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jeudi, 03 mai 2012

A Paris, y'a vraiment des trucs qu'on trouve pas chez nous ! *

A cause de la météo nous avons annulé un séjour de trois jours en Normandie et l'avons remplacé par une journée à Paris, dominée par l'art. Comme à mon habitude, quasi-rituelle, j'ai rendu visite au Centre Culturel Wallonie-Bruxelles, situé juste en face de Beaubourg entre un salon de thé - glacier italien sublimissime et le Dailymonop'. Ce centre culturel c'est un bijou parce qu'il change assez ses expositions pour qu'à chaque visite je fasse une découverte. C'est toujours de l'art contemporain, mais les styles et les thèmes sont très variés.  

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Hier il y avait de l'art vidéo, des scultptures étonnantes, mais le clou du spectacle ce fut l'auto-portrait de Pascale, que par modestie sans doute elle est allée faire connaître en Belgique, mais on a bien reconnu ses lunettes !

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 Ensuite, après avoir déjeuné dans un petit restau Italo-portugais situé rue Saint-Martin, à côté du magasin d'affiches de ciné et de marionnettes,  on est parti chez les riches, dans le 16ème. Musée Marmottan, proche du Bois de Boulogne, à l'orée d'un square près du métro La Muette, où les enfants du centre aéré portaient des cravates à 6 ans, et du bleu marine, non, je ne caricature pas. Nous avons vu l'exposition Berthe Morisot, un bonheur reposant, une sérénité et une lumière qui font rêver. Mais un commentaire sur les regrets de Berthe Morisot à la fin de sa vie sur la scolarisation des filles, qui lui faisait perdre des modèles, car ces petites n'avaient plus le temps de poser oisivement, m'a interpellée.

Eugène Manet (frère d'Edouard et mari de Berthe) à l'Ile de Wight.

Les musées français manquant cruellement de convivialité (pas de cafétéria, des toilettes au compte-gouttes [excusez l'expression !] et quasi-impossible à trouver, et quand on les trouve, dix personnes attendent déjà...), nous avons trouvé un café. Et quel café, un lieu très classieux, qui fait restaurant et que nous testerons un jour et qui se situe M° La Muette.

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Ensuite, nous nous sommes dirigées vers la station Iéna, là où je n'aime pas traîner car l'architecture me pèse, mais où il y a quelques musées que je retrouve avec plaisir (La Cité de l'architecture, le Palais de l'Architecture, et le Palais de Tokyo !)

On a donc choisi le troisième et on a visité la Triennale : des découvertes là aussi bien sûr, des expériences grandeur nature, car l'espace s'y prête, de l'humour, du pessimisme, du cynisme, de l'esthétique parfois, mais pas forcément, de l'audace et de la clairvoyance en tout cas. Je vous refais une note demain pour illustrer mon propos.

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Puis il a fallu reprendre le train, dans une vraie gare cette fois, et nous avons apprécié à sa juste valeur le retour "preum's première", qui nous avait été proposé par l'ordinateur.

*M'dame Lebrun qui n'habite pas à la Muette...

 

mardi, 01 mai 2012

Casse-toi vraiment !*

J'ai encore presque une semaine de vacances. Le 1er mai n'est donc pas vraiment férié pour moi, mais vu que j'ai annulé mon séjour en Normandie après avoir consulté au moins six sites météo, je suis allée à la manif. Il y avait du monde. Je n'ai pas compté combien, j'ai toujours eu du mal à repérer les pieds. (On m'a toujours dit qu'il fallait compter les pieds et diviser par deux.) L'ambiance était colorée, beaucoup de rouge, et pas mal de bleu, jaune, rouge et vert sur fond blanc, bien que les enseigants soient en vacances. Mais très peu d'orange, (la Céhaifdété appelait à la manifestation, mais ne se prononce pas pour un candidat...) En fond sonore, des mégaphones, l'Internationale reprise tout le long du trajet, et des slogans. Je ne les ai pas trop lus sur les pancartes les slogans, car j'ai rencontré un ami pas vu depuis plus d'un an et on avait des choses à se dire, mais je n'ai pas pu manqué le slogan humain, une lettre par T-shirt, du premier rang du NPA : L'HUMAIN D'ABORD.

Partout, d'après ce que je viens de lire sur différents media, il y avait plus de monde que d'habitude. Pourvu que ça ne se démente pas dimanche.

 

* Une pôv' conne qu'en a marre de ce gouvernement.

vendredi, 27 avril 2012

Plus une société a besoin de services, plus elle est imparfaite, précaire et exposée à périr.*

Fi du temps de chiotte qu'on nous impose depuis un mois, me suis-je dit, saperlipopette, je suis en vacances, alors agissons comme en vacances ! Et avec deux potes nous sommes allés au ciné, puis au resto ! La fête.

