement mon petit qui a été vendu à un cirque pouvait avoir une vie plus saine, plus intéressante. Mais je n'en suis même pas sûr. On nous fait rêver : de désert, de touaregs, de princesses orientales perchées sur des selles garnies d'or. Et puis voilà, on se retrouve attraction bas de gamme pour belges. Oui, je sais, elle est française. Mais elle m'a traité de chameau alors, je peux bien la traiter de belge.

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Je ne peux pas résister à l'envie de vous raconter une blague qui me fait rire depuis l'enfance :
- Tu sais ce que c'est qu'un chalumeau ?
- Non (en général, c'est la réponse, ou on vous donne la définition technique, dans ce cas c'est vous qui répondez "non" et donnez la bonne définition.)
- C'est un dromaludaire à deux bosses.
En prime je vous indique un lien qui refuse de s'afficher dans mon blog-it express (qui pour info, change souvent à présent et est toujours accompagné d'un lien vers un blog ou un site que je vous conseille de visiter !)
A lire aussi absolument :
http://www.bonjourchezdo.com/pensees/prevert/dromadaire.htm
Je ne l'avais pas lu avant d'écrire mon texte !

jeudi, 18 février 2010

QUE J'AIMAIS TA VERDURE

Des amis avaient cru bon de le faire adopter peu après Noël à la fin des années 70 par mes parents. Ils n'avaient guère eu le choix à vrai dire, mais il était si petit, n'est-ce pas, il n'allait pas les encombrer. C'était quand même moins cruel que de lui couper ses racines. Seulement presque 40 ans plus tard, il avait pris ses aises, et peu lui importait le changement de propriétaire, il se tenait là, en permanence, droit comme un i, mais si fragile au fond. Comment réagirait-il en cas de grosse tempête. Non content de nous faire courir le risque de se retrouver chez les voisins, avec les ennuis qui s'en suivraient, ils nous envahissaient de ses fameuses racines encombrant notre jardin, bouffant la place de notre pelouse. Alors Lundi nous lui avons dit adieu, le faisant accompagner dignement par des professionnels.100_7874.jpg100_7873.jpg

 

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Aujourd'hui, il ne reste plus que ça. Si quelqu'un souhaite mettre une option sur une petite table ou un tabouret de jardin pour noël prochain... A bon entendeur !

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Je me demande si nous n'allons pas apporter la facture aux fameux "amis"...

lundi, 15 février 2010

QUE DES QUALITES !

L'envie de vous raconter ma semaine est forte. Mais c'est dur de trouver les mots. Alors, pour certains, je les ai inventés. (Profs de lettres, passez votre chemin...) Illustrés, vous les comprendrez.

 

Amabilité

 

Beauté

 

Communicabilité

 

Disponibilité

 

Efficacité

 

Fragrancité

 

Grandiosité

 

Héliosanté

 

Intimité

 

Jovialité

 

Kiloenmoinsité

 

Luminosité

 

Musculosité

 

Nouveauté

 

Originalité

 

Particularité

 

Qualité

 

Radieusité

 

Savourosité

 

Tonicité

 

Ultimité

 

Volupté

 

Waterité

 

Yessité !

 

Zenitudité

 

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dimanche, 24 janvier 2010

FAISONS LES PRESENTATIONS

100_7721.jpgDans une note récente où je laissais entrevoir l'intérieur de ma maison, il n'avait pas échappé à l'oeil sagace de Max. Il l'avait qualifié "d'enfant du tiers monde exploité". C'était là, malgré tout, une erreur d'identification. 100_7722.jpgCe petit homme est né des mains de mon arrière-grand-père qui était peintre-décorateur. A ses moments perdus il créait des objets en bois peint pour les membres de sa famille. J'ai connu dans mon enfance une Blanche-neige et quelques nains, les 3 petits cochons, inspirés par Disney. Mais celui qui est à présent dans mon salon, me vient de mon arrière-grand-tante, et a dû naître dans les années 20 ou 30...

100_7726.jpgLa mode était encore à l'orientalisme je suppose, et sa spécificité, à mon petit indien, est qu'on peut voir un personnage différent sur chacun de ses côtés. Petite, je l'ai connu bleu, aujourd'hui, je favorise la face jaune-orangée. Il a porté la bonbonnière, puis la boîte à bijoux de ma tante Alice. Il est unique, et on s'est toujours connu. 100_7725.jpgMême s'il fait des envieux, je ne suis pas près de m'en séparer.

jeudi, 14 janvier 2010

ESQUIMOS POUR TOUT LE MONDE

Je ne les publierai peut-être pas tous désormais. Je les conserve en compagnie de ceux de mes compagnons de défi sur un autre blog. Mais je sais que j'ai des fans, devrais-je dire des groupies, qui ne sont pas forcément adeptes de la lecture de ces défis collectifs, mais aiment bien me lire quand même. Et puis je trouve que notre blog d'écriture a peu de visiteurs hors participants, et si j'écris, en fait, c'est pour être lue, non ? Alors voici le dernier en date. La consigne :

jolie liste de mots à inclure dans un texte de 300 mots environ:

  • Résolution
  • victoire
  • origami
  • véranda
  • froid
  • plouc
  • vérité
  • mot
  • franc
  • entraide

Ci-dessous, ma prose, dont le titre est également le titre de ma note.