Je suis donc allée voir Louise Wimmer. Enfin ! Dans Maville il faut être patient, savoir attendre les bijoux cinématographiques. L'essentiel est de les voir sur grand écran, peu importe la date. Cela permet aussi d'avoir oublié tout ce qui s'est dit sur le film en question, et la surprise et la découverte en sont encore plus fortes. Une actrice que je connaissais comique (dans Fais pas ci, fais pas ça par exemple) mais qui ici nous offre autant de gravité, de courage que de dignité, habite (premier mot qui m'est venu à l'esprit et convient parfaitement ici...) et fait vivre cette oeuvre. Ce film est de ceux qui un jour montreront la société à un moment donné. On dira," c'était comme ça au tournant du siècle." Le personnage est émouvant sans jamais tomber dans un pathos insupportable. Cette femme nous montre ce que veut dire l'expression "sur le fil". Le fil du funambule, d'où l'on peut tomber malgré tous les efforts pour garder la tête droite, sans aide extérieure. Ou le fil du rasoir qui peut nous détruire brutalement, casser en deux définitivement. Tout le long de ce film ma chance d'avoir un toit, un salaire assuré, un amour dans ma vie, m'est revenue dans la figure. Mais sans me culpabiliser. Voilà, ce que j'ai aimé. Ce film n'est pas moralisateur. Il montre à quel point notre sort dépend de peu de chose. D'une relation réussie ou rompue, du mauvais employé sur lequel on tombe aux services sociaux, d'un réveil raté, etc.

Ensuite nous sommes allés manger chinois. Un lieu sympa et simple où pour 17.90 € on mange à volonté. Pas si cher que ça, mais après Louise Wimmer, quel luxe !

Et maintenant, je vais aller lire la note de Pascale sur Louise. Je ne lis jamais ses notes avant de voir les films.

*Guy-René Plour

(A propos de cet auteur [que je n'ai pas inventé !], quelqu'un pourrait-il me dire qui il est ? On trouve de nombreuses citations de lui sur le net, mais aucun site nous parlant de lui.)

mercredi, 25 avril 2012

1000

Welcome here. Sur un air de politique, le fond est touché ! J'ai peut-être une idée : tout est question de proportion. Devinez où j'étais hier. Pas de conclusions hâtive, SVP. Dos cassé... Tête éclatée ! On a bien failli pas le voir. J'ai encore vu un film que Pascale n'a pas vu. C'est pas gagné ! Pas si vite, et rangez vos antennes. Je suis dans un cybercafé. Il a 71 ans, si ça s'appelle pas se faire avoir ! Le shoppingue me rend dingue. Le gouvernement ne recule devant aucune provocation. Dur, dur, de choisir parmi toutes ces sources d'inspiration. Nouvelle expression à la mode chez les matous de mon quartier : It's Groundhog Day today ! Les Bérézinas de la musique, un petit échec vaut mieux qu'un grand "pan!". J'suis dég'. Que faire avec mes shoes d'été, s'il n'y a pas d'sun ? Zaboutek est devenue Cunégonde à temps plein. Défi du mois de juin : publication. Qui sont-elles ? A prof mieux assis, proviseur mieux servi. C'est ça le bonheur. 100 % des gagnants ont tenté leur chance. Ca'l'fait à chaque coup ! Y'avait aucune raison de rester en 2009. Ed va mieux. Note où rien ne peut intéresser Pascale, pour faire concurrence à Cacadomia : Esprit, es-tu là où ils disent ? Je vous l'avais dit, j'ai gagné 4 jours. Je suis reviendue et je participe à un concours. Comment tenir le choc si je m'endors déjà sur mes corrections ? L'insoutenable futilité de mon blog, c'est jeudi, c'est gribouillis. Sous la neige tout est beau. La femme nue nous a fait faux bond. Oufs. Plus la terre se peuple, plus la vacuité l'envahit. J'ai un ami qui est xénophobe, il déteste tellement les étrangers que lorsqu'il va dans leur pays, il ne peut pas se supporter. Une plante carnivore peut être végétarienne, je crois. L'indépendance, c'est comme un pont : avant, personne n'en veut, après, tout le monde le prend. Quand l'ébahissement cesse d'être naturel, il prend la forme de l'abscons et du saugrenu. A force d'être gentil, on finit par être suspect. La lecture est une amitié. Le féminisme, c'est ne pas compter sur le Prince Charmant. En Angleterre, rien n'est fait pour les femmes, même pas les hommes. Parce qu'il y a urgence, même les rencontres de hasard sont dues à des liens noués dans des vies antérieures. Le pemier homme qui est mort a dû être drôlement surpris. L'art contemporain n'amène que peu de certitudes. La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures.

Je vous offre ce texte comme un père a offert cette vidéo à sa fille.