J’ai pris une grande résolution ! A partir de dorénavant, je ne veux plus être un plouc. C’est dur, ici, de ne pas rester idiot. A part la neige, la glace, le froid, les quelques heures de lumière par jour, il n’y a rien. Depuis l’arrivée d’internet (le gouvernement a connecté tous les habitants de la région gratuitement, car selon eux, c’est encore plus efficace contre le suicide que les lampes de luminothérapie ou les clubs d’origami, qui existaient jusqu’ici contre cela.) c’est plus simple de se tenir au courant. Mais pour être franc, la cyberculture, les autoroutes de la connaissance, tout cela ce ne sont que des mots, du blabla ! La vérité, c’est que ce n’est pas parce que tu liras en détails un site sur la musique que tu sauras en jouer, ou que tu vivras l’émotion d’un concert, ni parce que tu commenteras régulièrement un blog que tu pourras te sentir intime avec son auteur. La semaine dernière j’ai découvert avec curiosité les nouveaux modèles de vérandas que l’on vend même en Angleterre, et grâce auxquelles les gens peuvent non seulement agrandir leur maison, profiter de la lumière, mais aussi bronzer. Eh bien croyez-moi, sur internet c’est chouette, ici, c’est niet ! Pas assez d’ensoleillement sur votre territoire, qu’ils m’ont répondu dans un mail peu convivial. Ce qui me manque le plus, ce n’est pas les gadgets améliorateurs de confort, mais le contact humain. A part ceux qui y sont nés, et les militaires qui gardent la base de VadsǾ, personne ne vient ici. Entre nous, c’est-à-dire, Yabuk,Kouli et moi, il faut reconnaitre qu’il y a de l’entraide et que cela nous permet de survivre. Mais pour devenir un humain comme ceux dont je lis la prose sur le net, je veux rencontrer des gens. Par hasard. Ou en se donnant rendez-vous. Je veux pouvoir inviter plus de deux personnes pour manger mes roll-mops à la vodka. J’aimerais tant que ces rencontres m’apprennent des choses. J’ai lancé un projet. J’en ai parlé au chef, Yabuk. On a lancé le projet « Pas de SDF sur la banquise. » Si vous connaissez un SDF, inscrivez-le. S’il gagne le tirage au sort, il fera partie des 20 personnes à qui nous offrirons un igloo, ici, dans le Finnmark. Et nous deviendrons enfin un vrai village. Et ce sera ma victoire.

mercredi, 13 janvier 2010

LE ROMANTISME N'EST PAS MON DADA, MAIS C'EST BEAU.

Hier soir, j'ai fait ce que je n'avais pas fait depuis longtemps. Je suis allée à la deuxième séance dans mon cinéma d'art et d'essai. J'ai eu beau prévoir qu'ils arrêteraient le chauffage dix minutes après le début de mon film, et avoir mis un pull épais, mon manteau d'hiver sur moi et avoir apporté en plus un grand châle en polaire, je me suis gelée tout le long des deux heures. Heureusement, le film était beau. L'anglais que j'ai entendu, l'accent, les mots, un régal. Une caméra forcément experte puisque c'est Jane Campion qui la porte. Pendant deux heures, donc, je me suis replongée dans un univers que je délaisse la plupart du temps depuis la fac : le romantisme anglais. Cependant comme à chaque fois que je suis sortie d'un livre ou d'un film parlant de cette époque là, la pensée prédominante a été : heureusement que je suis née au XXème siècle ! Et surtout dans sa deuxième moitié. Car quand même, cette passion vécue avec un mur entre deux, ce jeune homme à qui l'on n'a pas dit que partir à Londres sans manteau en plein hiver c'était une folie, et qui comme tous les amoureux fous romantiques finit atteint de tuberculose. C'est à vous dégoûter de vivre une passion ! Les tenues féminines non plus n'auraient pas été ma tasse de thé, si je puis m'exprimer ainsi... Ce film raconte donc la vie de Keats. Et pour avoir relu sa bio, cela semble assez fidèle. Donc si vous aimez l'Angleterre, le XIXème siècle, où les gens n'avaient le droit de s'aimer que s'ils étaient riches, les femmes que de briller en couture, alors allez voir Bright Star, et vous ne serez pas déçus.