 


Il filme sa fille de sa naissance jusqu’à ses 12... par Ratous

 Il a filmé quelques images de la vie de celle-ci toutes les semaines de sa naissance à ses douze ans. Moi, j'ai pris un titre par moi depuis la création de ce deuxième blog, qui suivait un premier, prolixe (373 notes) mais que les règles d'h&f de l'époque ont obligé à cesser ses activités. Pourquoi ce cadeau me direz-vous, eh bien parce qu'aujourd'hui sur "What am I still doing here ?" je publie ma 1000ème note ! Quant à vous, vous avez permis qu'il y ait 18777 commentaires ! Et j'ai pensé que cela méritait un petit quelque chose.

Vous remarquerez que mes titres ont évolué. Il y a eu des expressions, des phrases, des mots seuls, et enfin des citations. Vous en avez assez des citations ? Avez-vous des suggestions à me faire pour les titres, pour le reste de mes notes ? Rien ne dit que j'en tiendrai compte, mais ça peut m'aider à trouver de l'inspiration pour les 1000 notes à venir.

samedi, 21 avril 2012

L’éducation est un progrès social... L’éducation est non pas une préparation à la vie, l’éducation est la vie même. *

AVERTISSEMENT: C'est de l'humour !!!!! 

Plus d'expression politique d'ici demain qu'ils ont dit, alors un peu de rigolade sur la société quand même. Elle reprend un titre qui m'a fait beaucoup rire dans les années 80, elle est jeune, et a de l'avenir devant elle, je lui souhaite. Vous la connaissez peut-être, moi, je l'ai découverte hier. Je lui souhaite de bien voter, et que d'autres le fassent aussi, pour qu'elle puisse continuer à provoquer avec humour et sincérité.

*John Dewey

mardi, 17 avril 2012

On aimerait voter pour le meilleur mais... il ne fait jamais partie des candidats ! *

Je ne viens pas vous demander de voter pour lui. Je ne veux pas de bloggers moutonesques, mais qui savent pour qui et pourquoi ils votent. Néanmoins, je ne résiste pas à l'envie de vous faire découvrir son clip, si ce n'est déjà fait (il a déjà presque une semaine). En effet pour une fois, je le trouve drôle et intelligent.

Et puis si le lendemain du 22 avril il ne sait pas quoi faire Philippe, je veux bien aller boire une bière avec lui.

*Kin Hubbard

VO: We'd all like t'vote fer th'best man, but he's never a candidate.

 

dimanche, 18 mars 2012

"pour la République, pour la civilisation, je veux reconstruire l’école dans les cinq ans qui viennent"*

Semaine de reprise, sans surprise, sans véritable crise, mais de grosses valises...

Sous les yeux !

Et du coup, mon blog est resté muet. Envie de vous parler de ma journée d'hier, car c'était la journée "Portes Ouvertes" au lycée, comme dans beaucoup de lycées polyvalents de mon académie. Malgré tout ce que le gouvernement a fait contre l'éducation nationale, et particulièrement contre les sections technologiques, cette journée a encore lieu et permet aux élèves qui ont choisi l'option "Kültürdisaïllegn" [Arzaplikés si vous préférez] de présenter des merveilles. Un peu moins que les autres années, car les heures de cours ont fondu, pourtant il n'y a pas tant de soleil que ça par chez moi parait-il, mais toujours d'une grande qualité car les enseignants ont envers et contre tout garder leur passion et leur envie de développer compétences et envies chez les ados. Pour les futurs élèves qui montrent un peu de curiosité concernant leur prochain lycée, les différents pôles avaient des stands pour présenter les spécificités, les locaux: en sciences, lettres, langues vivantes, sciences économiques et sociales. La section théâtre présentait trois scènes jouées par chaque niveau de classe, un jazz band composé d'élèves et de profs intervenait aussi en intermède. Par ailleurs le CDI, la salle multi-media et le gymnase étaient ouverts, avec des adultes pour répondre aux questions. Ca et là on pouvait acheter des crêpes, des gâteaux africains, des bijoux, des cartes postales, tout cela fait "maison" et pour soit aider des associations internes au lycée, mais ouvertes sur le monde, soit pour aider au financement de voyages qui, pour nos étudiants qui ont de plus en plus de problèmes d'argent, deviennent difficiles d'accès. A la fin de cette journée, le lycée offrait des boissons fraîches lors d'un moment de retrouvailles avec les anciens élèves. J'ai bavardé non-stop pendant une heure trente avec des élèves qui sont passés dans ma classe, une année au moins, réussissant plus ou moins en anglais à l'époque, mais ayant aujourd'hui tant de choses à nous dire, nous les profs, sur leur vie, leurs études, leurs rêves, leurs difficultés, leurs succès...

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Je me suis demandé pourquoi les journalistes, les politiques, les blablateux des blogs, les gens que je connais et qui parfois pensent avoir tout compris de l'éducation nationale, ne parlaient jamais de ce genre de journée qui fait pourtant aussi partie de notre quotidien. Parmi ces profs qui sont arrivés à ce résultat, il y en a qui ont été malades, en stage, en grève, qui refusent de rentrer leurs notes et leur cahier de textes sur le net par opposition au flicage, qui font plus de 26 h de présence au lycée, sans passer par la case "banque" et toucher 500 euros, qui vont voter Hollande... ou pas. Ils n'ont donc pas encore réussi à tuer l'éducation nationale complètement. Mais ça vient. Une collègue, qui, plus persévérante que moi continuait d'organiser des voyages parce que, quand même, pour les élèves, etc., m'a annoncé hier que ce serait sans doute le dernier ! Une collègue est au bord de la dépression et la hiérarchie s'en moque. Un collègue entre dans la salle des profs. Il me semble le connaitre, ah oui, il a déjà fait un remplacement il y a trois ans. Là, il remplace partiellement un collègue. Ca fait déjà 6 ans qu'il fait ça. Au pied levé, efficace, mais un peu moins souriant aujourd'hui. Combien de temps tiendra-t-il encore avant de jeter l'éponge?

Moment de détente en soirée : DVD de Lucky Luke avec Jean Dujardin, Alexandra Lamy, Michael Youn, Daniel Prévost, Jean-François Balmer. Beau casting pour un samedi soir.

* Le comique qui vient donc de ne rien foutre pendant 5 ans, ou bien pire, aime détruire son château de cartes pour les réempiler n'importe comment et remettre un grand coup de pied méprisant dedans aussitôt.

mardi, 06 mars 2012

L'art contemporain n’amène que peu de certitudes.*

Il y avait Toulouse la ville rose, j'ai découvert Metz la ville jaune. La pierre de la cathédrale et de la majorité des bâtiments du centre ville, les bus (petits et grands), les voitures de la poste (pour ça, c'est comme partout). C'est d'un beau jaune ! J'ai aimé. DSC00823.JPGEn plus, (et ça, c'est pas comme partout), l'employée de l'office de tourisme est charmante et efficace. Bien que ce fût un lundi, nous avons trouvé un bon restau, aux couleurs sympas (et pourtant pas de jaune) et où les pommes de terre sont utilisées à des fins originalement savoureuses.DSC00830.JPG

 

 

 Le champagne était bon, la compagnie rigolarde et sympathique, que demander de plus me direz-vous ? De la culture. Pascale armée du plan, et moi au volant, nous avons trouvé sans presque aucun problème le chemin vers Le Centre Pompidou Metz. DSC00836.JPGDésolée, je n'ai pas pris de notes et ils ont tous des noms compliqués, et les œuvres demandent souvent qu'on les observe en se posant beaucoup de questions, alors autant que vous alliez directement vous renseigner ici.

 

Les plus : Un espace vaste, clair, où les œuvres sont mises en valeur. Des choses surprenantes, invitant au voyage, ou au moins au déplacement en leur intérieur.DSC00845.JPG Un personnel sympa et ayant le sens de l'humour, surtout au vestiaire. (Bonjour à Stephan l'ardennais s'il me lit !) Un petit magasin de souvenirs où l'on trouve de jolies choses comme dans beaucoup de magasins de musées. Un parking juste à côté. Des toilettes à tous les étages. Le choix entre ascenseur et escalier pour ceux qui ont le vertige. Et on a le droit de prendre des photos !

Les moins: Beaucoup de courants d'air à chaque entrée d'étage, et un hall quasiment réfrigéré. Une cafétéria minuscule et vite remplie, dès qu'un groupe du 3ème âge s'y arrête boire un chocolat. Pourquoi si petite, et avec si peu de tables alors que l'espace est ce qui manque le moins dans ce musée et autour ????? En revanche ils ont prévu une immense terrasse extérieure ce qui dénote la connaissance aiguisée que l'architecte avait du climat lorrain.

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Le plus des plus, c'est de faire la visite avec Pascale et son mari Mouche, alias Superman, alias Hervé. Les qualités humoristiques, musicales, ludiques (et j'en passe) de tout ce qui est présenté sautent alors aux yeux et cela rend la journée pétillante.

* Fabrice Hergott

 

samedi, 11 février 2012

Le premier homme qui est mort a du être drôlement surpris.

Mardi 14 février sera la journée nationale de prévention du suicide. Cette journée est organisée depuis 15 ans. Divers articles paraissent ce weekend sur le sujet, mais ne disent pas si ces campagnes de sensibilisation ont influencé les suicidaires potentiels et leur entourage;

Vous pouvez lire:

http://3.bp.blogspot.com/-fdnXl6z5q3w/TpzMmhs2BDI/AAAAAAA...