samedi, 02 janvier 2010

FESTIN DE REINES

Je sais, plein de gens trouvent qu’on mange trop à Noël. La solidarité, c’est pas de se gaver pendant que d’autres n’ont rien à bouffer. Pour répondre à toutes les critiques du genre : je paye mes impôts sans tricher, je verse aux Restos du Cœur tous les ans, et à d’autres œuvres (mais pas au téléthon et aux Pièces jaunes, mais c’est un autre débat encore), espérant qu’un gouvernement digne de ce nom pourrait faire aussi des efforts de solidarité nationale. Et puisqu’arrivée à la cinquantaine, je ne suis pas sûre de pouvoir encore digérer longtemps le foie gras et le champagne, et que j’adore la cuisine un peu recherchée, j’ai décidé pour une fois, de ne pas me taper tout le boulot, ou de l’imposer à quelqu’un en disant avant de partir « ça me fait chier de te laisser tout ce chantier » et d’entendre la copine crevée me dire « mais non, t’inquiète pas, ça va aller » tout en sachant très bien que ce n’est pas vrai. J’ai donc opté pour la version « c’est quelqu’un d’autre qui cuisine, fait les courses, met la table, etc. , mais je paye. » Pas de scrupules, donc.

Je vais vous faire un compte-rendu détaillé et illustré de notre soirée de rêve. Tout à commencé par un amuse-bouche au moment de l’apéritif. 100_7684 copie.jpgNous avions décidé d’être raisonnables, c'est-à-dire de commander une bouteille de champagne, et une autre de Vittel. Pas de mélange d’alcool, pas d’abus, pas de casquette demain matin. Nous avons quand même élu comme victime de notre gourmandise une Blanc de Blancs Roederer, millésime 2004. La classe ! Et un nectar.

Autour de nous des gens en tous genres, mais tous sur leur 31. Pas loin de nous, mais assez pour qu’on n’entende pas les conversations des autres, un Dutronc junior qui fait 42 ans alors qu’il doit en avoir 35, et plus loin, un mec à la tête de comptable dans une agence d’assurance, en garde à vue dans PJ. Une musique d’ambiance qu’on oublie, légère, discrète, subtile, comme la cuisine servie. 100_7685.jpg

L'entrée offrait à nos palais un fois gras chaud, un foie gras froid et sur la même assiette, magnifique, une petite brochette de homard sur une tranche de pomme, le tout caramélisé. Ensuite, un filet de bar exotique qui vous met dans un état extatique, un sorbet fruits de soleil et Pitu du Brésil (que je 100_7690.jpgm’obstine depuis à appeler Kitu du Brésil). 100_7694.jpgLe Kitu, j'ai oublié de le prendre en photo avant, alors vous ne le verrez qu'après ! 100_7697.jpgUne tranche de filet de bœuf à la polenta aux cèpes (sans cèpes pour moi, merci pour cette délicatesse), une assiette de fromages savoureux100_7699.jpg, et une assiette de desserts, variée et douce comme son nom. 100_7704.jpgPlus assez faim pour goûter les mignardises servies avec le café, mais encore assez en forme pour les prendre en photo. 100_7705.jpg

Un grand merci à la police qui ne nous attendait pas au rond-point qu’on ne peut pas éviter en sortant du restaurant. Une soirée tranquille, mais qui nous laissera un beau souvenir et à nos papilles aussi.

18 h 50. Edit : J'ai agrandi la police pour zapette et corrigé une petite faute qui traînait...

Et une photo pour Cunégonde qui s'interroge sur le vert : 100_7692.jpg

jeudi, 31 décembre 2009

Y'AVAIT AUCUNE RAISON DE RESTER EN 2009

J'ai passé au moins une heure à traîner sur internet pour vous trouver une petite vidéo sympa pour vous souhaiter une bonne année 2010. J'ai choisi ce clip parce qu'il me rappelle les Monty Python et que je suis fan d'eux depuis toujours.

Je suis sûre que chacun(e) d'entre vous a un truc précis qui lui tient à coeur. Eh bien que cela se réalise !

Et voici, pour vos étrennes, les originaux.

jeudi, 24 décembre 2009

PROFITEZ BIEN DE VOTRE REVEILLON


On ne sait pas ce que l'avenir nous réserve !

Gros bisous à tous et pleins de cadeaux et moments sympas.

samedi, 12 décembre 2009

DEFI D'ECRITURE N°8

Le temps passe, et il devient urgent de l'écrire !

Quoi donc ? Votre lettre au Père Noël !!!

Si vous souhaitez qu'il ait une chance d'être dans les délais pour vous faire plaisir, il faut que votre lettre soit publiée au plus tard Vendredi soir prochain, le 18 décembre !

Vous avez le droit de ressortir une vieille lettre de votre enfance, de ne pas croire au Père Noël, d'être optimiste ou pessimiste, en ces temps de guirlandes électriques et de marrons chauds, tout est permis !