Je ne connaissais pas cette date avant de consulter comme chaque weekend Yahoo news ce matin. Et pourtant au réveil, après avoir remis le chauffage en route et rejoint mon lit en attendant que la chaleur revienne, j'ai pris et commencé le livre du haut de la pile de ceux qui attendent d'être lus, et c'était:

Etgar Keret, La Colo de Kneller. (Babel)

Si lire un texte un peu humoristique en même temps que grave sur le suicide ne vous dérange pas, si le point de vue d'un Israëlien sur la question vous intéresse, alors pour 5.50 Euros, vous obtiendrez 89 pages insolites. J'en suis pile à la moitié et irai le finir dès que j'aurai terminé cette note.

*Georges Wolinski

dimanche, 22 janvier 2012

Je t'aime, tu t'aimes, on sème.*

Ce n'est pas si souvent que je vous offre de la musique. J'ai entendu cette chanson dans la voiture et ai eu envie de la partager.

 


Arthur H et -M- : Est ce que tu aimes ? par matw

La prochaine fois, je vous écrirai plus longuement. En attendant, aimez !

*Maurice Chapelan

mardi, 27 décembre 2011

Celui qui est lassé de Londres, l'est de la vie, car Londres a tout ce que la vie peut offrir.*

L'année se termine bien. Une crevaison qui a failli allonger d'au moins deux heures un voyage retour de Paris qui en avait déjà pris deux et demie alors que normalement ça n'en prend qu'une et demie. Un évier bouché et un siphon démonté et remonté au moment où j'aurais dû aller chez le garagiste pour qu'il remette ma roue réparée. On espère que demain le voyage se fera sans encombres. En effet, je vous quitte quelques jours. Je repars là où j'aime aller et me sentir chez moi.

Belle fin d'année. Bon début de l'autre. Reposez-vous, prenez des forces et stockez quelques doses de bonne humeur. J'ai comme l'impression que 2012 ne va pas être de la tarte.

*Dr Samuel Johnson

samedi, 17 décembre 2011

Si j'avais su que les jeunes pouvaient mourir, je n'aurais jamais aimé personne.*

Elle avait 70 ans. Ce n'est pas si vieux. Mais quand on est fatigué, malade, ça peut l'être. En tout cas pour tout le bonheur qu'elle m'a apporté et à bien d'autres, Hommage.

*Cesaria Evora

jeudi, 01 décembre 2011

PARCE QU'IL Y A URGENCE

 
 
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mercredi, 30 novembre 2011

A chaque fois que vous vous retrouvez du côté de la majorité, il est temps de faire une pause et de réfléchir.*

Aujourd'hui Gougueule rend hommage à un type que j'adore. C'est celui qui est à l'origine de mon intérêt pour l'histoire des USA, mais aussi pour la littérature américaine. Tout a commencé avec ces deux-là:

Je ne les voyais qu'en noir et blanc, mais quel bonheur ! Ensuite j'ai lu leurs aventures, en français. Puis en anglais. Toujours du bonheur.

Et elle ! Le sex-symbol de mes années de primaire:

Je comprenais que Tom fasse les pires bêtises rien que pour lui plaire, ou la sauver.

Alors, moi aussi, je dis Merci Monsieur Mark Twain !

Mais je suis très émue aussi, parce que cette photo, je l'ai trouvée sur le blog de Marc di Napoli, tout simplement l'acteur qui jouait Huck ! Il est devenu artiste, à plus d'un titre, et son blog a l'air de valoir la visite. Cliquez !

*Mark Twain

mercredi, 23 novembre 2011

"une femme qui n'abdiqua jamais ses valeurs et poursuivi (sic) jusqu'au bout de ses forces les combats qu'elle jugeait justes." ou encore "elle su faire preuve d'une indépendance d'esprit, d'une volonté et d'une dignité exceptionnelle (sic)".*

*Communiqué officiel de l'Elysée...

lundi, 21 novembre 2011

« Trop loin à l'est, c'est l'ouest. »*

Bon, je trouve que même si les compétiteurs n'ont pas été très nombreux, vous avez frôlé la bonne réponse. Je vous la donne. Samedi après-midi, ADMV et moi, nous avons participé à un stage de de Massage Qi Gong. Ce n'était donc pas un salon, et nous n'étions pas que toutes les deux.

Les 8 stagiaires étaient à  l'heure et nous avons commencé le stage à 14 h 30. Pendant trois quarts d'heure nous avons d'abord eu des explications théoriques sur la médecine chinoise et sur les différentes techniques existantes, dont les massages. Tout cela en buvant le thé. Puis, nous sommes sortis et sommes allés dans le parc en face faire une heure de qi gong pour faire circuler notre énergie et être dans les meilleures conditions pour donner ou/et recevoir les massages.

Puis nous sommes retournés à l'intérieur et avons pratiqué plusieurs gestes de massages sur nos partenaires. Cela n'avait rien de sexuel, nous restions habillés d'ailleurs, car l'énergie n'est pas arrêtée par les vêtements. Mais évidemment un des deux hommes présent y est allé de sa petite plaisanterie " C'est mieux de faire ça en couple  !" C'est d'ailleurs le même stagiaire qui a encore plaisanté, il était vraiment désopilant, "C'est 50 euros!" Nous avions payé pour faire ce stage, mais beaucoup moins cher que ça !

Plaisanterie mise à part, ces massages ont été très bénéfiques et actifs. Le soir nous étions épuisées, mais le lendemain matin, nous nous sommes réveillées dans une forme olympique. Je me sentais dynamique, optimiste et prête à dévorer mon dimanche, comme je ne l'ai pas été depuis des semaines !

Toutes les autres phrases de ma note précédente doivent sûrement prendre un sens à présent sauf peut-être : "Vous voulez savoir pourquoi j'ai une femme nue dans mon bureau ? " En fait, le prof nous a expliqué qu'à une époque dont je ne connais pas la date, la civilisation chinoise était devenue très pudibonde, et surtout très mysogyne je trouve, et les femmes n'avaient plus le droit de se déshabiller devant leur médecin, ni lui de les toucher, même habillées. Donc le médecin avait dans son cabinet une petite statuette représentant une femme nue allongée, et la patiente devait se contenter de montrer sur cette statuette l'endroit où elle avait mal !

Notre prof pratique aussi la médecine chinoise et a dans son cabinet un tas d'objets magnifiques et anciens.

J'espère que vous n'êtes pas déçus. Bravo à Zapette et Axel qui "chauffaient" avec leurs réponses.

*Lao Tseu

Et à Imposture pour son imagination !

lundi, 05 septembre 2011

La lecture est une amitié.*

Un chouette weekend. Rien de mieux pour se préparer à la rentrée. Du coup, malgré la réforme en marche, la tête de certains collègues, et une nouvelle classe de seconde à accompagner vaille que vaille vers la première, j'ai même pas eu peur !

Contenu du week-end salvateur : Samedi, vélo. Une balade d'une vingtaine de kilomètres, le long d'un cours d'eau, avec l'odeur du monoï en prime, car soleil au zénith. Dimanche, découverte d'un coin où je n'avais jamais mis les pieds, aux confins de la Seine-et-Marne et de la Champagne. Pas mal de conduite pour y aller, mais le paysage était sympa, et arrivée vers 10 h 45 dans un joli village, presque aussi beau qu'un village anglais : Le Thoult-Trosnay. Pourquoi ce lieu ?, me direz-vous. Eh bien, mon artiste fétiche, et maintenant ami, y faisait une lecture de textes humoristiques du 20ème siècle. Cela dure un peu plus d'une heure, et cela fait un bien fou. Ensuite, apéro local à bulles, et petits-fours faits par les villageois, très bons vraiment !

Retrouver Gilbert est toujours sympa et chaleureux. Vous pouvez l'écouter sur deezer, en apprendre plus sur lui sur son site perso, acheter son dernier disque piano-voix enregistré avec Nathalie Fortin ou ses livres sur traficom.music. Mais en plus, trois de ses textes ont été choisis pour accompagner des photos réunies dans un très beau livre "A Hauteur de Paris" qui réunit des photos de Marcel Bovis. On le trouve partout, ne vous privez pas. Gilbert y est en très bonne compagnie.

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* Marcel Proust

mercredi, 24 août 2011

La chanson est liée profondément avec la réalité, avec les gens vivants, avec le monde entier et toutes ses connections. *

Pendant les vacances, au mois d'août, quand d'ordinaire les gens oublient tout, un artiste que j'écoutais en boucle sur mon mp3, s'est donné la mort. Je ne sais pas pourquoi, et cela ne regarde sans doute que lui, et laisse de toute façon ses proches sûrement dans l'incompréhension, quelle que soit la raison qu'il ait avancée. C'est un de ces moments où l'on aimerait faire quelque chose, mais on ne sait pas quoi. Alors je lui rends un hommage en son et images, sur ce blog en vous faisant réécouter, ou découvrir, un texte magnifique, comme il en écrivait beaucoup pour les autres et pour lui-même. Pour nous surtout.

http://www.deezer.com/listen-251993

crédit Pierre Olcese

 

Et pour mieux le connaître encore, allez là.

*Allain Leprest

lundi, 15 août 2011

Pour se nourrir, les Japonais mangent du riz sans blanquette ! J'en ris encore.*

Cette note est la 901ème de ce blog. Je sais, c'est nul, c'est même pas un compte rond, mais quand même, je tenais à vous le signaler.

La première partie de mes vacances s'est achevée en beauté chez Pascale et son Hervé de mari. Je vous en ai déjà parlé. C'est une maison où les papilles sautent de bonheur.

Cette fois-ci n'a pas fait exception.

Il y a toujours des activités culturelles. Un peu comme dans Un dîner Presque Parfait, mais là, ce serait plutôt "Un Dîner Plus que Parfait !"

Y'avait en apéritif des baguettes fourrées dont j'essayerai de me souvenir de la recette, mais j'ai pas pris de notes, alors ça va être coton. Et puis pour le repas, des makis en quantité pantagruélique, délicieux, variés, un bonheur. On ne s'est pas privé pour en prendre et en reprendre, et il en restait encore pour le lendemain ! Lendemain où l'on a dégusté les brochettes, que la veille on avait été obligé de caler devant. (Pascale va encore râler devant mes constructions...)

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C'est tout Hervé qui avait préparé, et je lui donne 10, 10 et 10 !

Au jeu, un pictionary,  je ne dirai pas qui a gagné, mais en regardant mon oeuvre ci-dessous, vous comprendrez que j'avais un avantage certain.

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Cela dit, je n'ai pas fait équipe avec Pascale pour épargner les deux joueurs qui restaient, car nous avons tellement la même façon de faire trouver les mots, que cela aurait été trop facile pour nous ! (Mais non, je n'ai pas les chevilles qui enflent !)

* Pierre Desproges

mercredi, 03 août 2011

A force d'être gentil, on finit par être suspect.*

Vous avez dû vous rendre compte que je n'étais plus là... Ou tellement contente d'avoir du soleil, que je m'activais à autre chose qu'à mon ordi !

Pour vous faire patienter d'ici mon retour, voici une note sur quelques petites découvertes faites lors d'une balade à Narbonne, l'un de mes trois jours de soleil dans le sud, durant la deuxième quinzaine de juillet.

D'abord, un mur peint en hommage au Fou Chantant. J'en avais vu un autre il y a deux ans, mais celui-là était nouveau pour moi. Et puis cela vous donnera peut-être envie de rester "fidèle" à mon blog !

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Ensuite, la maison des Trois Nourrices. Je ne sais ni quand, ni qui elles nourriçaient, mais elles avaient de quoi en faire rêver plus d'un et plus d'une parmi mes bloggers aux goûts variés ! ("blogger" en anglais est unisexe !)

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Et enfin, le meilleur pour la fin, cette note affichée sur une porte d'entrée. Elle fera rêver les syndics d'ici et d'ailleurs. Et j'en connais !

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*Charles Trenet

dimanche, 17 juillet 2011

Aimer c'est s'engager, c'est travailler, c'est être intéressé, c'est créer.*

Premier rapport d'activités :

Drôme - Ardèche, ça ne fait pas si loin que ça. Une heure trente quand même. Mais quand on aime on ne compte pas. Et j'ai eu, en avance, un très beau cadeau d'anniversaire. Je suis allée à Antraigues sur Volane, et j'ai assisté au spectacle de Francesca Solleville et François Mathouret intitulé "Merci Jean".

Ils étaient accompagnés par Nathalie Fortin au piano, et Patrick Reboud à l'accordéon et à un truc qui ressemble à un melodica un peu sophistiqué.

Un régal, de force, de conviction, d'amour et de talent. Avec en fond un magnifique portrait de Jean Ferrat.

On a eu de la chance, il a venté, nuagé, mais pas plu. Aujourd'hui, en revanche, la nappe phréatique est contente.

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*Lina Wertmuller

dimanche, 26 juin 2011

Et pour un homme de votre intelligence, monsieur, vous vous êtes empêtré jusqu'au cou dans vos mensonges. Une vraie désolation !*

C'est donc en 1971 que je l'ai vu pour la première fois !

Mais aussi dans les films de Cassavetes. Faut pas oublier.

Bye Peter Falk !

*Lieutenant Columbo, dans Jeu de Mots, 1978

 

mercredi, 22 juin 2011

La grande supériorité de l'examinateur est de se trouver du bon côté de la table*

Tous les ans je suis là, 4 heures, voire 5, trois fois au moins. Tous les ans ils se rongent les ongles, mangent des galettes st-michel ou des granolas, font tomber leurs cheveux devant leurs yeux jusque sur le papier. Tous les ans leurs chaussures sont le reflet de la mode adolescente du moment. Les ballerines et les converses perdurent. Elles sont humides cette année. Tous les ans, que les cheveux soient coupés ras, frisés, attachés ou non, colorés ou naturels, ils et elles se concentrent, se tordent, s'appliquent, essayant soit de valider le travail régulier d'une année, soit, dans un dernier élan, après avoir bachoté comme des fous pendant une semaine, de prouver qu'ils peuvent déchirer leur race et l'avoir ce putain d'bac. Hier (oui, j'ai écrit ce texte mardi) c'était l'épreuve de langue vivante 1, un peu comme une récré entre philo-Histoire/Géo et SES-Maths. C'est vrai, c'est même pas la honte de n'avoir rien compris : c'est dans une langue étrangère, et les vieux sont encore plus nuls qu'eux. Pas comme en maths ou en sciences-éco. Les pères se feront un plaisir de leur dire que c'était facile, qu'ils auraient dû faire ça, démontrer ça ou parler de ça. Tous les ans pendant que nous speedons comme des malades pour corriger nos 64 copies (110 en philo !) ils s'angoissent, extrapolent, consultent les corrigés sur le web, recherchent les listes de textes oubliées et froissées au fond du sac Eastpack depuis le dernier cours. Ils s'imaginent qu'ils ont raté, exorcisent leurs peurs en rédigeant des statuts provocateurs sur facebook. Tous les ans ils viennent aux résultats blêmes, tremblants ou grandes gueules, puis s'effondrent de rire ou de pleurs, hurlent, ravalent leur déception. Et tous les ans je suis là et je n'arrive pas à me retenir de pleurer. Et tous les ans, je vous écris une note sur ce fameux bac dont on dit tous les ans qu'il va disparaitre, et qui reste.

*Edouard Herriot

 

lundi, 20 juin 2011

Police : a toujours tort.*

Bon, je résume. y'en a des qui se sont fait arrêter pour avoir chanté "Hécatombe" de Brassens. Pour protester, y'en a ds qui ont été le chanter devant le commissariat. Moralité, arrêtés aussi.

Et pour finir, y'en a qui réagissent et qui propose de le chanter à 18 heures demain pour la fête de la musique.

http://www.lettredesete.fr/index.php/echos/452-hecatombe-...

et aussi là :

https://www.facebook.com/home.php#!/event.php?eid=1751063...

L'objet de cette colère dans la police :

Au marché de Briv'-la-Gaillarde
A propos de bottes d'oignons
Quelques douzaines de gaillardes
Se crêpaient un jour le chignon
A pied, à cheval, en voiture
Les gendarmes mal inspirés
Vinrent pour tenter l'aventure
D'interrompre l'échauffourée

Or, sous tous les cieux sans vergogne
C'est un usag' bien établi
Dès qu'il s'agit d'rosser les cognes
Tout le monde se réconcilie
Ces furies perdant tout' mesure
Se ruèrent sur les guignols
Et donnèrent je vous l'assure
Un spectacle assez croquignol

En voyant ces braves pandores
Etre à deux doigts de succomber
Moi, j'bichais car je les adore
Sous la forme de macchabées
De la mansarde où je réside
J'exitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides
En criant: "Hip, hip, hip, hourra!"

Frénétiqu' l'un' d'elles attache
Le vieux maréchal des logis
Et lui fait crier: "Mort aux vaches,
Mort aux lois, vive l'anarchie!"
Une autre fourre avec rudesse
Le crâne d'un de ses lourdauds
Entre ses gigantesques fesses
Qu'elle serre comme un étau

La plus grasse de ses femelles
Ouvrant son corsage dilaté
Matraque à grand coup de mamelles
Ceux qui passent à sa portée
Ils tombent, tombent, tombent, tombent
Et s'lon les avis compétents
Il paraît que cette hécatombe
Fut la plus bell' de tous les temps

Jugeant enfin que leurs victimes
Avaient eu leur content de gnons
Ces furies comme outrage ultime
En retournant à leurs oignons
Ces furies à peine si j'ose
Le dire tellement c'est bas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avait pas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avait pas

Moi, Brassens, j'adore, je ne m'en lasse pas, à toutes les heures du jour et de la nuit, vous pouvez m'en faire écouter, je chante avec lui, et me régale de ses mots ou de la manière dont il chantait ceux des autres.


*Gustave Flaubert

samedi, 18 juin 2011

Ce sont toujours dans des petites choses inattendues, des détails, des gestes ou des faits divers que nous apprenons tout.*

Quatre jours un peu plus cools avant de repartir pour 15 jours un peu speed. Cela fait du bien et me donne envie de vous présenter une rencontre inattendue dans Paris il y a une semaine. Elle aussi semblait faire une pause dans ce Paris du XXIème siècle.

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Edit : 19/06/11 à 17.09

A vue de nez, j'avais situé cette dame vers 1915. Mon arrière-grand-tante Alice, était née en 1893. Je ne me suis pas trompée. Voici une photo trouvée sur ce site.

*Suzanne Daigle (Fly, Baby, Fly, 1979)